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La CIA révèle les visées militaires de l’Algérie au Sahara Occidental

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  • #16
    c'est ce que claironnent depuis 20 ans les diplomates d'alger,alors que toute leur diplomatie extérieure est intrinsèquement focalisée sur cette affaire,dans un but extrêmement obscure mais néanmoins évident.
    obscur ou évident ??? enfin bref....je crois que le but est clair.....faire ch ier le maroc.....
    tu tombe je tombe car mane e mane
    après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

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    • #17
      bachi,dans le paneau,hé hé
      les marocains ignorés,..hé,,hé

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      • #18
        obscur ou évident ??? enfin bref....je crois que le but est clair.....faire ch ier le maroc.....
        Pas uniquement, mais surtout permettre un debouche pour exporter les ressources naturelles du Sahara.

        Je pense que personne n'est suffisamment naif pour croire que la junte militaire depense autant d'argent et d'energie par humanisme, pour defendre les pseudo-droits de quelques milliers de personnes...a qui elle n'offre elle-meme aucun droit...si ? certains le croient vraiment ?

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        • #19
          bachi,dans le paneau,hé hé
          les marocains ignorés,..hé,,hé
          En fait, il adore nos posts. Je sais qu'il lit tous nos posts...Mais on le droit de bouder comme un gamin a tout age...

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          • #20
            @Upup

            ... L'algerie voulait et veut un accès à l atlantique ...

            En supposant qu'un tel besoin soit réel et stratégiquement nécéssaire pour l'Algérie, il n'en demeure pas moins illégal et ce pourquoi la République Algérienne ne réclame pas de souveraineté sur le térritoire du sahara-Occidental. A contrario, le Royaume du Maroc ne cache pas ses prétentions à pousser ses frontières bien au-delà de ce qui lui est reconnu par le droit international et n'hésite pas pour cela à occuper illégalement des térrioires tiers. Les deux ambitions, en supposants qu'ils soient aussi symétrique que tu le dis, ne sont en rien comparables sur le terrain.

            ... L algerie en soutenant les polis à rien essaie de faire oublier le problème du Sahara oriental ...

            En supposant que ca soit le cas, il fat croire que la démarche est aussi éfficace qu'intélligente puisque le térritoire algérien est mis totalement en sécurité depuis l'agression d'Octobre 1963.

            ... Le temps fera que l algerie n atteindra jamais ces objectifs, pour des raisons évidentes ...

            Pas si évidentes que cela. Pourrais-tu développer ?
            "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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            • #21
              quelques tentatives d'exploration de l'inconnu ...
              boumediene en a fait les frais,le bougre!!
              EXCLUSIF. Comment Boumediene avait réagi à l'annonce de la Marche Verte



              A travers son récit, Jean Daniel apporte un éclairage d’une valeur historique certaine, au sujet d’un épisode peu connu des relations maroco-algériennes. Il raconte comment, en 1975, le président Boumediene avait accueilli l'annonce de la Marche Verte.
              Rappelons rapidement le contexte : En 1975, le Maroc avait demandé l’arbitrage de la Cour internationale de justice au sujet du différend qui l’opposait à l’Espagne concernant la récupération du Sahara.
              La Cour ayant reconnu :
              -sa compétence
              -que le Sahara n’était pas terra nullius avant l’occupation espagnole
              -et qu’il était lié au Maroc par des liens juridiques d’allégeance,
              Hassan II avait prononcé son fameux discours, le 16 octobre, quelques heures après la décision de la Cour internationale de Justice. A 18H30, de Marrakech, il annonçait le lancement de la Marche Verte.
              Quelques heures plus tard, coïncidence, Jean Daniel rencontrait Houari Boumediene, le président algérien, pour une interview.
              Interrogé par Guy Sitbon cette semaine à Paris, pour Médias 24, il nous livre ici en exclusivité, le récit de ce qu’il a vu et entendu ce 16 octobre 1975 à Alger.

