Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Marocains expulsés d'Algérie en 1975 Le débat s'invitera au Sénat de Belgique

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Hypocrisie quand tu nous tiens.

    l'histoir que le fln t'as appris est fausse. Tu savais pas qu'une grande partie de l'armenment venait de Nador,
    La totalité de l'armement venait de Yougoslavie, Chine ,URSS, Tchécoslovaquie, et un degré moins de l'Egypte, ces armes transitaient essentiellement via la Tunisie, et des cas rares via le RIF.
    tu savais pas que les moujahidines de l´epoque ne faiasaient aucune difference entre le Maroc et l'Algerie...
    On peut dire ce qu'on veut sur nous 2 peuples, à l´epoque, ils etaient unis, ils ne connaissaient ni frontiere, ni fln, ni polizario.
    oui durant cette période le FLN n’existait pas , et pourtant c'est la période la plus glorieuse du FLN, je ne savais que les frontières n'existait pas alors que c'est a cause de ces mêmes frontières que le H2 avait agressé l’Algérie
    il est vrai que les deux peuples ne connaissaient ni frontières, ni fln, ni Polizario ni MAKHZANE

    Commentaire


    • Gros Menteur , cette mesure a touchée en premier lieu les Marocains dabord , ensuite les francais , les espagnoles .... et dans une moindre Mesure les algériens , et devine quoi malgré celà , je serais pour que les algériens lésés soeint indemnisés . arrête donc de vouloir excuser une Injustice par une autre injustice .
      je suis pas une menteuse, je sais que des algériens on vu leur bien nationalisée, contrairement a surtout des français!!

      les détails j'en connais pas!!

      je justifie rien, puisque je suis contre toute indemnisation !!!
      Dernière modification par naw08, 22 mai 2013, 11h16.

      Commentaire


      • Naw08

        je sais que des algériens on veut leur bien nationalisée...

        les détails j'en connais pas!!



        Tu postes d'un salon de coiffure ??

        Commentaire


        • je suis pas une menteuse, je sais que des algériens on veut leur bien nationalisée, contrairement a surtout des français!!
          et moi je te dis que c'est surtout les français qui ont souffert de cette mesure .

          les détails j'en connais pas!!
          je crois que meme les grandes lignes , tu ne les connais pas

          je justifie rien, puisque je suis contre toute indemnisation !!!
          ben moi , je suis pour , une injustice restant toujours une injustice qui merite réparation
          " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

          Commentaire


          • Tu postes d'un salon de coiffure ??
            surement pas de chez toi!!

            Commentaire


            • On a beaucoup entendu parler de l’expropriation faite par l’Algerie sous Boumediene mais, au Maroc, Ils nn’ont probablement jamais entendu parler des algeriens spolies deux annees auparavant

              Conformément aux dispositions du dahir portant loi n°1.73.213 du 2 mars 1973, relatif au transfert à l’Etat de la propriété des immeubles agricoles appartenant aux personnes physiques étrangères ou aux personnes morales, des milliers d’Algériens possédant des biens à Guercif, Agadir, Taza, Oujda, Berkane, Casablanca, Nador et Fès ont été inexorablement spoliés.

