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les retraités, une nouvelle filière d’émigration algérienne vers la France

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  • #46
    J'aimerais aussi que cela soit bidon.
    au n°16 de la rue Grande-Pohulanka, à Wilno, habitait M. Piekielny

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    • #47
      j'ai vécu ca moi-même et je sais tres bien comment ca a été
      As tu été mal traité???

      Perso je ne l'ai pas été jusqu'au jour ou les porcs de l'OAS m'ont blessé à Alger et j'ai été soigné par des médecins pieds noirs à l’hôpital Maillot tout près de là ou j'ai été légèrement blessé.
      Fin 1964, j'ai pensé que je serais mieux en Europe, les Belges ne m'ont pas voulu, je suis resté en France et je ne le regrette pas.
      Je suis depuis Français d'origine Kabyle.
      Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

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      • #48
        Et je suis heureux que tu sois mon compatriote.
        au n°16 de la rue Grande-Pohulanka, à Wilno, habitait M. Piekielny

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        • #49
          oui, nous avions tous été maltraités.
          La différence entre nous et les Européens sur tous les plans était immense.

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          • #50
            @scipio
            Je maintiens, que cela te plaise ou non, cette vérité historique : en 1962, l'armée française était victorieuse.
            oui messire scipio , maintenant que vous avez rajouté un petit soupcon de certitude et bombé le torse coté tel un ballon qui risque d'exploser a tout instant , je ne peux que m'incliner fasse a cette verité foudroyante !!
            y'a weldi je t'ai dit tousse un bon coup , ca finira peut etre par ressortir . par contre , si ca peut te soulager un tant soit peu , tu peux t'enorgueillir d'y avoir laissé vos dechets

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            • #51
              chouan

              J'ai toujours été bien traité mais je reproche à la France des années 50/60 de ne pas avoir traité les "indigènes" comme Français à part entière avec les mêmes droits et les mêmes devoirs.
              loukane adhezragh thidhet's dhguek ma yehwayess riha kan nemdjouhad adhekssagh chlaghmiwe

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              • #52
                loukane adhezragh thidhet's dhguek ma yehwayess riha kan nemdjouhad adhekssagh chlaghmiwe
                Merci de traduire, je ne comprends que quelques mots.
                Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

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                • #53
                  La différence entre nous et les Européens sur tous les plans était immense.
                  C'est ce que je dis Bachi, nous n'étions pas traités comme des Français à part entière et ce que je ne comprends pas, c'est que arrivé en France, j'ai été traité comme tous les Français, à travail égal, salaire égale.
                  Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

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                  • #54
                    oui, la France, c'est la France et la colonie est la colonie.

                    Nous étions les porteurs de couffins, les cireurs de bottes, les dockers, les journaliers, les bonnes, les gardiennes d'enfants des Européens. Pas loin donc de leurs esclaves mais nous avions un salaire de misère.
                    C'est ce que j'ai connu dans la ville de Biskra.

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                    • #55
                      de toute façon la solution, et on y arrivera un jour, c'est de limiter très très fortement les visas en provenance du Maghreb

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                      • #56
                        Trop tard Tiz.
                        La pompe à été amorcée avec les descendance issues des regroupement familiaux.
                        Le débit nominale à été atteint.
                        J'aime surfer sur la vague du chaos.

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                        • #57
                          Pas loin donc de leurs esclaves mais nous avions un salaire de misère.
                          A ce sujet, les choses n'ont pas changé, les salaires aujourd'hui sont toujours des salaires de misère et le colon a été remplacé depuis 1962 par un cartel tout aussi nocif.
                          Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

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                          • #58
                            Salam, bonjour
                            ALLAH Yarhem chouhada
                            S 'ils voyaient ce que l'Algérie est devenue, l'algérien partir en masse chez son ancien colonisateur, pas sure qu'ils redonneraient leur vie pour liberer le bled.
                            Oui ces personnes vont vivre des aides sociales de la France, pour une bonne partie, apres d'autre au bled vont croire que la France, tu creuses et tu ramasses plein d'argent alors que la premiere chose à laquelle on pense c'est à payer le loyer (alors qu'au bled, les anciens sont proprietaires)
                            Demain, ils vont cracher sur le bled, en disant qu'il est comme ci comme ca
                            Les algériens sont les seuls des maghrébins à dénigrer leur pays
                            Les voisins ne critiquent jamais son pays devant un autre
                            je trouve triste qu'à 60 ans on quitte son bled, où il y a quand meme encore de l'humanisme entre voisins (si on te voit pas, on vient demander de tes nouvelles), alors qu'en France, faut prendre rdv
                            les chibanis du bled, font plusieurs voyages dans l'année, au bled, pour se ressourcer
                            D'autres, qui ont encore femmes et enfants labas ne veulent pas rentrer
                            ma fhemt wellou
                            vraiment on est des mrawjines

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