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Ban Ki-moon appelle à l’ouverture des frontières entre le Maroc et l’Algérie

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  • #61
    c un titre de la map 09 avril 2013
    Mek
    Toujours aussi perspicace notre Mek !!

    Que ce soit la MAP où bien "Mi al harnounia" qui le dit , les propos de Ban Ki monn sont bien ceux là
    Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a exhorté à un "règlement urgent" de la question du Sahara en raison de "la montée de l'instabilité et l'insécurité" dans la région du Sahel et appelé à l'ouverture des frontières entre le Maroc et l'Algérie dans l'intérêt de la région et de la communauté internationale.
    Propos vérifiables à souhait !!!

    Et en transcription non diplomatique c'est un avertissement à la dictature algérienne pour lui dire qu'il est temps de cesser ce jeu du séparatisme qui met la région en danger..

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    • #62
      Ban Ki-moon, avocat d’une normalisation maroco-algérienne

      Le premier est secrétaire général des Nations unies, le second ministre panaméen des Affaires étrangères. Ils ont aujourd’hui en commun d’alerter, sans pourtant se concerter, sur les menaces que ferait peser sur la région de l’Afrique du nord un enlisement du conflit du Sahara. Autrement dit, cet état de « ni paix, ni guerre », invoqué autrefois par Raymond Aron, commence à inquiéter la communauté internationale pour ne laisser indifférents les responsables de l’ONU et des gouvernements attentifs à ce dossier.