              Le plus grave, c’est que cette loi n’a été appliquée que contre nos ressortissants, comme nous avons pu le constater sur place. Une discrimination que ne peuvent justifier ni expliquer des responsables concernés du royaume. Embarrassés, ils fondent cependant un grand espoir dans le réchauffement des relations entre nos deux pays pour « rétablir nos frères algériens dans leurs droits ». Guercif, dans l’Oriental. Une agglomération moyenne qui, économiquement, reste à la traîne des autres cités du territoire chérifien. Une situation que la fermeture des frontières terrestres en 1994 a davantage noircie. Mohamed-Abdelouahab Bousmaha, le représentant d’une famille algérienne de Sidi Bel Abbès dépossédée, les larmes aux yeux, nous prie de nous arrêter pour nous montrer « les dizaines d’hectares qui nous ont été pris injustement ». Située en plein centre urbain, une partie des terres a été donnée en exploitation à un citoyen marocain qui a pignon sur rue. L’autre a été transférée pour utilité publique. C’est quand même curieux cette réquisition par l’Etat de ces biens en ce sens que cette grande superficie est située en zone urbaine donc, en principe, non concernée par la loi royale. D’ailleurs, le maire de Guercif le reconnaît dans une attestation signée le 10 juin 2003. « Cette parcelle se trouve dans le secteur urbain de la ville de Guercif conformément au découpage administratif de l’année 1992. » A la Conservation foncière de Taza, un responsable qui connaît bien le dossier avoue : « Ce cas est inexpliqué. Normalement, cette terre ne devrait pas être touchée par la loi de 1973, mais… » Gêné, il continue : « Mais il devrait être réglé avec ce dégel entre nos deux pays. Patience. » Et qu’en est-il des autres biens, dont seuls les Algériens ont été touchés ? Notre interlocuteur, embarrassé, dit poliment : « Espérons qu’un autre Dahir sortira pour annuler le premier. » Il n’en dira pas plus. L’avocat de la famille de Mohamed-Abdelouahab Bousmaha, un Algérien installé à Oujda depuis longtemps, est perplexe : « Malgré tous nos documents et un dossier bien ficelé, les différentes instances marocaines continuent de faire la sourde oreille. Nos courriers restent sans réponse. » Au consulat d’Algérie à Oujda, le vice-consul nous reçoit expéditivement et nous rassure : « Le dossier des Algériens expropriés est entre de bonnes mains. » Nous lui avons demandé de nous communiquer le nombre de nos concitoyens victimes de ce Dahir. « Tous les dossiers se trouvent à notre ambassade de Rabat. » Et comme si ce dossier était du domaine du secret défense, le vice-consul précipita notre départ. Qu’à cela ne tienne. A l’ambassade, l’attaché de presse nous informe : « Ce dossier est bien pris en charge par les autorités algériennes. » Nous apprendrons que sur le territoire chérifien 14 000 Algériens sont recensés, mais qu’il en existe plus de 60 000. Quant aux victimes de ce Dahir, point de chiffre. Dans la même circonscription de Guercif, la famille Abbou parle de cette spoliation avec amertume : « Non seulement ils nous ont pris nos terres, mais ils nous ont chassés du Maroc comme des malfrats. Ils nous ont éloignés du royaume pour nous empêcher de défendre nos droits. » La famille Khiter, originaire de Khemis Miliana, se rappelle la période durant laquelle leur ferme de valeur et près de 300 ha situés à Agadir ont été transférés à l’Etat. « Du jour au lendemain, on nous a réduits à des gueux. Mais à ce jour nous continuons à lutter par la voie légale pour récupérer nos biens. » A Casablanca, K. Khiter, une Algérienne, chef d’entreprise, respectée pour les prouesses qu’elle accomplit dans son domaine ( le traitement des eaux), parle de l’expropriation avec tristesse, colère et impuissance : « Loin de juger qui que ce soit, il faut qu’on sache que nos biens actés nous ont été pris. Légalistes, nous continuons à lutter pour recouvrer nos droits. » Et de nous montrer un dossier volumineux transmis à toutes les instances des deux pays. La famille Louzri de Soumaâ, à Blida, possède (ou possédait) des biens à Beni Mellal. « Nous sommes très nombreux éparpillés sur tout le territoire du Maroc. Et tous les Algériens dans notre cas ne demandent qu’une seule chose : nos droits. » Sur le boulevard Mohammed V, à Casablanca, se dresse majestueusement l’hôtel Lincoln.
              Une association pour recouvrer les droits
              Une infrastructure dont sont fiers les Casablancais de souche. Mais le Lincoln n’est pas fonctionnel. Les travaux de restauration sont à l’arrêt. La raison ? Le propriétaire : la famille Bendra, d’origine algérienne, de l’extrême ouest. Et cela explique tout. Un journaliste du Matin Eco, nous sachant algériens, essaie de commenter cette situation : « Cet hôtel est une fierté pour nous. Sa restauration n’est pas allée à son terme parce que les autorités reprochent au propriétaire, à ce qu’il paraît, de ne pas respecter l’architecture du monument. Espérons que toutes les parties arriveront à une solution parce que cette fermeture dénature quelque peu ce boulevard de renom. » Maigre justification : les Casablancais interrogés sur la situation du Lincoln n’y vont pas par quatre chemins pour reconnaître que la raison est toute simple : « C’est un Algérien et certains acceptent mal qu’un Algérien réussisse. Et puis le projet est tellement grandiose qu’il attise les convoitises. » Les Algériens propriétaires de biens fonciers victimes des dépassements des autorités marocaines sont très nombreux. Pour défendre leurs droits, ils s’attellent à créer une association dénommée Algériens expropriés au Maroc (ALEMA), dont le président provisoire est Mohamed-Abdelouahab Bousmaha, résidant à Sidi Bel Abbès. « Nous lançons un appel à tous les Algériens expropriés au Maroc de nous contacter au 070 36 01 13 ou au 071 33 03 05 pour constituer notre association qui est encouragée par notre ambassade à Rabat et nos différents consulats au Maroc. Nos objectifs sont clairs : nous sommes apolitiques. Nous voulons recenser tous les concernés par ce problème et défendre les droits de cette catégorie d’Algériens résidant en Algérie ou au Maroc. Enfin, nous sommes optimistes quant à l’issue de nos revendications, surtout que les relations entre nos deux pays repartent sur de bonnes bases », souligne M. Bousmaha. Le site de cette association est en construction. Nos différents interlocuteurs affirment : « On ne peut pas envisager le raffermissement des relations entre les deux pays si ce contentieux – un parmi d’autres – n’est pas réglé. Ce serait hypocrite et fragile de rebâtir une union sur des litiges lourds. C’est comme si on construisait une maison sur un volcan. » Quand on pense que les autorités marocaines ne pensent qu’à la réouverture des frontières terrestres, l’on se demande si, quelque part, on essaie encore une fois de duper des Algériens toujours meurtris par mille et un coups fourrés fomentés par nos voisins.

