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Maroc – Algérie : Des Algériens organisent un sit-in pour la réouverture de la frontière

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  • #31
    .................................................. ........
    Dernière modification par khayamm, 11 août 2019, 19h23.

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    • #32
      " Mais d'ou tu tiens tes informations???? En 73 mon meilleur amis était Algérien ni lui ni sa famille n'ont été renvoyé du Maroc, c'est quoi cette invention stupide, amène moi ne fusse qu'un article, faussaire, menteur, affabulateur, minable, tu parle de ce que tu ne connais rien.
      Maintenant je peux être exclu du site, mais je ne laisse pas passer des âneries, d'un faussaire.
      Clap de fin, mais apporte moi les preuves, 1973."


      Lire "Notre ami le roi" de Gilles Perrault.

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      • #33
        Ah oui toi tu lis, moi j'ai vécu et vus et constaté, ta bible d'abrutis c'est ton Perrault, ta bible ton maître, parle moi de ton vecu, de harki dans les bagages de tes colonisateurs, moi je te parle de mon vécu, les marocains enfant femmes, vieillards expulsés par le criminel Boumedienne le jour de l'aïd, enfants j'étais traumatisé.
        Mais pourquoi tu dérives toujours sur ta bible Gilles Perrault.
        Tu vis dans le réel ou dans la science fiction.
        Wallah je ne sais même pas pourquoi je te réponds.
        Pourquoi tu ne t'occupe pas pour la situation en Algérie, tu es un harki bannie??? Ou celà ne t'intéresse pas, moi par respect je ne commente jamais une affaire algeroalgèrienne et toi, tu es malade du Maroc pfffff.

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        • #34
          http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=116306

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          • #35
            Merci
            l
            il n y a jamais eu de depossession ni de spoliation des biens
            Algeriens(depuis 1963!!!!) ni d extradition arbitraire.

            - cordialement dixit un Algérien dans la discussion.

            C'est un algérien qui le dit, je te demande du concret, a-tu vécu ce que tu prétends, moi oujdi, j'ai vécu l'expulsion des marocains, femmes, enfants, vieux à oujda, spoliés par bouroroba, tu veux quoi en plus.
            Planqué en Suisse tantôt, en Allemagne, marié à une marocaine par charité, une ex en Tunisie, juriste....surtout squateur de FA jour et nuit, j'ai un oeil sur mon pc au boulot et un oeil sur mon smartphone sur FA, ton boulot commence le matin très tôt et fini à l'aube, a se demander qui s'est qui bosse pour un demi fou, peut-être pour Ghallit ton polisarien.
            Dernière modification par azed164, 11 août 2019, 21h31.

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            • #36
              " il n y a jamais eu de depossession ni de spoliation des biens
              Algeriens(depuis 1963!!!!) ni d extradition arbitrair
              e."

              Lisez le livre bréviaire de Gilles Perrault afin de vous désavouer. Vous soutenez la même hérésie que feu Hassan II qui prétendait que Tazmamart n'existait pas et comble de supercherie son esbroufe, il fut confirmée par un Tribunal marocain!

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              • #37
                Arrête ta bible, je l'ai lu quand j'étais opposant à H2 jeune fougueux, mais tu as autres références??? Une question à part Mandela que tu cite a longueur de journée es-tu capable de nous parler de celui qui est et était le premier a avoir combattu le racisme, le ségrégationnisme en Afrique, roi d'une tribu, puis premier président de son pays, marié à une anglaise contre vents et marées exilé pendant 5 ans, père spirituel de Mandela qui s'en est inspiré ??? Allez un peu de recherche et de lecture te fera du bien.

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                • #38
                  Allez un indice, Seretse Khama, le père spirituel de Mandela, lis le livre c'est passionnant, pas Gilles Perrault.