      Dans son dernier rapport au Conseil de sécurité sur l’évolution du conflit du Sahara, rendu par ailleurs public lundi soir à New York, Ban Ki-moon a appelé solennellement, la gravité du ton en plus, à un « règlement urgent de l’affaire du Sahara, en raison de la montée de l’instabilité et de l’insécurité dans la région du Sahel… » ! On peut considérer a priori que c’est la première fois qu’il établit un lien aussi direct entre le Sahara et le Sahel, de manière officielle et sans tergiverser ! On doit, en revanche, comprendre qu’il le fait sous l’emprise d’une nouvelle prise de conscience, à la lumière des dernières missions effectuées par Christopher Ross, son émissaire dans la région. Elles portent la marque d’un constat rédhibitoire : la persistance du gouvernement algérien à bloquer une solution politique au Sahara favorise à coup sûr la déstabilisation de la région. Il ne faut pas être clerc pour s’en rendre compte. Le territoire algérien, ce n’est plus un mystère, est aujourd’hui le lieu de passage de tous les groupuscules terroristes vers le sud, au croisement du Mali notamment, du Niger, du Tchad et constituant le point d’ancrage du terrorisme qui prospère comme dans un terreau favorable. Le Sahel est transformé donc en zone grise, infranchissable mais accueillante pour al-Qaïda, notamment AQMI et les groupes des différentes obédiences islamiques qui s’implantent au fur et à mesure, mettant à profit l’indifférence ou la complice nonchalance des Etats de la région. Quand le problème du terrorisme au Sahel s’était posé crûment il y a deux ans aux États et aux gouvernements de la région, le Maroc n’a pas cessé d’en appeler à une action concertée et à la mise en œuvre d’une stratégie efficace qui impliquait notamment une riposte nécessaire et collective. Le gouvernement algérien, tout à son aveuglement, a cru utile d’isoler le Maroc et a commis l’erreur même de ne pas l’inviter à la conférence qu’il a organisée avec certains pays de la région pour définir une stratégie commune de lutte contre le terrorisme. Il a préféré s’ériger en « commandant suprême », mais n’a pas mesuré l’inefficacité de son prétendu engagement dans ce sens. Grand mal lui en fut, car le terrorisme – notamment celui d’AQMI – est un phénomène rampant, il ne pourra jamais être combattu isolément, mais interpelle tous les États riverains.
      L’inquiétude du SG de l’ONU
      Ban Ki-moon, tout à sa lucidité même tardive, vient de le comprendre et d’en expliquer la teneur. Il a vu que la réouverture des frontières entre le Maroc et l’Algérie favorisera, outre la paix, une concertation efficace entre les deux gouvernements. « La montée de l’instabilité et de l’insécurité dans la région du Sahel, dit-il dans son rapport, requiert un règlement urgent de ce conflit de longue durée… » ! Et comme pour mieux souligner la portée menaçante d’un tel danger, il a exprimé sa « grande préoccupation quant à la sécurité du personnel de la MINURSO », ajoutant que « les opération en cours au nord du Mali peuvent menacer à long terme la région ». Le secrétaire général des Nations unies, se souciant plutôt des membres de la MINURSO, a déclaré que « la suspension continue de patrouilles de nuit de la MINURSO est destinée écarter les risques de possibles infiltrations d’éléments armés et de lacunes en matière de coordination au niveau de la sécurité régionale… »…
      C’est peu dire qu’une telle inquiétude, justifiée bien entendu, semble ne pas tenir compte de la présence des Forces armées royales qui, voilà près de quarante ans maintenant, assurent la sécurité et la pleine quiétude des citoyens au Sahara, y compris des membres de la MINURSO ! Cela dit, il convient de mesurer à, quel point la communauté internationale , incarnée par l’ONU, s’achemine vers une prise de conscience plus ou moins aiguë de l’effet de l’affaire du Sahara sur le Sahel, à moins que ce ne soit l’inverse…Au Mali, fief d’une guerre par procuration à géométrie variable, la France s’est trouvée seule à faire la guerre au islamistes de toutes obédiences, à s’exposer ensuite aux représailles de ces derniers. Il aura fallu la grave attaque des islamistes contre le site pétrolier et gazier de Aïn Minas , avec sa tragique issue, pour que le gouvernement algérien prennent plus pou moins la réelle mesure du spectre terroriste et qu’il décide enfin de « verrouiller » le point de passage critique au sud de son territoire où se croisent toutes sortes de trafic : drogue, armements, cigarettes, commerce illicite et trafic d’hommes et de femmes.
      La pomme de discorde
      Poreuse, la fragile ligne de « démarcation » est jusqu’à nouvel ordre demeurée incontrôlée voire incontrôlable, lors même que les dirigeants algériens s’entêtent à affirmer à qui veut les écouter qu’ils vont assurer la sécurité, là, pas loin en tout cas où près d’une quinzaine d’otages européens, dont une majorité de Français, ont été kidnappés. C’est peu dire que l’appel pressant de Ban Ki-moon à une réouverture des frontières entre le Maroc et l’Algérie s’inscrit dans le souci de voir s’instaurer une concertation impérative face au déferlement du terrorisme qui, outre fragiliser les États, entend instaurer un ordre et un régime de violences et d’esclavage. Or, si Maroc et Algérie souscrivent à l’appel de Ban Ki-moon, rien ne semble les disposer à briser la barrière de la méfiance…L’affaire du Sahara constitue la pomme de discorde, le conflit le plus long qui devrait d’abord être réglé politiquement et consensuellement. C’est le préalable nécessaire… Et le ministre panaméen des Affaires étrangères, Fernando Nunez Fabrega, n’a pas tort d’affirmer que « le problème du Sahara n’est pas un conflit entre le Maroc et le Front polisario, mais plutôt entre le Royaume et l’Algérie », avant de préciser que son pays « soutient le processus de négociations sous les auspices des Nations unies, dans le respect de l’intégrité territoriale du royaume et que le plan marocain d’autonomie des provinces du Sud, constitue une initiative qui devrait être abordée par les parties avec un esprit d’ouverture, de pragmatisme et de réalisme »…

      Le Soir-échos.com

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      • #63
        Ban Ki-moon, avocat d’une normalisation maroco-algérienne
        @ Serpico

        Si c'est avec ces gouvernants qui sont sur place à Alger:
        Tous les Marocains ou presque ne sont pas chauds ou d'accord et pensent que ça ne vaudrait pas la peine

        Commentaire


        • #64
          Si c'est avec ces gouvernants qui sont sur place à Alger:
          Tous les Marocains ou presque ne sont pas chauds ou d'accord et pensent que ça ne vaudrait pas la peine
          Aghbal
          Il faut distinguer les peuples des dirigeants.

          Même fermées 700 000 algériens prennent l'avion pour venir au Maroc.

          Les marocains auraient fait de mêmes si le discours de la presse algérienne n’était pas si belliciste et faisait , à tort, peur aux marocains mais surtout si la promo et les conditions d’hébergement étaient assurées comme au Maroc et en Tunisie.

          http://www.algerie-dz.com/forums/sho...84&postcount=1

          Des touristes algériens au Maroc, il y en a, mais des touristes marocains en Algérie, on n'en voit pas beaucoup.

