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Le Maroc et l’UE achèvent les négociations sur l’accord de pêche avec inclusion du Sahara
"La société Goggle spécialisée dans la cartographie transgresse le Droit international au Sahara occidental", croit savoir ce site polisarien parrainé par le dénommé Mohamed Ould Bouhali, ancien "vizir" de la soi-disant "armée sahraouie", et partisan invétéré de la reprise des hostilités contre le Maroc.
Ledit site oublie, à l'insu de son gré, que la décision de Google ne date pas d'aujourd'hui et qu'il ne s'agit là que d'une simple mise à jour de ses données cartographiques. En effet, la décision date du 27 avril 2013 quand cette entreprise américaine fondée en 1998 dans la Silicon Valley, en Californie, par Larry Page et Sergueï Brin, avait supprimé le trait séparant le Maroc de son Sahara.
Google n'a fait que confirmer une évidence en zappant de sa cartographie une entité qui n'a aucune existence et qui n'en aurait jamais, en dehors de l'imagination morbide des apparatchiks algériens octogénaires.
Reste à savoir si l'Accord spécifiera expressément " Sahara marocain" ou "Sahara Occidental"?
Dans le cas du premier cas " Sahara marocain", il est loisible de craindre que la dictature marocaine se verrait contrainte à dire adieu aux présides espagnols de Ceutat et Melilla ainsi qu'à l'îlot à chèvres ibérique de Persil.
Le Maroc et l’Union européenne (UE) ont paraphé aujourd’hui un nouvel accord de pêche et son protocole d’application. Cet accord vient mettre un terme à des mois de négociations entre les deux parties.
Le tant attendu accord de pêche entre le Maroc et l’Union européenne a été paraphé aujourd’hui à Rabat en présence du ministre des Affaires étrangères et de la coopération, Nasser Bourita et le ministre de l’Agriculture et la pêche, Aziz Akhannouch. Plusieurs modifications ont été apportées à la première version de l’accord et son protocole d’application. Voici les 5 principales choses à retenir du nouvel accord de pêche. Augmentation de la contrepartie financière
Selon les termes du nouvel accord, la contrepartie financière sera augmentée et celle-ci passera d’une moyenne annuelle de 40,0 M€ à 52,2 M€, soit une progression de 30%. Le niveau des débarquements obligatoires et les catégories de pêche restent inchangés par rapport à l’ancien protocole. Le nombre de navires concernés reste le même, à savoir, 128 navires. Une dimension socioéconomique
Ce nouvel accord compte aussi une dimension socioéconomique et des dispositions en faveur des populations des zones concernées, notamment en termes d’infrastructures, de services sociaux de base, de créations d’entreprises, de formation professionnelle, de projets de développement et de modernisation du secteur de la pêche.
Le nombre de marins marocains autorisés à embarquer dans les navires européens augmentera aussi. Le but est de maximiser les impacts socioéconomiques sur ces régions. L’accord maintient fixe un chiffre de débarquement obligatoire avec une augmentation du niveau des pénalités à 15% au lieu de 5% en cas de non-respect du nombre fixé. Préservation de l’écosystème
Cet accord se fixe comme objectif de préserver la durabilité des ressources halieutiques et la protection de l’environnement marin. Pour se faire, plusieurs exigences techniques ont été intégrées au protocole d’application de cet accord.
Il s’agit de la révision des plafonnements de captures de petits pélagiques au sud, en adéquation avec le cycle de vie de ces espèces. Certaines espèces à préserver (tels que le poulpe et les crevettes), sujettes à des plans d’aménagement strictes ne sont pas incluses dans le nouvel accord notamment. Pas touche à la méditerranée !
L’accord, paraphé ce lundi, fixe un territoire limité aux navires de pêche. Il couvre la zone géographique allant du Cap Spartel, près de Tanger au Cap Blanc, dans la frontière maroco-mauritanienne. L’accord exclut la mer Méditerranée de ce périmètre afin de préserver ses ressources, qui souffrent à plusieurs endroits de surexploitation. Le système de suivi et de contrôle de la pêche a été renforcé également en rendant obligatoire la présence des observateurs dans certaines catégories. Chose qui n’était pas prévue dans l’ancien protocole. Le Sahara inclue dans l'accord
Le point central de la discorde entre les deux parties était l'inclusion du Sahara dans les termes de cet accord. Après des négociations, le Maroc et l’Union européenne ont trouvé un terrain d’entente pour le renouvellement du protocole de pêche. Le royaume avait menacé de se diriger vers d’autres marchés tels que la Russie ou la Chine. Finalement, la Commission européenne a inclut le Sahara marocain dans l’accord et réadapté les termes de l’accord conformément à la décision de la Cour de justice de l’UE (CJUE).
Finalement, la Commission européenne a inclut le Sahara marocain dans l’accord et réadapté les termes de l’accord conformément à la décision de la Cour de justice de l’UE (CJUE).
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Le jeu de mot par l UE ne tiendra pas ..
La CJUE aura son dernier mot à dire ...
posté par maroko
pauvre peuple algérien, il va de nouveau devoir mettre la main à la poche pour une cause perdue d'avance et qui ne le concerne même pas en plus...
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TABOU d en parler ce que dépense Rabat pour un rêve ( SO ?? )
TelQuel Exclusif: Cher, très "" cher Sahara ""
Par Fahd Iraqi -
1200 milliards de dirhams dépensés depuis le début du conflit, 3% de PIB perdu chaque année… Grands agrégats et petits détails du coût économique d’une cause sacrée.
- Le tabou économique, le malaise politique
Aujourd’hui, force est de constater que l’eldorado saharien, tel qu’il a été “rêvé” dans les années 1970, n’est plus qu’un mirage.C’est même devenu un fardeau pour l’Etat marocain, voire pour le contribuable, auquel on a pratiquement fait signer un chèque en blanc.
Sécuriser le Sahara, l’annexer administrativement, l’équiper et œuvrer pour établir la souveraineté constituent, depuis 1975, de lourdes dépenses qui grèvent le budget d’Etat.
Sujet à la fois tabou et complexe, le coût économique du Sahara ne passionne que très peu nos économistes.Dans les administrations marocaines, aucun document officiel n’explique le coût du Sahara, ou le manque à gagner généré pour le pays.
Les portes se ferment et les téléphones se coupent dès que le sujet est énoncé. Parce que, de toute évidence, la difficulté est double : économique et politique.
*Dans les couloirs du ministère des Affaires étrangères, l’on raconte sous cape le cas d’Etats pour lesquels le Maroc a dû passer à la caisse, ou passer l’éponge sur leurs dettes, afin qu’ils retirent leur reconnaissance à la prétendue république sahraouie.
Sans oublier les dépenses liées au Corcas, dont le budget est intégré à celui de la cour royale et (donc) frappé du sceau top secret. La facture doit être conséquente quand on sait qu’un simple (et souvent infructueux) round de négociations à Manhasset coûte environ 6 millions de dirhams, entre frais d’hôtel et déplacements pour une soixantaine de personnes sur une période minimale de dix jours.
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Le statu quo fait son effet , guerre silencieuse !!
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