              «Sans préavis, j’ai obtenu soudain ce jour-là une interview du Président Boumediene. De longue date, j’entretenais avec lui les meilleures relations. Avec moi, il ne faisait pas mine de ne parler qu’arabe. Il s’exprimait, sans embarras, dans un français très correct.
              J’ai été reçu au Palais du Gouvernement dans une salle en pleine effervescence. Ouvriers et électriciens s’affairaient à installer une sorte de studio de télévision avec écran, ce qui n’était pas commun à l’époque.
              Boumediene a fait une entrée assez théâtrale, son burnous habituel aux épaules. Son visage aux traits ascétiques et graves accentuait son allure majestueuse. Le geste souverain, la démarche auguste, il visait à en imposer à tous les regards. Il se prenait très au sérieux et tenait à ce que son interlocuteur le ressente.
              D’emblée, nous avons parlé de la Marche Verte annoncée quelques heures plus tôt. Il ne cachait pas sa colère sans l’extérioriser brutalement. Il restait très maître de lui jusqu’à ce qu’à l’écran apparaissent les images du roi Hassan II prononçant un discours.
              Là, le visage de Boumediene s’est métamorphosé. Un mélange de sourire nerveux et de fureur crispait son visage. Un moment, le roi parle de l’Algérie sur un ton conciliant et amical. Le Président lui lance, en arabe, une injure et, à ma stupeur, il avance son bras droit et délivre un magistral bras d’honneur. Tel un voyou de Bab el Oued.
              Le Président austère qui se donnait à voir quelques instants plus tôt avait disparu. J’avais devant moi un autre homme. Un jeune garnement des rues prêt à tout.
              Il s’est levé de son fauteuil et s’est mis à sautiller de façon étrange. Un peu hystérique. Je ne saurais dire s’il sautait de joie ou de colère, mais, je le revois très bien, il a bondi à plusieurs reprises. Il trépignait, comme s’il avait perdu le contrôle de son personnage.
              Les insultes contre Hassan II pleuvaient. J’étais stupéfait. Jamais je n’avais vu un chef d’Etat dans cet état. Ce n’était qu’un torrent d’invectives à un niveau insoutenable de grossièreté, d’obscénité, de vulgarité.
              Sans transition, ont suivi les menaces. Hassan II ne l’emportera pas au paradis. Il ne sait pas ce qui l’attend. L’Algérie ne se fera pas rouler dans la farine.
              J’étais d’autant plus abasourdi que l’affaire du Sahara trainait depuis longtemps. Les revendications du Maroc dataient de Mohamed V qui entendait affirmer sa souveraineté non seulement sur le Sahara Occidental mais sur la Mauritanie toute entière.
              Je n’oubliais pas, et Boumediene non plus, la défaite de l’Algérie pendant la guerre des sables d’octobre 1963. On sentait le goût de la revanche, le besoin d’effacer de mauvais souvenirs. Je n’ai plus souvenir des termes exacts mais l’idée était bien celle d’une riposte qui fera regretter à l’agresseur ses rodomontades. L’Algérie ne se laissera pas marcher sur les pieds. Elle rétorquera de tous ses moyens et on verra ce qu’on verra».media24

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              • #22
                Secret de polichinelle. ...... oeilfermé
                " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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                • #23
                  La CIA vient de laisser fuiter un rapport sur les relations maroco-algériennes,
                  Non c'est faux , la CIA n'a pas laissée fuiter un rapport elle a été autorisée a déclassifier des informations. Ce n'est qu'une procédure normal.
                  Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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                  • #24
                    Harrachi78,

                    Raisons évidentes = manque de ressources.

