Alors que l’Algérie et le polisario croyaient faire de la simple présence de la “rasd“ un événement et une victoire, le Maroc a de nouveau marqué de nombreux points dans un cénacle panafricain. La participation du Roi Mohammed VI a focalisé l’attention générale et les initiatives diplomatiques du Souverain ont mis en relief l’isolement de l’Algérie.
Le Roi Mohammed VI a reçu successivement ce mercredi 29 novembre à Abidjan, en fin de journée, à Abidjan, et en marge du sommet UA-UE, deux Chefs d’Etat de pays très hostiles à la cause nationale: l’Afrique du Sud et l’Angola.
Dans les deux cas, il a été convenu d’ouvrir une nouvelle page dans les relations bilatérales avec ces pays.
Avec le président sud-africain, Jacob Zuma, l’entretien a été qualifié de “chaleureux et empreint de franchise et de bonne entente entre les deux Chefs d’Etat qui ont convenu de travailler ensemble, main dans la main, pour se projeter dans un avenir prometteur, d’autant plus que le Maroc et l’Afrique du sud constituent deux pôles importants de stabilité politique et de développement économique, respectivement à l’extrême nord et l’extrême sud du continent“.
Ils ont aussi convenu de maintenir un contact direct et de se lancer dans un partenariat économique et politique fécond afin de construire des relations fortes, pérennes et stables et dépasser ainsi l’état qui caractérisait les relations bilatérales durant des décennies. Ils ont décidé que le cadre de la représentation diplomatique sera relevé par la désignation d’ambassadeurs de haut niveau à Rabat comme à Pretoria.
Avec l’Angola, partenariat économique et partage de savoir-faire sont également à l’ordre du jour. Au cours de l’entretien avec le Président de la République d'Angola, Joao Lourenço les deux chefs d'Etat se sont félicités de l’ouverture d’une nouvelle ère dans les relations bilatérales et ont convenu d’ouvrir de nouvelles perspectives de coopération dans l’ensemble des domaines.
Ayant marqué leur optimisme quant à l’avenir des relations bilatérales, les deux chefs d’Etat ont décidé de renforcer, d’une part, le dialogue politique et, d’autre part, l’essor de la coopération économique multisectorielle et ce, à travers le partage du savoir-faire et l’implication effective des communautés des affaires des deux pays.
Dans ce contexte, le Roi a invité le président Joao Lourenço à effectuer une visite officielle au Maroc dans un très proche avenir. Le président angolais a accepté cette invitation.
Sur les photos et les vidéos de la cérémonie d'ouverture, les représentants polisariens et algériens sont apparus complètement marginalisés. Comme toujours, le Maroc a travaillé dans la plus grande discrétion, sous le feu de la propagande adverse. Le ministre des Affaires étrangères a sillonné une partie du continent pendant les semaines qui ont précédé le sommet et des sources marocaines nous annonçaient sous le sceau du secret, des "suprises" à venir.
L’Algérie a présenté la participation du polisario à ce sommet comme une grande victoire, après avoir tenté en vain d’empêcher l’adhésion du Maroc à l’UA en janvier 2017. Le Maroc de son côté, a montré une nouvelle fois la force de sa présence et de ses réseaux africains. Le Roi a été indéniablement la vedette de l’ouverture du Sommet.
Ce sommet durera deux jours et prendra donc fin jeudi 30 novembre. Le Roi Mohammed VI rentrera au Maroc pour présider la veillée religieuse d’Al Mawlid et la délégation marocaine sera probablement présidée par le Prince Moulay Rachid.
Les thèmes du sommet UA-UE sont les migrations, l’emploi, la relance économique, la sécurité alimentaire, la lutte contre le terrorisme, thèmes dans lesquels le Maroc a une grande expertise qui est déjà mise au service de la coopération avec les pays subsahariens.
Le 16 décembre, la capitale du Nigéria accueillera le sommet de la Cedeao qui devrait officialiser l’adhésion pleine du Maroc. Les succès diplomatiques s’enchaînent.
Le Roi Mohammed VI a reçu successivement ce mercredi 29 novembre à Abidjan, en fin de journée, à Abidjan, et en marge du sommet UA-UE, deux Chefs d’Etat de pays très hostiles à la cause nationale: l’Afrique du Sud et l’Angola.
Dans les deux cas, il a été convenu d’ouvrir une nouvelle page dans les relations bilatérales avec ces pays.
Avec le président sud-africain, Jacob Zuma, l’entretien a été qualifié de “chaleureux et empreint de franchise et de bonne entente entre les deux Chefs d’Etat qui ont convenu de travailler ensemble, main dans la main, pour se projeter dans un avenir prometteur, d’autant plus que le Maroc et l’Afrique du sud constituent deux pôles importants de stabilité politique et de développement économique, respectivement à l’extrême nord et l’extrême sud du continent“.
Ils ont aussi convenu de maintenir un contact direct et de se lancer dans un partenariat économique et politique fécond afin de construire des relations fortes, pérennes et stables et dépasser ainsi l’état qui caractérisait les relations bilatérales durant des décennies. Ils ont décidé que le cadre de la représentation diplomatique sera relevé par la désignation d’ambassadeurs de haut niveau à Rabat comme à Pretoria.
Avec l’Angola, partenariat économique et partage de savoir-faire sont également à l’ordre du jour. Au cours de l’entretien avec le Président de la République d'Angola, Joao Lourenço les deux chefs d'Etat se sont félicités de l’ouverture d’une nouvelle ère dans les relations bilatérales et ont convenu d’ouvrir de nouvelles perspectives de coopération dans l’ensemble des domaines.
Ayant marqué leur optimisme quant à l’avenir des relations bilatérales, les deux chefs d’Etat ont décidé de renforcer, d’une part, le dialogue politique et, d’autre part, l’essor de la coopération économique multisectorielle et ce, à travers le partage du savoir-faire et l’implication effective des communautés des affaires des deux pays.
Dans ce contexte, le Roi a invité le président Joao Lourenço à effectuer une visite officielle au Maroc dans un très proche avenir. Le président angolais a accepté cette invitation.
Sur les photos et les vidéos de la cérémonie d'ouverture, les représentants polisariens et algériens sont apparus complètement marginalisés. Comme toujours, le Maroc a travaillé dans la plus grande discrétion, sous le feu de la propagande adverse. Le ministre des Affaires étrangères a sillonné une partie du continent pendant les semaines qui ont précédé le sommet et des sources marocaines nous annonçaient sous le sceau du secret, des "suprises" à venir.
L’Algérie a présenté la participation du polisario à ce sommet comme une grande victoire, après avoir tenté en vain d’empêcher l’adhésion du Maroc à l’UA en janvier 2017. Le Maroc de son côté, a montré une nouvelle fois la force de sa présence et de ses réseaux africains. Le Roi a été indéniablement la vedette de l’ouverture du Sommet.
Ce sommet durera deux jours et prendra donc fin jeudi 30 novembre. Le Roi Mohammed VI rentrera au Maroc pour présider la veillée religieuse d’Al Mawlid et la délégation marocaine sera probablement présidée par le Prince Moulay Rachid.
Les thèmes du sommet UA-UE sont les migrations, l’emploi, la relance économique, la sécurité alimentaire, la lutte contre le terrorisme, thèmes dans lesquels le Maroc a une grande expertise qui est déjà mise au service de la coopération avec les pays subsahariens.
Le 16 décembre, la capitale du Nigéria accueillera le sommet de la Cedeao qui devrait officialiser l’adhésion pleine du Maroc. Les succès diplomatiques s’enchaînent.
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