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Union africaine: Le Maroc présente officiellement sa demande de réintégration

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  • #31
    on était persona non grata
    ça nous a donc permis d'entretenir d'autre relations avec d'autre pays frère Africain
    par exemple le Sénégal
    il y a une relation de respect entre nous
    Historiquement et économiquement
    fadwa,

    tu me forces là...

    3la 3inik, le maroc n'a jamais été persona non grata à ma connaissance..
    et pour cause, il est membre fondateur !!! avec bcp d'amis..

    je pense qu'intelligente comme je t'imagine, tu vois bien que cet épisode était une perte de temps.. finalement le maroc n'est pas un arbre avec des feuilles en europe... mais un arbre avec des fruits en afrique à la bonne heure..


    hakimcasa,

    le drapeau su maroc comme tu dis flotte depuis 76.. donc bien avant le départ de addis... ptit pb de chronologie... yu're nervous

    allih jen ai assez dit..

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    • #32
      Twenza

      3la 3inik, le maroc n'a jamais été persona non grata à ma connaissance..
      et pour cause, il est membre fondateur !!! avec bcp d'amis..

      je pense qu'intelligente comme je t'imagine, tu vois bien que cet épisode était une perte de temps.. finalement le maroc n'est pas un arbre avec des feuilles en europe... mais un arbre avec des fruits en afrique à la bonne heure..
      Moi intelligente
      Je n'aurais pas cette prétention
      merci
      Lorsque j'écris persona non grata
      Je fais allusion à la présence du Polisario
      Le Maroc ne peux ni reconnaitre
      Ne peux ni etre présent à ses côté
      vous imaginez faire parti d'une union ou votre pire ennemis siège avec vous
      donc voilà son désaccord
      mais j'aurais préféré qu'il soit intégré dans l'union Africaine
      le point noire c'est le Polisario
      bonne soirée
      Dernière modification par Fadwasoussya, 23 septembre 2016, 23h57.
      Taroua ddante" qui veut dire "Les enfants ont été emportés (par l'eau)" que cria une femme berbère qui faisait sa lessive au bord du fleuve quand les crues emportèrent ses enfants!

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      • #33
        posté par Serpico

        INTEGRATION NE VEUT PAS DIRE RECONNAISSANCE !!

        Le but recherché par le Maroc c'est de travailler à l’intérieur de l'UA pour récolter les 8 voix restantes afin d'obtenir les 36 voix nécessaires pour amender le statut de l'UA et botter cet "état" fantoche ( sans terre , ni peuple) hors de cette organisation...
        .

        Logiquement , une reconnaissance de la chaise " RASD " à l ONU de la part du Maroc ..

        1/Maroc officiel de 56
        2/ RASD siège à l ONU
        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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        • #34
          Je fais allusion à la présence du Polisario
          Le Maroc ne peux ni reconnaitre
          Ne peux ni etre présent à ses côté
          au fait t contre le retour du maroc à l'UA...

          je comprends mieux..

          ce qu'on peut dire c que s'il était resté, il aurait usé de son influence pour marginaliser la rasd ou le polisario...alors que maintenant c le maroc qui est le dernier arrivé... ça ne rime à rien quoi. hassan 2 a choisi de compter sur ses amis d'occident mais les occidentaux khada3ine..

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          • #35
            tawenza
            Il ne pouvait pas resté.L'Algérie,la Libye et le Nigéria étaient contre lui.
            Le bon moment c'est maintenant.Kaddafi et ses valises pleines de $ ne sont plus là,le Nigéria a des problèmes économiques et d'insécurité ,l'Algérie est dans une situation de faiblesse, crise de succession et crise économique,une diplomatie affaibli à l'international et surtout en Afrique à cause de la longue absence du président algérien,et le Maroc a d'abord élargi son influence à d'autres état africains.Donc c'est le bon moment.

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            • #36
              ne vous torturez pas les méninges,le Maroc va réintégrer l'ua dans le seul et unique but de bouter isa dehors,avec en prime un bon coup aux f...,et une baffe magistrale a ces harkis qui la soutiennent

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              • #37
                Ça couterait combien l'integration du mak à l'union africaine?
                "Qui ne sait pas tirer les leçons de 3 000 ans, vit au jour le jour."
                Johann Wolfgang von Goethe

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                • #38
                  salut fad,

                  tu veux dire en quittant l'afrique, cela a permis de faire des relations avec l'afrique ?
                  Tawenza
                  Si tu lisais moins les torchons algériens tu saurais que les relations commerciales avec l'Afrique n'ont jamais été aussi florissantes que depuis que le Maroc a quitté l'OUA.

                  Le Maroc a laissé le blabla politique à l’Algérie et s'est concentré sur l’économique d’où le questionnement suivant..
                  L’Algérie parviendra-t-elle à rattraper le Maroc dans la conquête de marchés africains ?

                  Par Saïd Aït-Hatrit (contributeur Le Monde Afrique, Alger) .