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                    • #25
                      il etait clair que hassan2 avait damé le pion a boumediene qui nourrissait des projets pour le fer de tindouf,impossible a rentabiliser sans son exportation par l'atlantique,le projet d'une société mixte avec le maroc aurait pu aboutir si la marche verte n'a pas eu lieu,c'est ce qui a mis boumediene dans une colère noire,il venait de se voir doublé et son ambition de couloir vers l'"atlantique pour exporter le fer de tindouf tombe a l'eau...
                      Le 16 octobre 1975 Jean Daniel du Nouvel Obs devait interviewer l’ancien président Boumediene. Ce jour a coïncidé avec l’annonce par le défunt Roi Hassan 2 de la Marche Verte pour la récupération du Sahara. Jean Daniel a détaillé pour Média 24 l’attitude et la réaction de président Boumediene à cette annonce.

                      « D’emblée, nous avons parlé de la Marche Verte annoncée quelques heures plus tôt. Il ne cachait pas sa colère sans l’extérioriser brutalement. Il restait très maître de lui jusqu’à ce qu’à l’écran apparaissent les images du roi Hassan II prononçant un discours.
                      Là, le visage de Boumediene s’est métamorphosé. Un mélange de sourire nerveux et de fureur crispait son visage. Un moment, le roi parle de l’Algérie sur un ton conciliant et amical. Le Président lui lance, en arabe, une injure et, à ma stupeur, il avance son bras droit et délivre un magistral bras d’honneur. Tel un voyou de Bab el Oued. Le Président austère qui se donnait à voir quelques instants plus tôt avait disparu. J’avais devant moi un autre homme. Un jeune garnement des rues prêt à tout.
                      Il s’est levé de son fauteuil et s’est mis à sautiller de façon étrange. Un peu hystérique. Je ne saurais dire s’il sautait de joie ou de colère, mais, je le revois très bien, il a bondi à plusieurs reprises. Il trépignait, comme s’il avait perdu le contrôle de son personnage. Les insultes contre Hassan II pleuvaient. J’étais stupéfait. Jamais je n’avais vu un chef d’Etat dans cet état. Ce n’était qu’un torrent d’invectives à un niveau insoutenable de grossièreté, d’obscénité, de vulgarité. Sans transition, ont suivi les menaces. Hassan II ne l’emportera pas au paradis. Il ne sait pas ce qui l’attend. L’Algérie ne se fera pas rouler dans la farine. »
                      Cette réaction hystérique de l’ancien président algérien va se traduire par une mobilisation de l’Algérie contre son voisin de l’Est. Cette mobilisation qui revêtait au départ, la forme d’un soutien au mouvement indépendantiste du Polisario s’est vite transformée au fil des années en une hostilité et à une sorte de guerre non déclarée contre le Maroc. Cette guerre revêt plusieurs formes :
                      -Guerre économique en s’engageant dans une course folle aux armements pour mettre à genou le Maroc qui dispose de moins de ressources et en maintenant fermée les frontières est du pays pour le couper du reste du Maghreb et de son prolongement arabe. Officiellement pour l’Algérie cette fermeture des frontières terrestres visait à protéger ce pays « du trafic de drogue et de la contrebande ». Or tout le monde sait que c’est la fermeture des frontières qui encourage ces trafics et pas seulement.
                      -Guerre diplomatique en mobilisant ses diplomates dans toutes les organisations et forums internationaux contre le Maroc ; en finançant toutes sortes de lobbies et les représentations diplomatiques et autres bureaux du Polisario.
                      -Guerre tout court, en armant et en abritant des combattants contre le pays voisin. Pendant les hostilités, les combattants du Polisario armés par l’Algérie faisaient des incursions à partir du territoire algérien de Tindouf et attaquaient les troupes marocaines et repartaient tranquillement se réfugier en Algérie. Hassan II qui était en droit d’exercer un droit de suite en territoire algérien s’est toujours interdit d’insulter l’avenir en engageant une guerre ouverte avec l’Algérie. Or l’affaire du Sahara était claire dès le début.
                      Rappel historique :
                      Il a été établi que les Almohades qui qui ont régné sur le Maroc à partir de l’a 10 50 et les Sadiens qui ont régné au 16 siècle à partir de Marrakech venaient du Sahara. Il est à rappeler à cet effet que si l’Espagne a pris possession de Oued Eddhab en 1884, elle n’a pris possession de Saquia El Hamra qu’en 1912 date de l’établissement du protectorat franco-espagnol sur le Maroc.
