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La frontière algéro marocaine «poreuse» Des clandestins marocains arrêtés quotidiennement

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  • #31
    pr contre houari c'est vrai il y a en pas mal qui viennent bosser en algérie et ce chiffre va grandissant c'est normal les algériens ne veulent plus travailler la terre et la maconnerie
    @Walis19
    détrompe-toi
    La demande est trés forte surtout pour les platriers ..
    vu que l état débloque l argent ( aide sociale pour les agriculteurs et pour la construction d appartement individuel )

    *Au sujet des plâtriers marocains une aubaine pour faire de l argent en Algerie , une main d oeuvre qualifée , tout le monde sans exception embellit son appartement ..
    A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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    • #32
      houari
      nos amis marocains n acceptent pas la vérité , ni la réalité ..Pourtant c est des faits vérifiables

      des marocains plâtriers , des agriculteurs , spécialistes en TOMATES , y en à Oran ( en général à l Ouest algérien ) ..

      *les algériens sont gentils , ils ne les dénoncent pas , ils savent qu ils sont là pour faire vivre une famille .. l humanisme l emporte !!!


      Dans un pays qui se respecte, il doit y avoir des recensements pour quantifier le nombre de marocains qui viennent travailler en algerie par exemple, voir un documentaire ou des journalistes rencontrent ces marocains ... discutent avec eux et essayent de comprendre pourquoi ils sont venues la ... a ce moment on pourra se faire une idée bien claire, quand un forumeur me dit ici mjihetna f douwar il y a des marocains qui bossent en maçonnerie c'est de hedra de 7emam sans base ... l'article fait même pire que cela il diabolise ces soit disant marocains et ils fait croire qu'aux algeriens qu'ils sont en suisse ...

      A oujda les maçons ou snay3ia bossent, ils n'ont pas de chômage ... un ami électricien a peine 31 ou 32 ans il a pu construire une maison et se marier avec le fric qu'il a amassé en bossant a oujda ... mais a 8h il est debout ce n'est pas un glandeur ... donc dire qu'il y a du chômage au maroc pour les diplômés supérieurs oui, mais les nejara, soudeurs, snay3ia, mâcons c'est ceux qui souffrent le moins du chômage ... (bien sur les salaires c'est une autre histoire) ...

      Le seul truc logique qui pourrait expliquer pourquoi cette main d'œuvre traverse la frontière c'est que fort probable ils touchent plus en algerie qu'au maroc, pourquoi cela? bah raisons économiques logiques, s'ils sont qualifiés a faire du no9ch beldi en algerie et ils sont rares ceux qui oserons traverser la frontières donc la demande sera plus que l'offre et ils serons mieux payés qu'au maroc point. Pas la peine de faire de la propagande et faire croire que algerie=suisse, en ajoutant une grosse couche d'insultes comme fait ce pseudo journaliste.

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      • #33
        A oujda les maçons ou snay3ia bossent, ils n'ont pas de chômage ... un ami électricien a peine 31 ou 32 ans il a pu construire une maison et se marier avec le fric qu'il a amassé en bossant a oujda ..
        @soufiane-Oujda
        raconte ton bobard ailleurs
        bien sur ils bossent ?
        ils soutiennent la muraille de " babe Sidi Abdelwaheb " de peur de tomber en ruine ..
        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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        • #34
          taghit a dit :le journaleux fait dans le sensationel et je suis certain qu'il n'a jamais rencontré un seul immigré marocain en Algérie! Au contraire, ces gens ne sont pas suicidaires au point de s'adonner au trafic de la drogue, de la fausse monnaie en Algérie....., car ils savent qu'ils risquent non seulement la prison, mais une expulsion juste aprés qu'ils auraient purgé leur mois

          moi je connais des marocains dans ma région, ils sont des travailleurs sérieux et ne songent qu'á leur familles et faire de l'argent halal!

          C'est un article qui attise la haine contre ces gens!



          des paroles aui vaux leur pesant d'or

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          • #35
            article à la con !!

            put** !! le niveau des journalistes algériens ! ils sont pires que ceux de la MAP !!

            ils veulent profiter de cette ouvertures temporaire des frontières pour étaler leurs conneries sans limites !!

            et pour les alices aux pays des merveilles qui croient que leurs pays est prit d'assaut par des millions de marocains fuyant la misère , je ne leurs dit que vous faites pitié !!

