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Le Maroc qui a profané le drapeau algérien «dénonce» l’attaque contre l'ambassade saoudienne

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  • #61
    le rago a écrit : "ben barka a vivement dénoncé l'agression lâche du maroc contre l'algérie a Amgala".

    Pour rappel : feu ben barka a été enlevé en 65 et n'a plus jamais réapparu et Amgala a eu lieu en 1976, soit 11 ans plus tard, notre Ragoteur l'a ressucité pour lui faire dire ce qu'il l'arrangeait
    a part ça tu ne divagues pas non...
    Non a t-il vraiment ecrit ça? je pense que c'est un agent marocain qui a piraté son compte

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    • #62
      Non a t-il vraiment ecrit ça? je pense que c'est un agent marocain qui a piraté son compte


      c'est plutot son esprit qui est piraté ........... il ne fait que répéter les mêmes débilités " visa, interdépendance, ilot persil et blablabla" même quand ça n'a aucun rapport avec les sujets...

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      • #63
        il ne fait que répéter les mêmes débilités " visa, interdépendance, ilot persil et blablabla" même quand ça n'a aucun rapport avec les sujets..
        il ne fait pas la différence entre constitution et loi non plus

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        • #64
          " "ben barka a vivement dénoncé l'agression lâche du maroc contre l'algérie a Amgala".

          A cette occasion, j'avais admis mon incurie et si vous êtes de bonne foi, vous devriez admettre ma contrition.

          En revanche, vous faites fi de mon intégrité morale stipulant que Medhi Ben Barka fut condamné à trois (3) reprises à mort, battant de la sorte un record du monde. Même son copain Nelson Mandela n'avait subi pire sort alors que le Maroc (selon l'ANC) soutenait l'apartheid immonde sud-africain.
          ________________________

          Plus tard, au début des années 1980, lorsque le même Mandela croupit à Robben Island, l’armée marocaine, en pleine guerre contre le Polisario soutenu par l’Algérie, se fournit secrètement en blindés légers Panhard fabriqués sous licence en Afrique du Sud. Il n’en faut pas plus pour que l’ANC y voit une collusion entre le royaume et le régime de l’apartheid, et assimile le combat des indépendantistes sahraouis au sien – la commune idéologie « progressiste » des deux mouvements faisant le reste. En 1994, à peine arrivé au pouvoir, Nelson Mandela, qui n’a pas la mémoire courte, s’engage par écrit auprès du président de la RASD, Mohamed Abdelaziz, à reconnaître sans délai l’entité sahraouie.

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          • #65
            Rago:
            Nelson Mandela, qui n’a pas la mémoire courte, s’engage par écrit auprès du président de la RASD, Mohamed Abdelaziz, à reconnaître sans délai l’entité sahraouie.
            @rago, vous n'avez pas honte de faire dire aux autres des choses qu'ils n'ont jamais dites ou écrites ?????

            Mandela a été président de l'Afrique du Sud de 1994 à 1999 alors que l'Afrique du Sud n'a reconnu vos mercenaires qu'en 2004, soit 5 ans après le départ de Mandela !!!!

            Gallek sans délai !

            Rago, vous n'êtes pas sérieux. Vous dites n'importe quoi.

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            • #66
              @HAKIMCASA

              constaté ; la diplomatie marocaine patauge dans son caca

              En Politique régionale et internationale ne sait sur quel pied danser

              Le Maroc qui a profané le drapeau algérien «dénonce» l’attaque contre l'ambassade saoudienne
              A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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              • #67
                " vous n'avez pas honte de faire dire aux autres des choses qu'ils n'ont jamais dites ou écrites ?????

                Mandela a été président de l'Afrique du Sud de 1994 à 1999 alors que l'Afrique du Sud n'a reconnu vos mercenaires qu'en 2004, soit 5 ans après le départ de Mandela !!!!

                Gallek sans délai ! " (hakimcasa)

                Je réitère que je ne suis pas Marocain et par conséquent honorable et crédible.

                Si vous avez des doléances à faire, faites-le au journal Jeune Afrique puisque c'est celui-ci qui avait produit l'article que vous incriminez!
                _________________________

                En 2000, la ministre Dlamini Zuma informe officiellement le Maroc que son pays, sans rien renoncer de ses convictions, est prêt à jouer les médiateurs entre les deux parties. Rabat fait la sourde oreille. En 2003, la compétition pour la désignation du pays hôte de la Coupe du monde de football en 2010 met aux prises… l’Afrique du Sud et le Maroc. De part et d’autre, la campagne prend un tour nationaliste malsain, et les arguments échangés – qui vont jusqu’à la mise en cause de ces deux institutions que sont la monarchie et la personne de Nelson Mandela – laissent des traces au sein de l’opinion. Le Maroc perd et, dans ce contexte, la réitération de l’offre sud-africaine de médiation ne pouvait qu’être mal accueillie à Rabat.

                Source: jeuneafrique.com/88542/archives-thematique/les-dessous-d-une-rupture/

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