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                  • #39
                    -Alors que MohaMmed VI exige la réouverture des frontières
                    Les terres d’Algériens toujours confisquées au Maroc
                    Par :Salim Tamani
                    Lu : (10321 fois)

                    On a souvent réduit le contentieux qui mine les relations entre l’Algérie et le Maroc à la simple question sahraouie. Or, face à la campagne de déchaînement de Rabat, qui appelle avec une trop bruyante insistance à la réouverture des frontières, le dossier de l’expropriation des terres des Algériens résidant au Maroc n’a toujours pas été réglé par ce pays.
                    Récemment, le roi Mohammed VI, dans un discours à ses sujets, a encore “exigé” la réouverture des frontières communes. Il a mis en avant la “sincérité” et la “fraternité” qui devraient caractériser les relations bilatérales.

                    Dans les médias marocains, l’hystérie habituelle contre l’Algérie s’enclenche à travers une pression médiatique, diplomatique et associative qui a même poussé certaines associations à déposer une plainte contre le président Bouteflika devant le… TPI.

                    Il est question de “la marche noire” des expulsés marocains d’Algérie en 1975, de la récupération de biens ou encore des insultes contre le défunt président Boumediène et son ancien ministre des Affaires étrangères, le même Bouteflika, accusés d’avoir humilié les Marocains.

                    Toutefois, l’argumentaire marocain occulte tout un pan de l’histoire algéro-marocaine. Comment en est-on arrivé là ? Pourquoi les relations entre frères maghrébins sont devenues aussi tendues ? Quel est ce contentieux terrien qui, sans règlement, continuera d’empoisonner le climat maghrébin ?
                    Après l’attentat de l’hôtel Hasni, à Marrakech, le Maroc avait décidé, sous l’impulsion de Hassan II, de chasser des milliers d’Algériens. Brimades, passages à tabac, humiliations, expulsions.

                    Les ressortissants algériens ont eu droit à un traitement de choc de la part de voisins qui ne trouvaient rien d’autre à dire que d’accuser les services algériens d’être à l’origine de cet attentat. Affirmation largement démentie par le procès des terroristes marocains, exécutants de cet acte terroriste. D’ailleurs, il serait utile de rappeler qu’Alger attend toujours de Rabat les excuses officielles quant à ces accusations infondées..

                    Or, cette opération de “chasse à l’Algérien” n’était pas la première. Déjà, en 1973, et bien avant que la guerre au Sahara occidental n’éclate, le Maroc avait commis un précédent gravissime occulté par l’histoire officielle comme dicté par le palais royal.

                    L’origine de cette agression a été le dahir (décret) du 2 mars 1973 qui a permis la spoliation de terres de nombreuses et honorables familles algériennes vivant au Maroc qui ont vu leurs propriétés agricoles confisquées et versées à une société d’État de gestion de biens agricoles, la Sogeta.

                    Selon les chiffres dont nous disposons aujourd’hui, 273 Algériens ont été victimes de la “marocanisation” de leurs terres. Ils possédaient plus de 15 965 hectares en surfaces exploitables et fertiles qui leur ont été carrément pris. Quand on sait que la Sogeta gère actuellement 40 000 hectares sur l’ensemble du Maroc, il s’agit bien de près de 40% du patrimoine foncier agricole public marocain qui a été volé à nos compatriotes.

                    Les Marocains mettent en avant des mesures de représailles en accusant l’ex-ministre des Affaires étrangères algérien, Abdelaziz Bouteflika.

                    Ce dernier a pourtant été signataire, au nom du gouvernement algérien, de la fameuse convention d’établissement, signée le 15 mars 1969, et du protocole annexe modifiant et complétant les dispositions de ladite convention que Bouteflika signera également à Ifrane le 15 février 1969. Ce jour-là, le Maroc était représenté par Ahmed Laraki.

                    Que dit la convention ? D’abord, que les “ressortissants des deux États sont assimilés aux nationaux en ce qui concerne l’exercice des activités professionnelles et salariées (…)”. En un mot, qu’Algériens et Marocains sont égaux sur le plan professionnel.

