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  • Une chose est sure, jawzia vient inconsciement une enieme fois de nous demontrer qu'il ne connait absolument rien des sahraouis... Sais tu cher ami que les ouled dlim, grande tribu sahraoui ont leur fief/saint tout au nord du maroc?? C'est le cas de toutes les autres tribus sahraouis? .
    Hihih !!! Ai je évoqué les sahraouis quelque part ?

    Restons sur cette énigmatique "Rabitta maghribia dial chorrafas adarissa"-first citizen Class-

    Jamais vu carte pareille.
    Elle est (pourtant) entre les mains du comité (Onusien) pour l'élimination des discriminations raciales.

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    • Oh non, c'est pas comme si j'attendais de toi de rester sur le sujet

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      • Ou de connaitre l'histoire du maroc... Ou de l'algerie d'ailleurs... Car je ne sais pas si tu le sais mais "sidi boumedienne" n'est surement pas un saint marocain... ne parlons pas des confreries et autres marabouts in algeria... On dirait que tu es suisse l'ami...
        Dernière modification par ayoub7, 30 août 2010, 05h33.

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        • la caste des Choraffas !
          3la on est des indiens galek la caste des chorfas

          Au Maroc on respecte les chorfa parce qu'ils sont desendants du prophéte (sws) mais ils n'ont ni carte ni avantages.

          Par contre j'ai appris que les noirs en algérie subissent encore l'esclavagisme ca par contre c'est une honte !!

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          • tiens en cherchant un peu plusm on trouve ceci:


            Sidi Boumedienne


            Le domaine d’el Eubad, surplombant la ville de Tlemcen, comporte de grands monuments. Nous citerons, la kouba de Sidi Boumedienne, sa mosquée, sa medrassa, ainsi que sa médina.
            La kouba de Sidi Boumedienne abrite le saint patron de Tlemcen qui fut un grand savant au XII e siècle. L’on retrouve son mausolée qui reste l’un des monuments les plus visités de Tlemcen. La mosquée et sa medrasa de Sidi Boumedienne qui sont d’un pur joyau architectural ont été construit au XIVe siècle par un sultan de Fès, le « sultan noir » , lors de la deuxième invasion mérinide (qui aura duré 7 ans). De pur style andalous de Grenade, le minaret est orné de briques et de céramiques polychrome.

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            • Tlemcen. La mosquée et sa medrasa de Sidi Boumedienne qui sont d’un pur joyau architectural ont été construit au XIVe siècle par un sultan de Fès, le « sultan noir » , lors de la deuxième invasion mérinide
              L'histoire retiendra que le maroc a occupé l'algerie pendant logtemps

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              • Sidi Boumedienne


                Le domaine d’el Eubad, surplombant la ville de Tlemcen, comporte de grands monuments. Nous citerons, la kouba de Sidi Boumedienne, sa mosquée, sa medrassa, ainsi que sa médina.
                La kouba de Sidi Boumedienne abrite le saint patron de Tlemcen qui fut un grand savant au XII e siècle. L’on retrouve son mausolée qui reste l’un des monuments les plus visités de Tlemcen. La mosquée et sa medrasa de Sidi Boumedienne qui sont d’un pur joyau architectural ont été construit au XIVe siècle par un sultan de Fès, le « sultan noir » , lors de la deuxième invasion mérinide (qui aura duré 7 ans). De pur style andalous de Grenade, le minaret est orné de briques et de céramiques polychrome.
                la source svp

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                • non mon ami, ton bled est un mouton au nord et une hyenne dans le sud!
                  C'est mieux que d'etre une hyene et un mouton tous les 2 au nord, parce qu'apres ca s'entrebouffe.