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            • #36
              houari
              raconte ton bobard ailleurs
              bien sur ils bossent ?
              ils soutiennent la muraille de " babe Sidi Abdelwaheb " de peur de tomber en ruine ..


              Des paroles d'une personne qui semble rien connaitre a la ville ...

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              • #37
                @soufiane Oujda
                mentir ce n est pas bien ou bien tu n habites pas Oujda .

                ils soutiennent la muraille de " babe Sidi Abdelwaheb " de peur de tomber en ruine ..
                vrai ou faux ..!
                A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                • #38
                  houari

                  Des snay3ia a coté de bab sidi abdlwhab ils attendent celui qui va leur proposer du travail, c'est tout a fait normal et ils ne sont pas beaucoup ...

                  Beaucoup bossent dans les quartiers d'une maison a une autre vu que la ville ne cesse de grandir ... donc c'est toi qui ne comprends rien houari ...

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                  • #39
                    @soufiane
                    les plâtriers marocains font du beau travail en Algerie , pas mal de maison que j avais visité ..je te le dit en connaissance de cause ..
                    je me montre reconnaissant envers eux !!!
                    A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                    • #40
                      les chinois vous construisent les maisons,les japonais les routes pour y accéder,les marocains les décores,les egyptiens y mettent le telephone.
                      ET vous,vous glandez quoi dans votre pays?
                      Et l'autre vient dire que c'est les marocains qui tiennent le mur.
                      vous vous insultez vous méme sans vous on rendre compte.

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                      • #41
                        @Awtil
                        laisse le Oujdi répondre sur la question de la muraille de " babe Sidi Abdelwaheb " , vrai ou faux ..

                        les passeurs les font recruter pour les envoyer en Algerie
                        chacun trouvera son compte ..Business is Business
                        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                        • #42
                          ça n'a rien d’extraordinaire depuis l'algerie française y a tjs eu une main d'oeuvre marocaine en oranie ,la region de l'est du maroc est délaissé comme les zones montagneuses ,donc forcement maintenant que les frontières sont fermé ils viennent en clandestins ,vous entendrez souvent des algériens préférez la main d'oeuvre marocaine que local pour leurs villas etc sans lire les journaux.

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                          • #43
                            houari
                            toi aussi répond à la question puisque les autres travaillent pour vous.
                            c'est quoi votre passe temps en algérie?

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                            • #44
                              @Awtil

                              L Algérie est un grand chantier , tout le monde y participe même les clandestins marocains ( plâtriers , manœuvres , aussi en agriculture , le savoir faire en Tomate )
                              A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                              • #45
                                Ben oui il y a des marocains en algérie qui gagnent super bien leur vie, au Maroc ils font un travail banal qui est celui du zellige, en Algerie ils sont recherchés partout et son payés une véritable fortune pour fasconner les villas avec l'art déco marocain !

                                C'est normal qu'il y ait des marocains qui veuillent aller exercer leur métier en Algerie !


                                Mais de l'autre coté il y a aussi de nombreux algeriens clandestins qui passent au Maroc comme le prouve cet article algerien:

                                La frontière algéro-marocaine vraiment fermée? Avec 2000 dinars, on peut la traverser. REPORTAGE