                    Ensuite, la convention stipule qu’“ils pourront librement accéder à la propriété des biens mobiliers et immobiliers, en jouir et exercer tous les droits de possession de propriété et de disposition dans les mêmes conditions que les nationaux”.

                    En bref, les Algériens spoliés de leurs terres se croyaient aussi à l’abri que les Marocains eux-mêmes.

                    Enfin, le texte de la convention dans son article 5 précise qu’“ils pourront assurer la gestion sous toutes ses formes, de leurs biens mobiliers et immobiliers, soit directement, soit par mandataire, ainsi qu’exercer toute activité industrielle, commerciale ou agricole, le tout au même titre que les nationaux”.

                    En conclusion, “les biens des ressortissants de chacun des deux pays situés sur le territoire de l’autre ne pourront faire l’objet d’expropriation (…)”.

                    Ces accords entre l’Algérie et le Maroc ont été totalement discrédités par l’attitude marocaine qui a “marocanisé” les terres des Algériens. Alors que Rabat met en avant le Sahara occidental comme seule pomme de discorde, l’histoire nous enseigne, dans le cas de cette spoliation, que les Marocains avaient déclenché les hostilités sans en mesurer les conséquences à long terme.
                    Même le fameux décret du président Boumediène, qui ne faisait qu’appliquer la réciprocité face au dahir de 1973, était empreint d’une certaine amertume naïve à l’égard d’un Maroc pourtant belliqueux :

                    “Ce que l’Algérie a entrepris en direction des citoyens du Maghreb arabe est seulement une position de principe pour les traiter comme des étrangers. Ceci ne peut être de leur part qu’un reniement de notre passé commun (…)”, ajoutant que “nous croyons profondément et toujours en l’avenir du Maghreb arabe unifié que nous voulons réaliser pas après pas”.

                    Il faut admettre que cette forme de candeur à l’égard du Maroc allait exploser à la face de l’Algérie quand le Maroc a déclenché sa marche verte contre les Sahraouis, en colonisant tout un territoire au sud du Maroc.

                    Ce contentieux peut-il être oublié côté algérien ? Certainement pas. Ni par les familles algériennes elles-mêmes dont certaines ont engendré des hauts cadres de l’État et qui avaient vécu, dans leur chair, ce que suppose la “fraternité” marocaine.
                    L’État ne peut également oublier, ni tolérer ces spoliations, surtout que le Maroc avait même indemnisé les colons français et jamais rien proposé aux Algériens spoliés.

                    Récemment, le ministre d’État, ministre de l’Intérieur, Yazid Zerhouni, originaire de Nedroma et connaissant bien ce dossier du fait que certaines familles spoliées sont issues de cette région frontalière, avait estimé que “la construction du Grand-Maghreb est une nécessité historique qui passe par un discours de vérité”.

                    Cette vérité n’est certainement pas entendue du côté marocain, comme l’explique cet ancien propriétaire terrien au Maroc complètement dépossédé de ses biens et qui occupe un haut poste de responsabilité : “Si le Maroc veut une communauté de destin avec l’Algérie, s’il veut renforcer les liens fraternels, construire un partenariat exemplaire et renforcer nos intérêts communs, avantageux pour les uns et les autres, il doit cesser de pratiquer la mémoire sélective."

                    Finalement, le discours de Mohammed VI sur les frontières pose la question fondamentale, côté algérien, de savoir si c’est le bon moment de régler ces contentieux. Le souverain marocain en appelle à la fraternité et à la sincérité. Les Algériens, eux, en appellent à la justice et au droit.

                    Si le Maroc franchit ce cap psychologique et rend justice à ces spoliés, ce sera certainement une première fenêtre qui s’ouvrira dans l’espérance du Maghreb. Un acte de justice qui sera beaucoup moins pénalisant que la simple fermeture des frontières.