          Je pense que c'est parce qu'il n'y a pas encore suffisamment de promotion et de marketing du côté algérien. Les agences de voyage algériennes ne font pas la promotion au Maroc. De plus l'infrastructure touristique en Algérie commence à se développer. Des choses se font et il y a plus d'hôtels. Il y a quelques années, je suis venu à Annaba, et je n'ai pas trouvé où passer la nuit. J'ai été étonné de voir la ville fermée à 17h… J'ai visité Oran et en toute franchise j'ai été émerveillé par les richesses naturelles extraordinaires de la région. Il y a la mer, la montagne et la forêt. Tout ce qu'il faut pour une vie paisible. Il manque juste l'infrastructure touristique. Il faut l'investissement de la part des opérateurs économiques algériens. La plage de «Madere», la région de Canastel, m'ont vraiment impressionné.

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          • #65
            Il faut distinguer les peuples des dirigeants.
            @ Serpico

            Effectivement, tous les Marocains de Tanger à Lagouira font et savent faire la différence entre le peuple Algérien et ses gouvernants

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            • #66
              Envoyé par Serpico
              Toujours aussi perspicace notre Mek !!

              Que ce soit la MAP où bien "Mi al harnounia" qui le dit , les propos de Ban Ki monn sont bien ceux là .

              Titre Le Soir-échos.com : Ban Ki-moon, avocat d’une normalisation maroco-algérienne

              Le premier est secrétaire général des Nations unies, le second ministre panaméen des Affaires étrangères. Ils ont aujourd’hui en commun d’alerter, sans pourtant se concerter, sur les menaces que ferait peser sur la région de l’Afrique du nord un enlisement du conflit du Sahara. Autrement dit, cet état de « ni paix, ni guerre », invoqué autrefois par Raymond Aron, commence à inquiéter la communauté internationale pour ne laisser indifférents les responsables de l’ONU et des gouvernements attentifs à ce dossier....

              .....

              La pomme de discorde

              Poreuse, la fragile ligne de « démarcation » est jusqu’à nouvel ordre demeurée incontrôlée voire incontrôlable, lors même que les dirigeants algériens s’entêtent à affirmer à qui veut les écouter qu’ils vont assurer la sécurité, là, pas loin en tout cas où près d’une quinzaine d’otages européens, dont une majorité de Français, ont été kidnappés. C’est peu dire que l’appel pressant de Ban Ki-moon à une réouverture des frontières entre le Maroc et l’Algérie s’inscrit dans le souci de voir s’instaurer une concertation impérative face au déferlement du terrorisme qui, outre fragiliser les États, entend instaurer un ordre et un régime de violences et d’esclavage. Or, si Maroc et Algérie souscrivent à l’appel de Ban Ki-moon, rien ne semble les disposer à briser la barrière de la méfiance…L’affaire du Sahara constitue la pomme de discorde, le conflit le plus long qui devrait d’abord être réglé politiquement et consensuellement. C’est le préalable nécessaire… Et le ministre panaméen des Affaires étrangères, Fernando Nunez Fabrega, n’a pas tort d’affirmer que « le problème du Sahara n’est pas un conflit entre le Maroc et le Front polisario, mais plutôt entre le Royaume et l’Algérie », avant de préciser que son pays « soutient le processus de négociations sous les auspices des Nations unies, dans le respect de l’intégrité territoriale du royaume et que le plan marocain d’autonomie des provinces du Sud, constitue une initiative qui devrait être abordée par les parties avec un esprit d’ouverture, de pragmatisme et de réalisme »…

              Source : Le Soir-échos.com .MAROC
              Quelle est la différence entre Le Soir-échos.com.et la MAP

              El-Haj Moussa
              Moussa El-Haj


              J'ai bien vérifier la déclaration de Ban Ki-moon mais ya pas toutes ces trara publier par la presse marocaine qui a comme d'habitude déforme et rajoute des sujets concernant sahara ou l'algerie pour satisfaire les marocains




              .

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              • #67
                Pourquoi ban ki moon parle dans son t rapport sur le sahara de l'ouverture des frotieres
                Ban ki moon n'a rien écrit, dans le rapport transmit au conseil de sécurité, sur l'ouverture ou la fermeture des frontières Algéro-marocaines !!

                Il a par contre, évoqué le rapport de l’organisation américaine RFKennedy center, la reconduction de la MINURSO ainsi que le renforcement de son personnel, ... mais point de frontières.