                      Le 25 février 1958 feu Mohammed V et après avoir rappelé les deux visites de son grand père Moulay Hassan au Sahara a proclamé que « Nous réclamons solennellement que nous poursuivons notre action pour le retour de notre Sahara dans le cadre du respect de notre droit historique » avant de dire ensuite que "le Maroc ne sera vraiment indépendant que lorsqu'il aura libéré toutes ses terres sahariennes". En 1965 , l’assemblée générale des Nations Unis dans sa résolution n°2072 a demandé à l’Espagne d’ « entamer des négociations pour le Libération de Sidi Ifni et Le Sahara Espagnol » liant donc le sort des deux territoires. Si Sidi Ifni a été rétrocédé au Maroc en 1969 mais celui-ci a continué à revendiquer ses provinces sahariennes. La revendication sur Sahara est donc bien antérieure à la création du Polisario.
                      La légalité de la récupération du Sahara :
                      C’est l’Espagne qui dans sa quête historique d’affaiblissement du Maroc depuis l’expulsion des arabes d’Andalousie et l’occupation des villes marocaines de Ceuta et Melilla, cherchait d’abord la création d’un état indépendant au Sahara en arguant que ce territoire était sans maitre « terra nillius » avant son occupation par l’Espagne. Pour prendre celle-ci de court, le 17 septembre 1974, dans une conférence de presse Hassan II annonça sa volonté de porter le différend devant la Cour International de Justice de La Hay pour un avis consultatif à l’effet de faire préciser le statut juridique du territoire du Sahara. Dans cette conférence de presse, le défunt Roi précisa « qu'au cas où la CIJ statuerait que le Sahara était une terre sans maître, avant sa colonisation par l'Espagne, le Maroc s'engageait a accepter l'organisation d'un référendum et à en respecter l'issue quelle qu'elle puisse être. » La Résolution 3292 de l’ONU adoptée le 13 décembre 1974, précisa la question à poser :
                      Le Sahara occidental (Rio de Oro et Sakiet El Hamra) était-il, au moment de la colonisation par l'Espagne, un territoire sans maître (terra nullius) ? Si la réponse à la première question est négative, Quels étaient les liens juridiques de ce territoire avec le Royaume du Maroc et l'ensemble mauritanien ?
                      La CIJ a répondu de façon claire que le territoire n’était pas un terrain sans maitre d’une part et que des liens d’allégeance « unissaient les habitants du Sahara aux sultans du Maroc ». Les mêmes liens qui unissaient ces mêmes sultans aux autres régions du Maroc. La Cour a reconnu aussi des liens entre le Sahara et l’ensemble mauritanien qui ne constituait pas un état. La cour a répondu aussi à une question qui ne lui a pas été posée sur l’autodétermination des peuples mais pas à l’intégrité territoriale des états. C’est pourquoi, ce territoire a été d’abord divisé entre le Maroc et la Mauritanie qui s’est désistée volontairement par la suite au profit du Maroc.
                      Les liens d’allégeance avec les Rois du Maroc étaient les seuls liens de souveraineté qui unissaient aussi les autres régions du Maroc notamment des villes comme Marrakech, Agadir, Fès, Oujda, Meknès ou Tanger. Les juges de la CIJ qui ne voulaient apparemment rien comprendre aux liens d’allégeance qui en droit musulman constituaient les seuls liens de souveraineté à l’époque ont été aussi dans l’amalgame puisqu’ils ont demandé la consultation des populations sahraouis.
                      La réponse du Maroc a été en ne peut plus claire : à la fin du protectorat franco- espagnol dans la zone nord, les populations des autres régions du Maroc liés aussi au Royaume par les liens d’allégeance n’ont jamais été consulté sur leur appartenance ou non à ce pays. Pourquoi alors la zone sud du Sahara Occidental. Par ailleurs si consultation il y a, cette consultation devait englober tous les habitants originaires de ce Sahara et qui se trouvent par milliers dans les autres régions du Maroc. Ce qui est un non-sens. C’est fort donc de l’avis de la CIJ que le Roi Hassan a entamé des négociations avec l’Espagne pour récupérer ce territoire après la Marche Verte.
                      Concernant le Polisario, les fondateurs de ce mouvement voulaient combattre l’Espagne dans le cadre de la souveraineté marocaine et c’est les atermoiements des autorités de l’époque qui ont conduits ce mouvement à tomber sous les escarcelles de la Libye de Kadhafi et de l’Algérie.

