Le journal "El Mundo" s'arrête sur les circonstances réelles de l'incident de Laâyoune

[TAGHITI]

ce n'est pas un enterrement ordinaire,(constatation et enquête d'usage)

Bruxelles, ca n'a même pas besoin d'une grande logique, juste un petit bou de bon sens: c'est une mère, assez jeune et non une grande chibaniya, qui pleure son enfant dans la douleur, et tu trouves normale que le pére et le grand pére, qui eux s'occupent des funerailles, durant toute le temps, elles est tenue dans l'ignorance la plus totale? Voyons les amis, ne vs enfoncez pas d'avantage!

[bruxelles]

Bruxelles, ca n'a même pas besoin d'une grande logique, juste un petit bou de bon sens: c'est une mère, assez jeune et non une grande chibaniya, qui pleure son enfant dans la douleur, et tu trouves normale que le pére et le grand pére, qui eux s'occupent des funerailles, durant toute le temps, elles est tenue dans l'ignorance la plus totale? Voyons les amis, ne vs enfoncez pas d'avantage!

Le bon sens indique que dès l'autorisation du permis d’inhumer fût accordé à la famille(le père et ...).

l'enterrement c'est déroulé dans la discrétion pour des raisons évidentes afin de ne point donner du blé à moudre et non dans le secret comme votre propagande l'avait déclaré .

et comme les mères(le sexe féminin) ne sont pas présents lors des inhumations.

cela explique qu'elle a été dépassé par les évènements et on comprend des lors sa frustration légitime

[FRIMIJA]

PS:dans notre religion et tradition,la mère n'est pas présente le jour de l’inhumation:

Alors encore une fois :est ce une inhumation secrète???????????????????

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Tu n'auras jamais de réponse car la vidéo ne précise pas si la mère ( dont on comprend la douleur)n'a pas vu entre temps son fils avant son inhumation confirmé par les hommes mâles de la famille qui sont d'aprés les preceptes de l'Islam les seuls à accompagner la dépouille jusqu"au cimetière.
On est donc loin de la thèse algérienne qui dit que l'enfant à été enterré en secret et aussi de savoir que fait un bambin de 14 ans parmi des supposés séparatistes"qui forcent un barrage?

[TAGHITI]

Tu n'auras jamais de réponse car la vidéo ne précise pas si

en tous les cas, ce que dit la mére dans la vidéo est manifestent plus crédible que ce que murmurent le pére et le grand pére devant une caméra de TV officielle! Qui croit encore le Makhzene?

L'histoire n'est pas close, donc á suivre!

[FRIMIJA]

L'histoire n'est pas close, donc á suivre!

Pour la presse algérienne et pour des taghiti c'est sur mais pour tout le monde c'est clos car que vient foutre un gamin avec des malfrats payés en petro-dinars..

[TAGHITI]

Pour la presse algérienne et pour des taghiti c'est sur mais pour tout le monde c'est clos car que vient foutre un gamin avec des malfrats payés en petro-dinars..

non, heureusement que non, tlm vs surveille, le makhzene au pied du mur!
vs pouvez rêver, le rêve est permis!

Amnesty International
Morocco must investigate killing of 14-year old Sahrawi at protest site

Amnesty International is calling on the Moroccan authorities to immediately investigate the fatal checkpoint shooting of a 14-year old boy outside a camp set up by Sahrawi protestors.

According to his relatives, Al-Nagem Al-Qarhi was shot dead on 24 October by Moroccan military officers, while in a car bringing supplies to a camp set up by Sahrawi protesters demanding an end to their economic marginalization by the Moroccan government.

“The disturbing details of this killing that must be investigated immediately and transparently”, said Amnesty International. “Morocco needs to show that it has not violated UN standards on the use of firearms, or used excessive force as it chokes off access, supplies and communications to the Sahrawi protest camp.”

Al-Nagem died almost immediately after being shot in the kidney at close range by Moroccan military forces as he sat in a car with six others at a checkpoint, the victim’s sister Sayida has told Amnesty International.