                Commentaire


                • #68
                  Ban ki moon n'a rien écrit, dans le rapport transmit au conseil de sécurité, sur l'ouverture ou la fermeture des frontières Algéro-marocaines !!

                  Il a par contre, évoqué le rapport de l’organisation américaine RFKennedy center, la reconduction de la MINURSO ainsi que le renforcement de son personnel, ... mais point de frontières
                  pour etre aussi affirmatif, il faut l'avoir entre les mains. Non?

                  Commentaire


                  • #69
                    pour etre aussi affirmatif, il faut l'avoir entre les mains. Non?
                    Et qu'est ce que tu croyais ?
                    Dernière modification par jawzia, 10 avril 2013, 15h11.

                    Commentaire


                    • #70
                      j'ai beau cherché mais en vain, si tu peux partager? ça nous permettra de supprimer ce qui a été ajouté par les agences de presse des 3 protagonistes

                      Commentaire


                      • #71
                        Sahara : Ban Ki-Moon pour un mécanisme indépendant de contrôle des droits de l’Homme

                        Pourtant dans cet article de "ya biladi" il n'est nullement question d'ouverture des frontiéres




                        Sahara : Ban Ki-Moon pour un mécanisme indépendant de contrôle des droits de l’Homme


                        Publié le 10.04.2013 à 11h44 | Par Mohammed Jaabouk


                        Dans son rapport, Ban Ki-moon dit craindre des conséquences négatives de la crise au Mali sur le conflit au Sahara. Le secrétaire général de l’ONU propose, également, l’installation d’un mécanisme indépendant pour le contrôle des droits de l’Homme ausi bien au Sahara que dans les camps de Tindouf.

                        Un nouveau rapport du secrétaire général des Nations Unies sur le Sahara occidental. Il sera débattu le 25 avril par les membres du Conseil de sécurité et fera l’objet d’une résolution des Quinze. La crise malienne est la principale nouveauté du document. Ban Ki-moon a fait sien les propos, du 20 mars à Alger, de son envoyé personnel au Sahara, Christopher Ross,en appelant à une solution urgente du conflit. « La montée de l'instabilité et de l'insécurité au sein et autour du Sahel requiert une solution urgente de ce conflit qui dure depuis longtemps », mis en garde le diplomate sud-coréen.
                        Le Polisario n’exclut pas des infiltrations terroristes

                        Ban Ki-moon reconnait dans son rapport que «tous les gouvernements consultés se sont vivement inquiétés du risque de débordement du conflit malien dans les pays voisins et craignent qu'il ne contribue à radicaliser les camps de réfugiés». Les amis de Mohamed Abdelaziz partagent également cette appréhension mais seulement dans les coulisses. «Au cours de rencontres avec la Minurso, des dirigeants du Front Polisario n'ont pas exclu des infiltrations terroristes», écrit Ban Ki-moon.

                        «D'éventuelles infiltrations de groupes armés, des lacunes dans la coordination en matière de sécurité et le manque de ressources pour le contrôle des frontières mettent les observateurs militaires en danger», poursuit-il. Bien avant cette reconnaissance à demi-mot, le responsable de la défense au Front, l’Algérien Mohamed Lamine Bouhali admettait, dans un entretien accordé au quotidien espagnol ABC, le ralliement de « 20 à 25 membres du Polisario » dans les rangs d’AQMI et le MUJAO.
                        Pour la création d’un mécanisme indépendant

                        Jusque là, le document onusien répondait largement aux attentes du Maroc, ce qui va suivre ne va pas les enchanter. Conscient du refus catégorique de Rabat de l’élargissement des prérogatives de la MINURSO à la surveillance des droits de l’Homme au Sahara, Ban Ki-moon propose une solution médiane : la création d’un mécanisme indépendant chargé de la supervision de cette épineuse question aussi bien dans les régions sous contrôle de l’administration marocaine que dans les camps de Tindouf en Algérie. « C’est plus que jamais pressant », reconnaît le secrétaire général de l’ONU. Reste à savoir si Alger et Rabat répondront favorablement à la nouvelle proposition de Ban Ki-Moon ?