                      En effet l’histoire de Mohamed Abdelaziz ; le chef du Polisario est symptomatique à ce sujet. En effet le président de la RASD, de son vrai nom Hmatou Ould Khelili Mohamed Salem Rguibi est né à Marrakech en 1947 où il a effectué ses études primaires et secondaires avant de rejoindre Rabat pour des études supérieures. Il est marié à une algérienne de Tindouf devenue un personnage influent au sein de son mouvement. Il a donc préfère changer de nom, laisser tomber son pays et sa propre famille restée au Maroc dont son père Khelili Mohamed Salem Rguibi (retraité de l'armée marocaine) et ses deux frères, l'un est médecin à Casablanca et le deuxième avocat au barreau d'Agadir.

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                      • #26
                        la réalité est que

                        PENDANT TOUTES CES ANNÉES QUI COLONISE ET PILLE LES TERRES SAHARAOUIS :


                        LE COLON MAROCAIN !
                        Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                        Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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                        • #27
                          Ce n'est qu'une procédure normal.
                          ah bon,
                          tu trouve normal que le nid d'espions qu'est la cia rend publique des dossiers.
                          quel connaisseur!!

                          Commentaire


                          • #28
                            la verité sort de la bouche,ehh des ecrits de la sainte meriem..
                            amen.

                            Commentaire


                            • #29
                              Là, le visage de Boumediene s’est métamorphosé. Un mélange de sourire nerveux et de fureur crispait son visage. Un moment, le roi parle de l’Algérie sur un ton conciliant et amical. Le Président lui lance, en arabe, une injure et, à ma stupeur, il avance son bras droit et délivre un magistral bras d’honneur. Tel un voyou de Bab el Oued.
                              Il s’est levé de son fauteuil et s’est mis à sautiller de façon étrange. Un peu hystérique. Je ne saurais dire s’il sautait de joie ou de colère, mais, je le revois très bien, il a bondi à plusieurs reprises. Il trépignait, comme s’il avait perdu le contrôle de son personnage.
                              Les insultes contre Hassan II pleuvaient. J’étais stupéfait. Jamais je n’avais vu un chef d’Etat dans cet état. Ce n’était qu’un torrent d’invectives à un niveau insoutenable de grossièreté, d’obscénité, de vulgarité.
                              pauvre chien de boukharrouba...il voulait faire comme poutine, pousser le so a devenir independant et ensuite l'annexer comme la crimée en organisant un "referendum".

                              Commentaire


                              • #30
                                @AGHBAL: " Ce rapport pourtant officiel de l’agence de renseignement américaine semble oublier que l’Algérie s’était déjà impliquée militairement lors des batailles d’Amgala I et II, au cours desquelles, plusieurs dizaines de soldats et officiers algériens avaient été capturés par l’armée marocaine. Ils ont été par la suite rendus à l’Algérie par feu Hassan II."

                                Mais alors pourquoi tel n'est pas le cas des 1290 soldats marocains toujours censés être détenus par le Polisario?

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