                  Il a sauvé sa tête. Le ministre algérien de l'industrie, Abdeslam Bouchouareb, a échappé, samedi 11 juin, au troisième remaniement ministériel depuis la réélection d’Abdelaziz Bouteflika pour un quatrième quinquennat en 2014. Et cela tombe bien, car, le lundi précédent, M. Bouchouareb avait enfin réussi à annoncer une date pour un Forum économique algéro-africain, du 19 au 21 novembre, qu’il pourra conduire si le gouvernement d’Abdelmalek Sellal reste stable d’ici là.

                  L’ambition déclarée du ministre est d’« orienter les exportations du pays, hors hydrocarbures, vers leur première destination naturelle et de développer des investissements dans ce continent qui possède d’énormes potentialités ». Une volonté déjà énoncée lors de la 19e rencontre tripartite qui a réuni le 5 juin le gouvernement, le patronat et les syndicats pour plancher sur un « nouveau modèle », alternative à la rente pétrolière. Mais une volonté qui arrive tard : l’Algérie, en Afrique , a pris un retard considérable sur son grand rival, le Maroc .

                  Ce nouveau rendez-vous de novembre est d’autant plus attendu que celui qu’avait voulu organiserM. Bouchouareb en 2015 n’avait pas pu se tenir . Le défi est de taille. Si l’Algérie est influente diplomatiquement en Afrique, son économie est à la traîne et vit sous la menace d’une « crise », comme le relevait cette semaine le quotidien El Watan.Le secteur de l’énergie, qui assure à l’Algérie 60 % de son budget et 95 % de ses recettes externes, souffre en effet d’un ralentissement des investissements étrangers et d’une baisse de l’exploration et de la production.
                  « Conditions trop contraignantes »

                  Lors des neuf premiers mois de l’année 2015, l’Afrique subsaharienne n’a pesé que pour 84 millions de dollars (74,5 millions d’euros) dans les exportations du pays (0,29 %) et pour 289 millions de dollars dans ses importations (0,74 %), des chiffres qui augmentent marginalement quand on y ajoute les échanges avec les pays de l’Union du Maghreb arabe (UMA). Le Maroc, lui, qui a impulsé une politique économique africaine depuis une vingtaine d’années, a exporté, en 2014, sur les marchés africains 5,2 % de sa production, essentiellement au sud du Sahara, soit l’équivalent de 1,8 milliard de dollars et de 467 millions de dollars vers l’UMA. Mais c’est surtout avec un stock d’investissements orienté à près de 50 % sur le continent que le Maroc se distingue. Le royaume est ainsi devenu le premier investisseur en Afrique de l’Ouest, très loin devant l’Algérie.

                  Or en Algérie, pour éviter la fuite de capitaux, la Banque centrale doit donner son accord pour chaque transfert de fonds. Un frein terrible au développement des relations économiques avec l’Afrique. Bien qu’officiellement assouplies en novembre 2014, « les conditions d’éligibilité et de mise en œuvre sont encore trop contraignantes », estime Samir Sayah, directeur associé du cabinet CMS, qui précise : « L’accord préalable du Conseil de la monnaie et du crédit est toujours nécessaire et seules les societés exportatrices, puisqu’elles contribuent aux réserves de changes, peuvent y accéder [leur investissement doit alors être complémentaire de leur activité algérienne]. En d’autres termes, les autorités gardent la main sur le choix des opérateurs qui auront le privilège d’être de l’aventure. »

                  C’est aussi sur ce choix d’opérateurs, justement, que le bât blesse. Manque de chance : plusieurs de ceux qui ont les capacités industrielles et financières de se lancer dans l’aventure africaine sont précisément ceux dont le gouvernement se méfie.Rouiba, leader algérien des jus de fruits, projette depuis octobre 2014 de gérer six usines de transformation de fruits, livrées à l’Etat béninois en 2013, avant de développer un site industriel plus ambitieux. « Nous voulons créer une plateforme industrielle à même de fournir l’immense marché nigérian, mais aussi une plateforme logistique afin d’exporter notre production algérienne, explique son patron, Slim Othmani, connu pour ses positions critiques envers le régime algérien. La présidentielle béninoise organisée en mars a ralenti le dossier, mais c’est surtout l’attente [depuis plus d’un an] de la décision de la Banque d’Algérie concernant notre investissement qui nous empêche d’avancer. »

                  Issad Rebrab, seul entrepreneur privé algérien « global » avec son groupe Cevital, avait lui aussi prospecté en 2012 en Afrique subsaharienne. Il est devenu la bête noire du pouvoir et aurait vu depuis des années ses projets bloqués par Alger.