                                1ère PARTIE : L'ALLER. Il y a quelques années, je n’avais pas besoin de payer un passeur pour aller humer l’air chérifien. Les temps ayant changé, je ne dois plus jouer au héros. Il paraît que les frontières algéro-marocaines sont mieux surveillées en raison de la présence du monarque sur la plage de Saïdia à la fin du mois de juillet dernier. Un passeur se propose de me les faire traverser clandestinement pour 2000 dinars.
                                Pour passer de l'autre côté de la frontière, je me suis déplacé à Boukanoun, le village algérien qui face à Ahfir, la bourgade marocaine. Mon ange gardien, qui dit s’appeler Omar, attablé sur la terrasse du café Es-Sabah, exige 2000 DA comme droit de passage. Payable à l'avance. Rendez-vous est pris pour le lendemain à 6 h du matin… Samedi, je suis au rendez-vous à l’heure convenue. Notre convoi s’ébranle cahincaha. Nous amorçons la traversée à pas feutrés. Mes appréhensions sont telles que je sens mes pieds collés avec de la glu sur le sol. Nous sommes six à faire la traversée, sept avec le passeur. Dociles, mes cinq compagnons dont deux subsahariens doivent se courber parce que leur taille pose problème. Leur grande taille peut-être repérée par les vigiles de part et d'autre de la frontière. Le nez collé à leur dos, je suis à la queue de la file. Ma position ne répond à aucune stratégie, si ce n’est de prendre la poudre d’escampette en cas de complication.
                                «Alors camarades, vous allez en Espagne?»
                                Notre passeur se permet une « chemma » ( tabac à chiquer) avant de nous accorder un moment de répit. En pareilles circonstances, on est habité par des sentiments ambivalents. Et moi, entre le bonheur de réussir le passage et la peur d’échouer, je me fie fatalement au destin. «Alors camarades, vous allez en Espagne?» demandes-je aux deux Subsahariens. Interloqués, les deux blêmissent. Passablement énervé, Omar intervient: «Laisse-les tranquilles...Je t’ai pourtant prévenu de ne pas poser trop de questions!» Notre ange gardien nous explique alors que nous devons attendre la relève des soldats. Mauvais calcul ou mauvais sort? Toujours est-il qu’à ce moment précis, une voix enrouée surgit des broussailles : «Halte!» Mes tripes se sont mises à gargouiller à la vue du tabor, le bidasse marocain. J'ai réalisé alors que nous sommes sous le ciel et sur les terres du «Commandeur des croyants». Déjà au Maroc !
                                «Sidi, c’est le premier convoi»
                                «Le tourisme va bien? Allez, vos papiers! Nous sommes le serviteur de Sa Majesté», ordonne le tabor en braquant sa vieille mitraillette sur nous. Un des passagers se met à trembloter. Nullement impressionné, en guise de documents de voyage, notre passeur refile au soldat des billets de banque pliés, en accompagnant son geste d’un chuchotement à l’oreille de celui qui nous nous menace toujours avec son arme. «Sidi, c’est le premier convoi», explique doctement Omar le passeur. « Y’en a pas assez», entonne le gardien du temple en tenue kaki. Je ne sais pas quelle mouche m’a piqué lorsqu'avec un sourire qui se veut rassurant, je réponds: «En effet, nous ne sommes que six, si j’exclus le passeur.»
                                «Celui-là, je l’emmène au poste»
                                «La ferme, toi ! Il ne parle pas du nombre, mais de l’oseille», coupe le passeur. ll sourit hypocritement et renchérit: «Ya Sidi, celui-là ne fait pas partie du lot. Il est, comme dirait l’autre, en surcharge.». Le guide vient de me désigner comme une charge de plus dans ce convoi des braves qui veut rallier le Maroc. «Celui-là, je l’emmène au poste», tranche le militaire, son armé encore braquée sur nous. Le passeur tente de sauver les meubles. «Sidi, excusez son innocence arrogante, il va seulement voir sa mère qu’il n’a pas revue depuis la fermeture des frontières», plaide-t-il. «Où habite-t-il, demande le tabor d'un air goguenard. Je ne l’ai jamais vu, je dois le fouiller!». Puis, en s’adressant à mon auguste personne, il m'ordonne d'enlever mes chaussures.
                                «Il n’en a pas l’air…Tu es Algérien, toi?»