                        ya biladi

                        Par contre dans cet autre article c'est le Maroc qui fait cette demande lors de la réunion des 5 + 5


                        Trafic de drogue : Le Maroc réclame la réouverture des frontières avec l'Algérie


                        Publié le 10.04.2013 à 14h30 | Par Mohammed Jaabouk


                        Après quatre ans d’absence, les ministres de l’Intérieur du groupe 5+5 se sont rencontrés en Algérie. Depuis, le contexte international et régional a complétement changé. Le renforcement de la sécurité en Méditerranée n’est plus une priorité, c’est le Sahel qui est la majeure préoccupation. Une région où terrorisme et trafic de drogue vont de pair.

                        Les ministres de l’Intérieur des pays de la Méditerranée occidentale se sont réunis, mardi, à Alger. Le Maroc était représenté par Mohand Laenser. La lutte contre le terrorisme dans la région du Sahel a accaparé une bonne partie des travaux du groupe 5+5. Selon la Déclaration d’Alger, les représentants de l’Algérie, Mauritanie, Libye, Maroc et Tunisie ainsi que la France, Italie, Espagne, Malte et Portugal ont convenu d’intensifier la coopération en matière de sécurisation des frontières, et ce, à travers les échanges d’expertises, d’expériences, d’informations, d’analyse et d’évaluation. Des cycles de formation spécialisée seront organisés pour les experts de la CIMO en vue de faciliter le transfert de technologies et la modernisation des systèmes de contrôle et de la sécurité des documents de voyage.

                        Le Maroc réclame la réouverture des frontières avec l’Algérie

                        A l’occasion de cette réunion consacrée au terrorisme et au trafic de drogue, le ministre de l’Intérieur, Mohand Laenser a saisi cette tribune internationale pour plaider en faveur de la réouverture des frontières terrestres avec l’Algérie, fermées depuis 1994. Elle conduira nécessairement à une «meilleure coopération» dans la lutte contre le trafic de stupéfiants. « Si le trafic de drogue est la cause qui justifie la fermeture des frontières, alors les frontières ne s’ouvriront jamais car il n’y a pas un seul pays au monde qui a réussi à éradiquer le trafic » a répondu le ministre aux questions des journalistes algériens sceptiques quant à l’engagement du Maroc à lutter contre ce fléau.
                        Se voulant plus persuasif, Laenser a tenu à rappeler « qu’en matière de lutte contre les stupéfiants, le Maroc est signataire de toutes les conventions internationales. Il suffit juste de lire les statistiques pour constater le niveau des saisies et la diminution de 70% des superficies cultivées. Avec mon confrère ministre de l’Intérieur d’Espagne, nous sommes revenus ce matin sur les moyens de lutte déployés. Pour ce qui est des frontières avec l’Algérie, il y a également des statistiques et des actions de coopération qui iront en se consolidant».
                        Sur ce point, les chiffres fournis par les autorités algériennes sont nettement en faveur du Maroc. « De 53 tonnes de résine de cannabis en 2011, les saisies ont dépassé 157 tonnes en 2012 », souligne le quotidien Le Soir d’Algérie. La dernière réunion des ministres de l’Intérieur de la CIMO remonte à novembre 2009 à Venise en Italie.
                        En abordant ouvertement le dossier de la réouverture des frontières avec l'Algérie, Mohand Laenser a fait mieux que son collègue aux Affaires étrangères, Saâd Dine El Otmani qui avait passé sous silence ce sujet, lors de sa visite à Alger en janvier 2012.

                        ya biladi
                        " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

                        Commentaire


                        • #72
                          Donc, on est en plein : إن جاءكم فاسق بنبأ فتبينوا

                          La MAP et bien d'autres journaux ne sont pas dignes de confiance.
                          وإن هذه أمتكم أمة واحدة

                          Commentaire


                          • #73
                            j'ai beau cherché mais en vain, si tu peux partager? ça nous permettra de supprimer ce qui a été ajouté par les agences de presse des 3 protagonistes........ K 537
                            Tu n'as pas besoin de chercher , tu n'as qu'à lire ce qu'écrivent te propres journaux , dont je reproduis deux articles de l'un deux en l'occurence " ya biladi;

                            n'allez pas l'accuser d'être un torchon à la solde de la DRS
                            " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

                            Commentaire


                            • #74
                              iska

                              un article n'est jamais exhaustif, ne t'attend pas a ce qu'il te rapporte tout le contenu du rapport qui doit faire des pages en un article

                              faut etre con pour se suffir aux articles des journaleux de tout bord

                              Commentaire


                              • #75
                                oui si sur! quand c est pour c est bien. quand c est contre c est pas bien!!

                                Commentaire

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