                  « Les fonds que l’on peut sortir peuvent nous permettre d’exporter, mais pas d’investir pour produire », analyse un patron qui préfère garder l’anonymat et qui pense pourtant que les choses pourraient évoluer avec la nomination, le 31 mai, de Mohamed Loukal, ancien PDG de la Banque extérieure d’Algérie (BEA, publique), à la tête de la Banque centrale. Deux semaines plus tôt, la BEA, qui compte parmi les quinze premières banques d’Afrique par le poids de son bilan, indiquait vouloir moderniser ses réseaux pour « s’imposer en tant que banque majeure à l’échelle continentale ». Le ministre de l’industrie Abdeslam Bouchouareb souligne lui-même l’urgence pour l’Algérie de déployer des banques en Afrique.
                  « Participation active de l’Etat »

                  Outre les aspects réglementaires, Kamel Moula, directeur général de Venus Sapeco, leader du cosmétique en Algérie, et président du Cub des entrepreneurs et industriels de la Mitidja (CEIMI), pointe un problème « culturel » : « L’export, c’est compliqué, c’est un métier et toutes les entreprises ne le connaissent pas. Beaucoup de PME compétitives pourraient profiter d’opportunités qui nous parviennent, mais elles ne savent pas le faire. » Plusieurs industriels interrogés souhaitent d’abord consolider leurs parts de marché locales, dans un pays qui connaît un certain boom consumériste, si possible avec le soutien de l’Etat face aux importateurs, afin de faire baisser la facture extérieure.
                  Entre la compagnie aérienne publique Air Algérie, qui ouvre de nouvelles dessertes vers l’Afrique, la route transsaharienne (Alger-Niamey-Lagos), achevée en Algérie mais victime de l’insécurité dans le Sahel, ou encore le futur méga-port de Cherchell, l’Algérie dispose d’atouts. Mais Slim Othmani prévient : « Il nous faudra une participation active de l’Etat pour y parvenir, un peu comme le Maroc l’a fait. On verra ce qui se passera au Forum de novembre. Il ne s’agit pas de débarquer en conquérant : nous sommes les derniers à arriver et personne ne nous attend. »







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                  • #39
                    Mais pourquoi vouloir exclure la RASD?
                    rago
                    Que répondre à cette niaiserie ?

                    Commentaire


                    • #40
                      Serpico dixit: " Que répondre à cette niaiserie ?"

                      Et pourtant, la question garde toute sa pertinence. Le voeu marocain de faire requête d'une adhésion (et non d'une réintégration) à l'Union africaine consiste-t-il à rejoindre l'entité africaine ou d'en exclure la RASD?

                      Pour l'exclusion de la RASD, il s'agira d'une autre affaire car l'Afrique du Sud n'a toujours pas digéré le soutien marocain à l'apartheid et le royaume doit s'attendre à un retour sur l'histoire.

                      D'où Afrique du sud et Maroc: cela va être explosif!

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                      • #41
                        Anticipant une telle perspective, les opposants du Maroc ont lancé une campagne de défense de la « RASD ». Le 25 juillet la commission de l’UA rappelait que « l'Acte constitutif de l'Union Africaine ne contient pas de disposition relative à l'expulsion d'un membre quelconque de l'Union ». Une réponse à la motion signée par 28 Etats réclamant la suspension de la république autoproclamée en 1976. Mi-août, c’est au tour du Conseil de paix et de sécurité de l'Union africaine, une instance sous l’emprise de l’Algérie, du Nigéria et de l’Afrique du Sud, de prendre le relais pour exiger des conditions à l’adhésion du Maroc.


                        Si l’acceptation de la demande ne devrait finalement pas poser de problème, les officiels marocains devront apprendre à côtoyer les cadres du Polisario lors des différentes réunions de l’Union africaine. Une situation délicate en attendant de réunir la majorité des deux tiers nécessaire pour une modification de l’Acte constitutif de 2000 balisant l’expulsion de la « RASD ».


                        Source: site marocain

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                        • #42
                          D'où Afrique du sud et Maroc: cela va être explosif!

                          rago
                          Le corrompu Zuma et l'ANC miné par les scandales ne sont pas éternels et ils finiront par sauter et leur animosité du Maroc avec ..

                          Comme viendra le tour de la junte d'Alger ainsi que ses soutiens Nigeria et Venezuela au bord de l'implosion.

                          Au Maroc on a tout le temps du moment que c'est le drapeau marocain qui flotte sur son Sahara ....depuis 41 ans !!


                          Source: site marocain

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                          • #43
                            serpico,

                            après l'émergence qui jamais n'émerge, voici venu le temps de l'investissement en afrique...

                            le maroc pays du tirs monde demandeur d'investissement va investir ailleurs !!!!

                            je crois autant aux invest du maroc en afrique qu'à ceux de ses frères arabes au maghreb. on jour à la marge mon gars réveille toi

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                            • #44
                              le maroc pays du tirs monde demandeur d'investissement va investir ailleurs !!!!
                              le Maroc est le 2 eme investisseurs africains en Afrique (derrière l'AS)...les marocains investissent pas mal en Afrique compte tenu de leur moyens (relativement limités)...Pourquoi? parce qu'il y a retour sur investissement...c'est une politique gagnant-gagnant.
                              Dernière modification par rodmaroc, 24 septembre 2016, 15h22.

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                              • #45
                                qui a raison qui a tord, celui qui a décidé de sortir ou celui qui décide de rentrer
                                sachant que les cause de la première décision est encore la
                                pour les défenseurs de leur seigneur tout les deux ont raison
                                ce qui est sur c'est que tout les deux , yederbou w yekhtaw
                                المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

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