                                «Il n’a rien, Sidi, plaide Omar, il n’a jamais traversé la frontière ou peut-être une seule fois dans sa vie, c’est un pauvre ouvrier qui trime du matin au soir comme un forçat.» Méfiant, le soldat, sans doute le résultat d'une longue expérience acquise à surveiller cette frontière officiellement fermée mais ouverte de toutes parts «Il n’en a pas l’air…Tu es Algérien, toi?», me demande-t-il. Pour éviter plus de désagréments, il faut recourir au mensonge. «Moitié-moitié...Ma mère est marocaine, mon père algérien» A vrai dire, c'est un presque un demi-mensonge. Dans cette bande frontalière entre l'Algérie et le Maroc, des milliers de personnes sont issues de familles et de couples mixtes. Mon mensonge semble avoir davantage attisé la cupidité du bidasse. «Dans ce cas, il doit payer plus cher. Que vaut l'argent quand il s’agit de l’amour de sa mère?», dit-il d'un air cynique de celui qui est rompu à la pratique du racket et du rançonnement.
                                « Mon boulot est de faire passer des gens et de les ramener à bon port, le reste ne me concerne pas»
                                Mes compagnons se murent dans un silence sépulcral et tentent gauchement d’éviter de se croiser leurs regards. Ils sont trahis par leur attitude d’hommes traqués. Le tabor, qui semble éprouver un malsain plaisir à nous torturer, revient à la charge en me regardant avec mépris. Son collègue lui fait signe discrètement de nous relâcher. Il a consenti, enfin, à nous libérer le passage, mais à condition de lui ramener, à mon retour, un démodulateur pour paraboles. J’ai accepté sans prononcer un mot, sans comprendre pourquoi moi, je dois payer une surtaxe. Il est clair que les membres du convoi ne sont pas tous logés à la même enseigne. Devant mon air de chien battu, Omar me glisse à l’oreille : «Les autres doivent s’acquitter d’un droit de passage spécial, eux casquent en euros et quant à moi, mon boulot est de faire passer des gens et de les ramener à bon port, le reste ne me concerne pas», m’ explique notre guide. Nous reprenons le chemin comme si nous revenions d’un enterrement, mon nez toujours collé au dos d’un des Subsahariens. Nous croisons deux baudets dont les bâts sont lourdement chargés. Des animaux convoyeurs de marchandises de contrebandiers. La première partie de la traversée s'est achevée. Il reste encore à s'enfoncer dans les terres marocaines avant d'arriver au premier village.
                                « Avant que je n’oublie, tu me dois une rallonge de 2000 dinars »
                                Nous dévalons une pente qui aboutit à la rivière. Omar nous intime l’ordre de nous arrêter une seconde fois. Il n’est plus crispé. J’en profite pour demander l’autorisation de fumer une cigarette. J’en ai proposé aussi aux autres passagers. Ne sont-ils pas soulagés d’avoir parcouru une partie de l’itinéraire? Je commence à m'inquiéter et à perdre patience : «Décidément, il y a trop d’escales, Omar! Nous sommes arrivés en principe, qu’attendons-nous pour continuer?». «Tant que nous n'avons n’a pas traversé la rivière, nous sommes jamais arrivés, tranche-t-il avant d'ajouter d'un ton martial. Avant que je n’oublie, tu me dois une rallonge de 2000 dinars car je sais que tu ne ramèneras jamais ce foutu démodulateur au tabor et, dans ces conditions, c’est moi qui serais dans de mauvais draps. Alors, je préfère prendre mes précautions. Ce n’est pas pour un bout de métal que je vais bousiller mon business, tu dois comprendre ça aussi…» Le passeur est apparemment inquiet, mais il ne s’oppose plus à mes interventions. La censure est levée comme par enchantement.
                                Au bout de la traversée, un concert de Cheba Zahouania à Oujda
                                Quinze minutes se sont écoulées quand trois personnes arrivent à notre hauteur. Omar, devenu jovial comme par magie, les accueillie avec des embrassades. «On part», dit l’un d'eux. Omar, d’un ton exagérément solennel, s’arrête brusquement pour nous confier à nos nouveaux sbires. « Ma mission s’achève ici, dit-il. Désormais, vous appartenez à vos nouveaux anges gardiens, courage et que Dieu vous protège!.» Un de mes nouveaux anges gardiens m’accompagne jusqu’au centre de la ville d’Ahfir, précisément au café de La paix. Il m’explique que je devais me pointer au même endroit le lendemain à 16h. Une fois le thé à la menthe avalé, je prends normalement un taxi sur Oujda. Direction, café de France où un de mes amis marocains, Rachid, professeur de français, m’attend. « Tu as de la chance, ce soir, il y a Chaba Zehouania au festival du raï qui se déroule sur la place Ennour!», m'annonce-t-il. Je lui raconte que la traversée était trop protocolaire comparativement aux précédentes. Il m’explique alors que la venue de Mohamed VI dans le Maroc Oriental a obligé les responsables marocains à renforcer les mesures de sécurité. Visiblement, cela n'a pas empêché notre tabor de prélever sa dime. Il me reste à refaire le chemin inverse pour retourner en Algérie.

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