              Chahredine Berriah
              "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

              Commentaire


              • et moi je te dis que c'est surtout les français qui ont souffert de cette mesure .
                rak ghalet fi ghalet, les Français et les autres étrangers ont été généreusement remboursés par le Makhzane,sauf les Algériens, et tout ça bien avant 1975

                Commentaire


                • Apres le premier effondrement en 1989 , le propriétaire , Mr Bendra a effectue une expertise auprès du plus grand laboratoire public de la place qui stipule sans aucune équivoque que la bâtisse ne peut en aucun cas être conservée.

                  Devant cette décision technique il demande aux autorités la démolition et la reconstruction en respectant le cachet architectural du centre ville.
                  Il se trouve devant une multitude d intervenants qui ne se soucient que du cote esthétique de la façade sans se soucier du cote technico-financier d une telle entreprise.
                  Aujourd'hui , alors que la facade s est effondrée comme prévue par l expertise effectuée 20 ans plus tot , on s acharne a vouloir exproprier le maitre des lieux.

                  N est il pas temps de rendre a Cesar ce qui est a Cesar et de permettre au propriétaire de jouir de son bien tout en veillant a ce que son projet soit a la hauteur des amoureux de Casablanca? :

                  "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

                  Commentaire


                  • @Ichweiter
                    haouari tu es HS. On parle des marocains expulsés d'Algerie et non de sebta, mritch, guerre du rif, le combat que les vrai maghrebins ont menés ensemble. Sa devient de n´importe quoi. Restons dans le sujet stp....====

                    il est tout le temps hors sujet,mais le lui faire cmprendre???
                    peut etre que ca un rapport avec son pseudo..