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                  • la source svp
                    D’un caractère grandiose et du meilleur goût architectural, la mosquée de SIDI BOUMEDIENE fut construire en 1328 par ABOU EL HASSAN, Sultan Merinide de Fes, conquérant de Tlemcen. Comparé à la grande Mosquée il s’agit là d’un édifice rectangulaire de moyenne dimension de 30 x 18m, d’une absolue symétrie, plus profond que large, présentant le plan d’ensemble suivant :
                    -La porche monumental d’entrée : situé en face de la porte du mausolée il est constitué par une somptueuse arcade en fer à cheval d’une hauteur de 7 m auquel on accède par un escalier de 11 marches. La façade de ce porche comporte, s’inscrivant dans une bordure rectangulaire, de magnifiques arabesques en mosaïque de faïence à quatre tons, blanc, brun, vert et jaune. Un triple feston de briques incrustées d’émail et de filets verts la divise en deux parties.
                    Une bande située au dessus de l’encadrement rectangulaire contient une inscription sur fond blanc, commémorative, en beau caractères andalous dédiée à celui qui a fait édifier la mosquée, le Sultan ABOU EL HASSAN. Elle est surmontée d’un auvent de tuiles soutenu par de très élégantes consolettes. La douelle est encadrée par une mosaïque blanc, jaune et brun. Au niveau des murs latéraux, deux porte autour desquelles s’organise un magnifique décor de plâtre commençant à 1,70m du sol, avec de petits panneaux inscrits dans de fines arcades, se continuant en coranique et à une chambre destinée aux pélerins.
                    De merveille en merveille, on aboutit à une porte à deux ventaux de 5m, en bois de cèdre, recouverte de plaques de bronze, ornée de plusieurs rangées de clous très finement ciselés, traduisant à quel haut niveau, les artistes andalous étaient arrivés dans l’art de ciseler et de graver les métaux. Une jolie légende veut que cette porte fabriquée en Espagne, ait été jetée à la mer pour parvenir miraculeusement par cette voie, aux rivages maghrébins. Deux heurtoirs garnissent les deux vantaux et un verrou de bronze en complètent la décoration. Elle a été rénovée au début du siècle par le dernier des grands artisnts dinandiers de Tlemcen : Si-Mohamed de Ben Kalfate. Deux nouvelles marches permettent d’accéder au sol de la mosquée proprement dite :
                    La cour carré ou presque, entourée de portiques à une seule nef est flanquée de 2 galeries situées au dessus du niveau du sol réservées aux femmes. Elle présente en son milieu une vasque en marbre destinée aux ablutions. On accède ensuite au corps principal de l’édifice.

                    LA SALLE DE PRIERE : avec ces cinq nefs perpendiculaires au mihrab, ses piliers de différentes formes supportant des arcs outrepassé brisés, tandis qu’une coupole ajoutée et garnie de décors à stalactites précédent un mihrab d’une rare beauté. Les murs sont garnis à partir de 1,60m d’un décor en plâtre régulier, très simple, mais du plus heureux effet.
                    Deux grandes portes latérales font ainsi communiquer la salle des prières avec l’intérieur. Deux tablettes gravées sur le marbre encastrées dans le premier pilier, à droite et à gauche, en avant du mihrab, comportent la liste des donateurs de la mosquée et de la médersa de SIDI BOUMEDIENE. Donations qui servaient à l’entretien des lieux (mosquées, médressa etc…)

                    LE MIHRAB : De direction sud, sud est de forme héxagonale, le mihrab, de toute beauté, comporte un arc de plein cintre outrepassé, véritable morceau de dentelle, supporté par deux colonnes à demi engagées très fines et très délicates. La face est décorée par des claveaux alternativement clairs et foncés, et des écoinçons avec un motif central en relief et un bouton spiralé complété par des décors en semi palmes et encadré par des bandes rectangulaires comportant un décor épigraphique. Le tout est surmonté d’un registre horizontal avec 3 claustras à décor géométrique. La niche comporte sur les faces, des panneaux rectangulaires et le plafond est complété par une coupole à stalactites. Les plafonds des nefs en caissons sont revêtus de plâtre décorés d’étoiles, de carrés et de rosaces.
                    Le Mobilier comporte un mimbar en bois cèdre, sculpté, présent de l’Emir Abdelkader, sur lequel sont gravés à côté de la formule sacramental, des vers de la borda, identiques à ceux que l’on trouve sur le sceau officiel dont l’Emir faisait usage.

                    LE MINARET : Le minaret, classique de forme quadrangulaire, situé dans le prolongement de la nef d’extrême droite, à l’angle nord est de l’édifice, est d’une hauteur de 27,50 m et comporte 96 marches s’enroulant autour d’un noyau central plein. Avec l’élégance de ses proportions, la richesse du revêtement céramique qui en décore le sommet, il peut être considéré comme un des plus jolis spécimen de ce genre d’édifice.
                    Sa base est engagée dans les dépendances de la mosquée et les parties inférieures des faces comportent un réseau d’arcs entrecroisés avec des plaques incrustées et des ouvertures de petite dimension et la partie située au dessus du réseau losangé est décorée de 4 rosaces en mosaïques de faïence formant des étoiles à 24 branches, s’inscrivant dans un carré. Cette même mosaïque décore la face externe des merlons qui surmontant la plate forme supérieure et le lanternon ; le tout est d’une finesse et d’une grâce remarquables.
                    Quant au sommet du minaret, il comporte un épi de faîtage qui traverse trois boules de cuivre dont la plus grosse est dorée et se termine par un croissant.
                    La salle de prière est comme à SIDI HALLOUI, établie sur une tranchée dans la roche et entourée par un passage agrémenté d’arceaux permettant une libre circulation tout autour de la mosquée.

                    LES ANNEXES : La mosquée comporte comme annexes à l’extérieur, une salle d’ablution et des bains actuellement en service, datant vraisemblablement de la même époque, et, au niveau de la cour d’accès la maison de l’Oukil, primitivement conçue comme lieu d’hébergement pour les pèlerins puis aménagée par le Bey MOHAMED EL KEBIR en logement pour l’oukil du tombeau.

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