Il en pinçait pour « Leeza » le guide ! Il en pinçait tellement qu’il l’a couverte de cadeaux. Etonnante découverte faite par les rebelles libyens ce mercredi 24 août au milieu des décombres de Bab Al-Aziziya, le QG de Mouamar Kadhafi : un album photos contenant plusieurs clichés de Condoleezza Rice, l'ex-secrétaire d'Etat de George W Bush.
On savait que Kadhafi, 69 as, vouait une sorte d’admiration pour « Condi », mais la découverte de cet album photos dans sa résidence donne un autre relief aux assauts d’amabilité du guide libyen à l’égard de l’Américaine. Ce n’est plus de l’admiration, mais de la passion.
Lors d'une interview accordée à la télévision Al-Jazira en 2007, Kadhafi avait ainsi loué le travail de Condoleezza Rice, soulignant l'influence considérable de l'Américaine sur le monde arabe.
« J'admire et je suis très fier de la façon dont elle se penche en arrière et donne des ordres aux dirigeants arabes. (...) Leeza, Leeza, Leeza, je l'aime vraiment beaucoup. Je l'admire et je suis fier d'elle, parce que c'est une femme noire d'origine africaine. »
Moins d’un an plus tard, Kadhafi pouvait enfin approcher de près sa chère Leeza. En septembre 2008 donc, Kadhafi avait reçu Condoleezza Rice au palais de Bab El Aziziya, cette même résidence que les Américains avaient bombardé en avril 1986.
Mouamar il lui avait alors offert son « Livre vert », un médaillon gravé de son portrait, un luth et une bague en diamants. Valeur totale de ces offrandes : 212.000 dollars.
L’ex secrétaire d’Etat Rice n'a évidemment pas conservé ces présents, la loi américain interdit aux responsables de garder les cadeaux faits par des dirigeants étrangers.
Condoleezza Rice, 57 ans, n'a pas souhaité commenter la trouvaille. En revanche, l'actuel porte-parole du département d'Etat à Washington, Victoria Nuland, a qualifié de « bizarre » et « d'effrayant » la découverte de la passion secrète de Mouamar à Leeza.
«Je n'ai pas besoin de voir les photos», a-t-elle dit. «Mais 'bizarre' et 'effrayant' sont de bons qualificatifs pour décrire une bonne partie du comportement de Kadhafi. Ce n'est donc pas une surprise pour moi. Mais c'est profondément bizarre et profondément effrayant si c'est comme vous l'avez décrit», a dit Victoria Nuland.
DNA
On savait que Kadhafi, 69 as, vouait une sorte d’admiration pour « Condi », mais la découverte de cet album photos dans sa résidence donne un autre relief aux assauts d’amabilité du guide libyen à l’égard de l’Américaine. Ce n’est plus de l’admiration, mais de la passion.
Lors d'une interview accordée à la télévision Al-Jazira en 2007, Kadhafi avait ainsi loué le travail de Condoleezza Rice, soulignant l'influence considérable de l'Américaine sur le monde arabe.
« J'admire et je suis très fier de la façon dont elle se penche en arrière et donne des ordres aux dirigeants arabes. (...) Leeza, Leeza, Leeza, je l'aime vraiment beaucoup. Je l'admire et je suis fier d'elle, parce que c'est une femme noire d'origine africaine. »
Moins d’un an plus tard, Kadhafi pouvait enfin approcher de près sa chère Leeza. En septembre 2008 donc, Kadhafi avait reçu Condoleezza Rice au palais de Bab El Aziziya, cette même résidence que les Américains avaient bombardé en avril 1986.
Mouamar il lui avait alors offert son « Livre vert », un médaillon gravé de son portrait, un luth et une bague en diamants. Valeur totale de ces offrandes : 212.000 dollars.
L’ex secrétaire d’Etat Rice n'a évidemment pas conservé ces présents, la loi américain interdit aux responsables de garder les cadeaux faits par des dirigeants étrangers.
Condoleezza Rice, 57 ans, n'a pas souhaité commenter la trouvaille. En revanche, l'actuel porte-parole du département d'Etat à Washington, Victoria Nuland, a qualifié de « bizarre » et « d'effrayant » la découverte de la passion secrète de Mouamar à Leeza.
«Je n'ai pas besoin de voir les photos», a-t-elle dit. «Mais 'bizarre' et 'effrayant' sont de bons qualificatifs pour décrire une bonne partie du comportement de Kadhafi. Ce n'est donc pas une surprise pour moi. Mais c'est profondément bizarre et profondément effrayant si c'est comme vous l'avez décrit», a dit Victoria Nuland.
DNA
Commentaire