Les nouvelles autorités maliennes de transition ont établi des premiers contacts jugés "positifs", hier dimanche, avec les deux branches armées de l'Azawad, le MNLA et Ançar Eddine. Les premiers contacts entre le MNLA et Dramé, émissaire du président malien, Dioncounda Traoré, ont eu lieu à Nouakchott.
Le MNLA qui a proclamé unilatéralement l'indépendance du nord du Mali, se dit prêt à négocier dans le cadre de fédéralisme selon un rebelle ayant divulgué cette rencontre. Ançar Eddine , appuyé par Al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI) se disent contre la partition du Mali et restent disposés à continuer le dialogue entre musulmans, avec une condition que les non-musulmans ne se mêlent dans ce conflit. Un responsable d'Ançar Eddine proche de Iyad Ag Ghali, a déclaré que le plus important pour eux est l'instauration de la charia dans tout le Mali et non pas la création d'un état Azawad.
Les Arabes du nord du Mali auraient signé un accord avec Bamako qu'ils sont contre la partition du Mali.
Réunis à Ouagadougou, l'ex-junte militaire avait appelé à l'ouverture sans délai de pourparlers avec les groupes armés, dans le respect de l'intégrité territoriale du Mali. Le dialogue sera mené par le gouvernement d'union national qui sera désigné mardi.
Résumé
Le MNLA qui a proclamé unilatéralement l'indépendance du nord du Mali, se dit prêt à négocier dans le cadre de fédéralisme selon un rebelle ayant divulgué cette rencontre. Ançar Eddine , appuyé par Al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI) se disent contre la partition du Mali et restent disposés à continuer le dialogue entre musulmans, avec une condition que les non-musulmans ne se mêlent dans ce conflit. Un responsable d'Ançar Eddine proche de Iyad Ag Ghali, a déclaré que le plus important pour eux est l'instauration de la charia dans tout le Mali et non pas la création d'un état Azawad.
Les Arabes du nord du Mali auraient signé un accord avec Bamako qu'ils sont contre la partition du Mali.
Réunis à Ouagadougou, l'ex-junte militaire avait appelé à l'ouverture sans délai de pourparlers avec les groupes armés, dans le respect de l'intégrité territoriale du Mali. Le dialogue sera mené par le gouvernement d'union national qui sera désigné mardi.
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