                    Salim Tamani In Soir d'Algérie
                    Dernière modification par rago, 11 août 2019, 22h50.

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                    • #40
                      moi je te parle de mon vécu, les marocains enfant femmes, vieillards expulsés par le criminel Boumedienne le jour de l'aïd, enfants j'étais traumatisé.
                      c'est faux. les marocains etaient des anciens ouvriers saisonniers chez les colons. comme les ouvriers marocains actuelment en espagne..

                      apres l'independance ils sont restés. les anciens marocains née en algerie restait marocain pendant la colonisation. apres l'independance tout le monde leurs a conseillé de prendre la nationalité algerienne. la majorité ont refusé. du coup ils etaient en situation irreguliere en algerie.
                      donc l'expulsion des marocains etaient surtout contre les marocains qui avaient gardé leur nationalité..
                      dans les environs de la wilaya de temouchent bel abbes y'a plein de marocain de nationalité algerienne. c'est la seule wilaya ou la nationalité est exigée pour n'importe quel document administratif..
                      a ain turque a l'ouest d'oran il ya un quartier complet nommé filage el marouk..

                      et le maroc ne pouvait pas riposté car au maroc y'avait pas d'algerien, le peu etait des commerçant en situation regulière. le maroc ne pouvait rien faire contre eux..
                      je ne sais pas si la double nationalité est reconnu coté algerien vis a vis de la nationalité marocaine elle accepté pour les algerien née en france.. mais les algeriens née au maroc il faut le verifier
                      Dernière modification par pack2000, 11 août 2019, 23h01.

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                      • #41
                        Allez stop, excuses au posteur, à cause de toi le sujet est parti en live, j'ai fais un effort en t'accordant une audience, malheureusement incurable, j'aurais dû t'ignorer encore.
                        Bonne continuation et instruits toi, trop de 2.0 ça tu l'intellect.

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                        • #42
                          le probléme des frontires est striquement d'ordre securitaire. le maroc est un terrain minée par les sectes et la drogue. le meme probleme probleme se pose a la france avec l'espagne producteur de drogue et d'alcool..
                          l'algerie pareille elle doit securisé tous ces frontières..ce n'est chose facile avec 2 millions de km² ...le maroc a un probléme interne de prostitution trafique de drogue d'alcool d'esclavagisme dans le sud etc...c'est normal elle se trouve mise dans une position de mise en quarantaine...
                          malgré l'ouverture des frontière avec la tunisie
                          les algerien preferent aller en avion qu'en voiture...
                          puisque les lignes sont ouvertes entre le maroc et la tunisie on ne voit pas ou est le probléme. l'ouverture des frontière ne va benificier qu'aux trafiquants..
                          dire que les gens de oujda et maghniaya vont gagner quelques choses c'est faux...le pauvre restera pauvre a moins d'integrer le reseaux de trafique qui va s'emplifier au fil des années...un jour le juge devra mettre toute la ville de maghniya en prison ..allez y leur trouver de quoi manger se chauffer s'habiller etc...

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                          • #43
                            FOUAD


                            C'est honteux de constater qu'en 2019 la seule frontière terrestre au monde qui demeure fermée de façon pérenne est celle qui sépare l'Algérie et le Maroc.


                            ce qui ai honteux c'est dans quelle prison ouverte sont retenus les sahraouis , massacres , violences, prison sans jugement, exploitations de leurs richesse par le colon marocain !!! qui on été incapable de faire pareil a l'ilot du persil

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                            • #44
                              " encore une fois les algériens vous disent gentiment "allah ynoub"

                              Vous avez entièrement raison. Toutefois, libre à nos voisins de rêver pour soulager leur misère avec l'hypothèse d'une ouverture des frontière.

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                              • #45
                                Cette stratégie qui repose sur l'affectif est vouée à l'échec car d'abord la sincérité n'y est pas et ensuite les meilleurs sentiments du monde ne peuvent rien face aux enjeux en présence!

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