                    Commentaire


                    • On a beaucoup entendu parler de l’expropriation faite par l’Algerie sous Boumediene mais, au Maroc, Ils nn’ont probablement jamais entendu parler des algeriens spolies deux annees auparavant
                      @ AARROU + BERIAH


                      Il ne faut pas mélanger les cartes et n'importe comment

                      Les soit-disant Algériens expropriés au Maroc font partie des biens récupérés

                      Les Algériens concernés étaient des Fançais et décideurs responsables loin d'être des "HARKI" qui ont largement profité de l'aide et faveurs du colonialisme français pour acquérir et amasser tous ces biens

                      Les Marocains spoliés par la France au détriments de ces Français musulmans ont porté plainte avec documents à l'appui de propriété en bonne et dûe forme

                      C'était exactement la même chose faite et réalisée en Algérie par feux BENBELLA et Boumédiene dans le cadre de récupération des biens de l'état Algériens

                      Les Marocains d'Algérie ont été déportés et carément privés de leur biens, ils n'étaient pas des Français et ou colonisateurs

                      Commentaire


                      • que toute personne spolié de ces terres et ses biens , et arraché à leurs familles obtiennent leurs droits et que les coupables soient trainé en justice !

                        mais bon , nous vivons dans un monde plein d'injustice ! je doute fort qu'ils obtiendront gain de cause !

                        Commentaire


                        • L’affaire des Algériens dépossédés de leurs terres agricoles et autres biens immobiliers par le royaume chérifien du Maroc refait surface. Une lueur d’espoir scintille pour les victimes résidant sur la bande frontalière, particulièrement dans la localité de Roubane, relevant de la commune de Béni-Boussaid, appelée communément «Zouia», après que les éléments
                          de la Gendarmerie nationale et les élus locaux aient procédé à leur recensement et à la réception de leurs dossiers, appuyés par des actes de propriété de leurs biens spoliés.


                          Pour rappel, ce contentieux remonte au 2 mars 1973, date à laquelle le gouvernement marocain avait rendu public un Dahir ou décret relatif à la nationalisation des terres agricoles et immeubles appartenant à des personnes étrangères, physiques et morales. Tous les étrangers ont été indemnisés, à l’exception des Algériens qui se sont vus dépossédés et expulsés manu militari.

                          Pourtant, selon les juristes, ce Dahir ne devait pas s’appliquer aux Algériens, car au lendemain de la guerre de 1963, dite guerre «des sables», une convention avait été signée entre les deux pays, garantissant, dans ses articles 2 et 3, les mêmes droits aux ressortissants installés dans les deux Etats. C’est donc un contentieux vieux de 40 années et depuis, les autorités marocaines refusent de le traiter et d’indemniser les victimes de cette injustice.

                          «J’ai quitté le Maroc les poches vides et la veste sur les épaules»
                          A Roubane, la nouvelle de cette éventuelle indemnisation est accueillie avec optimisme et appréhension à la fois. Les victimes sont unanimes à dire «que le Maroc conditionne le règlement de ce contentieux avec l’ouverture des frontières terrestres». «A l’APC de Béni-Boussaid, les élus locaux nous ont confirmé le recensement des victimes de la spoliation, alors que les gendarmes affirment avoir reçu des instructions pour collecter les dossiers de toutes les victimes, sans divulguer la source de cette instruction».

                          Pour la population, «c’est la présidence de la République qui a ordonné cette enquête». Pour Hadj Mohamed Maâlaoui, une victime, «le Maroc ne pourra jamais réparer cette injustice et l’humiliation subie, après que la gendarmerie royale nous ait chassé de nos terres et de nos domiciles et saisi tous nos biens, y compris nos bêtes». Après un long silence, il poursuit : «On a été malmené. J’ai quitté le Maroc avec ma seule veste et les poches vides.»

                          19 000 hectares de terres très fertiles
                          Interrogé sur la localisation de ces terres et leur consistance, il affirme que «la majorité des Algériens avaient des terres agricoles et d’autres biens à Oujda, Berkane, Saïdia, Aguercif, Taourirt, Taza, Ahfir, mais aussi à Fès, Meknès et Casablanca», soulignant que «ces terres représentent une superficie de 19 000 hectares très fertiles, car situées dans la meilleure plaine marocaine, celle d’Ahfir et Berkane».

