« Le président et le secrétaire d’État (Rex) Tillerson vont assister à une cérémonie de signature de près de 110 milliards de dollars » d’accords militaires, a déclaré un responsable de la Maison-Blanche samedi 20 mai. Ces accords visent à « soutenir à long terme la sécurité de l’Arabie saoudite et de la région du Golfe face aux menaces de l’Iran », a-t-il ajouté sans détailler ces accords.
Plus tard, lors d’une conférence de presse conjointe avec le secrétaire d'Etat Rex Tillerson, le ministre saoudien des Affaires étrangères Adel al-Jubeir a affirmé que « la valeur des investissements dépasse les 380 milliards de dollars».
Ces accords étaient attendus par les experts. Interrogé par AFP avant cette annonce, Bruce Riedel, ancien de la CIA aujourd’hui analyste à la Brookings Institution, estimait que « l’énorme point d’interrogation (…) si l’Arabie saoudite signe des contrats pour un total de 100 milliards de dollars, est de savoir comment ils pourront régler la facture, avec les prix actuels du pétrole ».
15 milliards pour General Electrics
Peu auparavant, General Electrics (GE) avait annoncé samedi avoir signé une série de protocoles d’accords avec l’Arabie saoudite pour 15 milliards de dollars, en présence du président Donald Trump et du souverain saoudien Salmane ben Abdel Aziz.
Le document indique que la « collaboration » inclut la construction de nouvelles capacités de production électrique de 12 gigawatts (GW). GE a également signé un protocole d’accord avec le géant pétrolier Saudi Aramco pour « entreprendre une transformation numérique des opérations d’Aramco ». L’Arabie saoudite a engagé l’an dernier un ambitieux programme Vision 2030 visant à réduire la dépendance de l’économie saoudienne au pétrole, après l’effondrement des cours sur le marché international.
La Croix
Plus tard, lors d’une conférence de presse conjointe avec le secrétaire d'Etat Rex Tillerson, le ministre saoudien des Affaires étrangères Adel al-Jubeir a affirmé que « la valeur des investissements dépasse les 380 milliards de dollars».
Ces accords étaient attendus par les experts. Interrogé par AFP avant cette annonce, Bruce Riedel, ancien de la CIA aujourd’hui analyste à la Brookings Institution, estimait que « l’énorme point d’interrogation (…) si l’Arabie saoudite signe des contrats pour un total de 100 milliards de dollars, est de savoir comment ils pourront régler la facture, avec les prix actuels du pétrole ».
15 milliards pour General Electrics
Peu auparavant, General Electrics (GE) avait annoncé samedi avoir signé une série de protocoles d’accords avec l’Arabie saoudite pour 15 milliards de dollars, en présence du président Donald Trump et du souverain saoudien Salmane ben Abdel Aziz.
Le document indique que la « collaboration » inclut la construction de nouvelles capacités de production électrique de 12 gigawatts (GW). GE a également signé un protocole d’accord avec le géant pétrolier Saudi Aramco pour « entreprendre une transformation numérique des opérations d’Aramco ». L’Arabie saoudite a engagé l’an dernier un ambitieux programme Vision 2030 visant à réduire la dépendance de l’économie saoudienne au pétrole, après l’effondrement des cours sur le marché international.
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