The Moroccan Ministry of Interior has claimed that the car “attacked a checkpoint”, and that the checkpoint was fired on, but from another vehicle. Family members say the passengers were seated when they were shot, and that they were bringing supplies to relatives living in the protest camp.

The other passengers in the car with Al-Nagem were also injured in the shooting, and then beaten by Moroccan police, according to Sayida’s testimony. The surviving victims were transferred to a military hospital in the nearby city of Laayoune, where they were found handcuffed to their beds when family members visited them the next day. One has since been detained, and two taken in for questioning.

According to his family, Al-Nagem was buried the next evening by the Moroccan authorities, who have refused to allow his mother and siblings to see the body or tell them the location of the burial site.

The Moroccan military has kept a heavy presence around the camp, established on 10 October by Sahrawis who left the city of Laayoune and other Western Sahara cities en masse to demand improved job opportunities and housing.

Today a group of about ten Spanish journalists were prevented from entering the camp by the police. Last week, Moroccan officials are reported to have used batons and teargas to prevent over a hundred people travelling in cars from reaching the camp with supplies.

Amnesty International has called for the respect of Sahrawi protesters’ right to freedom of assembly and warned that no excessive force should be used to disperse protestors, in a letter addressed last week to the Moroccan Minister of Interior.

Since 10 October 2010, thousands of Sahrawis have collectively left Laayoune to set up a camp in the desert about 10-13 kilometres east of the city. Some Sahrawi human rights defenders say that the camp population has reached the tens of thousands; official sources reported that there were 5,000 people last week in the camp.

Western Sahara is a territory contested between Morocco, which annexed it 1975, and the Polisario Front, which calls for its independence and runs a self-declared government in exile in the Tindouf refugee camps in Algeria.

[KimiHD]

Je ne vois pas pourquoi doit on se justifier, oui le makhzen l'a tué, il est souverains sur son territoire, il fait ce qu'il veut point

[kaiser]

Je ne vois pas pourquoi doit on se justifier, oui le makhzen l'a tué, il est souverains sur son territoire, il fait ce qu'il veut point

si le maroc doit je justifier vis a vis des parents de ce gamin allah yrahmou car ce sont les seuls qui souffrent de ce drame!
mais certainement pas face aux armes de crocodiles de certains forumistes ou journaleux algeriens qui utilisent vilement ce feu gamin a des fins propagandistes malsaines

[Iska]

Frimija

"Tu te retrouves ridicule avec la photos de la jeune victime comme Avatar.


Il y a un certain marocain avec la photo de chadli, tu ne dis rien .
Frimija c'est en quelle langue ?

[elcohen]

Citoyen:

Ben lisez bien l'article il ne fait que citer la MAP, pour se dédouaner.

Et sans insultes SVP . Je sais que vous êtes tous sur les dents mais Chedda ou Tezzoul, c'est pour cela que vous lisez pour la plupart d'entre vous de travers.

Buvez un verre d'eau fraîche, lisez la première partie celle que revendique El Mundo, puis buvez un deuxième verre d'eau et lisez la seconde ou il rapporte uniquement les textes de la MAP.

Si vous n'y arrivez pas, je n'y peux rien pour vous, le soutien scolaire...

Je te pris de te calmer, de relaxer et de bien lire l'article, sinon comme tu l'a si bien dit: le soutien scolaire

Je cite
"
Garbalha Daoudi et Aicha, respectivement l'oncle et la mère de Ahmed Daoudi reconnaissent, souligne "El Mundo", que leur fils "avait des problèmes avec l'alcool et la drogue, comme l'ont indiqué les autorités Marocaines". "Le 22 octobre dernier, il avait eu des problèmes à l'intérieur du campement où il avait été tabassé. Dimanche 24 octobre, il a quitté la maison de son frère à Laâyoune à 13h00, avant de se réunir avec ses compagnons pour décider ensuite de se rendre, muni d'armes blanches, dans le campement pour y assouvir sa vengeance", confie l'oncle de "Djija" à la correspondante d'El Mundo, Erena Calvo, qui s'était rendue à Laâyoune."