                          Il pense que ces terres valent aujourd’hui quelque 150 000 euros l’hectare, «ce qui représente des milliards que le Maroc doit aux victimes algériennes, estimées à environ 10 000 à être dépossédées», nous dira Miloud Ameziane, qui souligne :

                          «Je possédais les meilleures terres et les plus beaux vergers d’orangers de Berkane. J’ai remis actes et documents de ces biens aux gendarmes, mais je suis persuadé que le Makhzen n’a nullement l’intention de régler cette affaire, car ces terres génèrent de grands revenus pour le Maroc.

                          Cette région est le poumon économique du Maroc d’où sont exportés tous les agrumes et les légumes vers l’Europe, générant des devises incommensurables. Croyez-vous que le Maroc acceptera de nous les rendre ou de nous indemniser à coup de milliards d’euros?

                          Commentaire


                          • cell et prolétaire

                            petite on m'a appri un dicton ; qole elhaqa wa law kana morrane !!!

                            aghbal, barka metfelssif, quand on veut tuer son chien on l'accude de rage!!

                            Commentaire


                            • Les soit-disant Algériens expropriés au Maroc font partie des biens récupérés

                              Les Algériens concernés étaient des Fançais et décideurs responsables loin d'être des "HARKI" qui ont largement profité de l'aide et faveurs du colonialisme français pour acquérir et amasser tous ces biens
                              Ecoute a SI CHRIF Ichwiter ou je ne sais qui..
                              -l’Algérie a officiellement réclamée l'indemnisation des ses ressortissants, pourquoi le maroc ne fait pas pareil?.
                              en 1973 les individus en question étaient Algériens et non Français a SI CHRIF
                              maintenant vous nous sortez l'histoire du colon et du colonialisme alors que vous n’arrêtez pas de nous matraquer avec des expressions tel que le maroc n'a jamais été colonisé
                              Les Marocains d'Algérie ont été déportés et carément privés de leur biens, ils n'étaient pas des Français et ou colonisateurs
                              Des Marocains clandestins en Algérie ont été reconduit chez eux .
                              Dernière modification par Wosnay, 22 mai 2013, 12h21.

                              Commentaire


                              • Dans le cadre de la marocanisation et des terre récupérées

                                Un grand nombre de pays nouvellement indépendants durant les décennies 1950 et 1960 avaient procédé à l’expropriation des terres qui s’étaient appropriés les colons durant la période de la colonisation

                                Certains propriétaires sont arrivés à vendre illégalement, d’autres ont continué à les exploiter jusqu’en 1973.

                                En effet, un premier dahir a soumis à autorisation toute opération portant sur des propriétés agricoles ou à vocation agricole située à l’extérieur des périmètres urbains dès lors que l’un des contractants est une personne morale, étrangère ou non une personne physique étrangère.

                                Un deuxième dahir a décide la récupération des lots de colonisation et de certaines terres adjacentes.

                                En 1973, le dahir du 2 mars 1973 transfère l’état marocain la propriété des immeubles agricoles ou à vocation agricole situés en totalité ou en partie à l’extérieur des périmètres urbains.

                                . Le transfert de la propriété fut effectué moyennant une indemnisation qui prend en considération les intérêts de toutes les parties concernées. .

                                Cependant, des formules ont été explorées et qui permettent à des étrangers de réaliser des investissements agricoles au Maroc en prenant avec les nationaux : association avec des investissements marocains qui font leurs apports sous formes de terres, location sur la base de contrat de bail à long terme (la durée de location peut atteindre 99ans)

                                Des prêts et crédits sont garantis par l'état auprès des banques pour travailler la terre en collaboration avec les services concernés

                                Un haut responsable auprès du ministère de l'agriculture défie tout concerné prétendant qu'il n'a pas été indemnisé selon les régles de l'art et les procédures préétablies

                                Commentaire

                                Chargement...
                                X