58,4% des Allemands s’opposent à l’islam
le jeudi 14 octobre 2010
Après l’étude de l’Institut Allensbach qui affirmait que 55% des Allemands estimaient que « les immigrés musulmans sont un fardeau pour l’Allemagne » et qu’ils « ont coûté financièrement et socialement beaucoup plus qu’ils n’ont rapporté économiquement. », une autre étude intitulée "Crise dans l’Allemagne moyenne" vient d’être publiée par la Fondation Friedrich-Ebert, proche du Parti social-démocrate (SPD, opposition).
Selon cette étude rapportée par l’AFP , plus de 58,4% des Allemands estiment qu’il faut considérablement restreindre la pratique du culte musulman en Allemagne. 55,4% des personnes interrogées disent en outre comprendre que, "pour certaines personnes, les Arabes soient désagréables". Plus généralement, 34,3% pensent que les étrangers ne viennent en Allemagne que pour profiter des prestations sociales. "En 2010, on assiste à une augmentation significative des prises de position antidémocratiques et racistes", a souligné l’un des auteurs de l’étude, Oliver Decker.
le jeudi 14 octobre 2010
Après l’étude de l’Institut Allensbach qui affirmait que 55% des Allemands estimaient que « les immigrés musulmans sont un fardeau pour l’Allemagne » et qu’ils « ont coûté financièrement et socialement beaucoup plus qu’ils n’ont rapporté économiquement. », une autre étude intitulée "Crise dans l’Allemagne moyenne" vient d’être publiée par la Fondation Friedrich-Ebert, proche du Parti social-démocrate (SPD, opposition).
Selon cette étude rapportée par l’AFP , plus de 58,4% des Allemands estiment qu’il faut considérablement restreindre la pratique du culte musulman en Allemagne. 55,4% des personnes interrogées disent en outre comprendre que, "pour certaines personnes, les Arabes soient désagréables". Plus généralement, 34,3% pensent que les étrangers ne viennent en Allemagne que pour profiter des prestations sociales. "En 2010, on assiste à une augmentation significative des prises de position antidémocratiques et racistes", a souligné l’un des auteurs de l’étude, Oliver Decker.
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