(Agence Ecofin) - Le roi du Maroc Mohammed VI (photo) va entamer, le 18 octobre, une tournée en Afrique de l’Est qui le conduira au Rwanda, en Ethiopie et en Tanzanie.
Durant sa visite au Rwanda, le souverain marocain devrait être accompagné d’une délégation d’hommes d’affaires qui chercheront à explorer les opportunités d’investissement. Cette visite fait suite à celle effectuée par le président rwandais Paul Kagamé, en juin dernier, au Maroc, à la tête d’une délégation de hauts fonctionnaires du gouvernement et de représentants des milieux d’affaires rwandais.
Le roi Mohamed VI devrait, par ailleurs, solliciter le soutien du président Kagamé pour le retour du royaume au sein de l’Union africaine (UA).
En Ethiopie, dont la capitale Addis-Abeba abrite le siège de l’UA, il devrait aussi évoquer la volonté du Maroc de «réintégrer sa grande famille africaine».
Pays de 90 millions d’habitants, l’Ethiopie intéresse également les entreprises marocaines. BMCE Bank y dépêche régulièrement des missions de prospection en faveur des hommes d’affaires ; Managem y est déjà en phase d’exploration et l’Office chérifien des Phosphates (OCP) compte s’y implanter.
En Tanzanie, c’est aussi le potentiel économique de ce pays qui enregistre, bon an, mal an, une croissance de 7%, qui intéresse les décideurs politiques et les acteurs économiques marocains.
Mohamed VI a déjà effectué plusieurs tournées en Afrique depuis son accession au trône en 1999. De nombreuses entreprises marocaines font, depuis plus d’une dizaine d’années, le pari de l’Afrique subsaharienne en vue de tirer profit de la forte croissance économique que connaît la région et de réduire leur dépendance à l’égard des économies européennes, en proie à des crises répétées.
Aujourd’hui, les grands groupes marocains, à l’instar de Maroc Télécom, l’Office national de l’eau et de l’électricité (ONEE) ou encore Attijariwafa Bank et la Banque marocaine du commerce extérieur (BMCE) sont implantés dans plus d’une vingtaine de pays d’Afrique subsaharienne.
Entre 2010 et 2014, plus de la moitié des investissements directs à l’étranger (IDE) du Maroc ont concerné l’Afrique pour un montant de 1,5 milliard d’euros.
Durant sa visite au Rwanda, le souverain marocain devrait être accompagné d’une délégation d’hommes d’affaires qui chercheront à explorer les opportunités d’investissement. Cette visite fait suite à celle effectuée par le président rwandais Paul Kagamé, en juin dernier, au Maroc, à la tête d’une délégation de hauts fonctionnaires du gouvernement et de représentants des milieux d’affaires rwandais.
Le roi Mohamed VI devrait, par ailleurs, solliciter le soutien du président Kagamé pour le retour du royaume au sein de l’Union africaine (UA).
En Ethiopie, dont la capitale Addis-Abeba abrite le siège de l’UA, il devrait aussi évoquer la volonté du Maroc de «réintégrer sa grande famille africaine».
Pays de 90 millions d’habitants, l’Ethiopie intéresse également les entreprises marocaines. BMCE Bank y dépêche régulièrement des missions de prospection en faveur des hommes d’affaires ; Managem y est déjà en phase d’exploration et l’Office chérifien des Phosphates (OCP) compte s’y implanter.
En Tanzanie, c’est aussi le potentiel économique de ce pays qui enregistre, bon an, mal an, une croissance de 7%, qui intéresse les décideurs politiques et les acteurs économiques marocains.
Mohamed VI a déjà effectué plusieurs tournées en Afrique depuis son accession au trône en 1999. De nombreuses entreprises marocaines font, depuis plus d’une dizaine d’années, le pari de l’Afrique subsaharienne en vue de tirer profit de la forte croissance économique que connaît la région et de réduire leur dépendance à l’égard des économies européennes, en proie à des crises répétées.
Aujourd’hui, les grands groupes marocains, à l’instar de Maroc Télécom, l’Office national de l’eau et de l’électricité (ONEE) ou encore Attijariwafa Bank et la Banque marocaine du commerce extérieur (BMCE) sont implantés dans plus d’une vingtaine de pays d’Afrique subsaharienne.
Entre 2010 et 2014, plus de la moitié des investissements directs à l’étranger (IDE) du Maroc ont concerné l’Afrique pour un montant de 1,5 milliard d’euros.
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