Un ancien agent révele l'effondrement imminent de l'armée marocaine

[METZ]

c'est vraiment que c'étais rigolo en 1976 a Amgala ou en 1963 a Hassi Beida...

[Anzoul]

ishmail,pour ne pas dormir bête ce soir:







" L'ARMÉE DE LIBÉRATION " DU MAROC annonce la " cessation provisoire des opérations militaires "


Le Monde
Publié le 30 mars 1956 à 00h00 - Mis à jour le 30 mars 1956 à 00h00
Rabat, 29 mars. - Un tract signé du haut commandement du Mouvement de résistance marocaine et de l'" Armée de la libération ", et portant les cachets de ces deux organismes, dénonce " la vague d'appels émis par des organisations politiques ou des groupements d'imposteurs tendant à faire croire à l'opinion publique marocaine et internationale qu'ils ont la haute main sur la résistance marocaine et l'" Armée de la libération ". Or celles-ci, précise le tract, ne reconnaissent qu'une autorité, celle du sultan, " au commandement duquel nous nous soumettons, convaincus que nous sommes de sa sagesse ".
"L'histoire de l'impérialisme français, poursuit le texte, surgit au-devant de nous comme une ombre effrayante et nous dicte la prudence et la vigilance comme la protection la plus efficace pour ne pas tomber dans un piège. L'attitude de la France et son revirement dans la convention avec la Syrie, le Liban et l'Indochine ne sont pas loin de nous. Pour déférer au désir de S.M. le roi concernant l'observation du calme jusqu'à ce que soit définie l'orientation de la France dans les négociations et que celle-ci prouve de nouveau ses prédispositions et sa bonne foi, le haut commandement de l'" Armée de la libération " en accord avec le Mouvement de la résistance, a décidé la cessation provisoire des opérations militaires, l'" Armée de la libération " gardant ses positions jusqu'à ce que la souveraineté marocaine soit entièrement libérée sans condition ni réserve. Et cela tant que les forces françaises n'attaqueront pas notre armée, qui est toujours vigilante. "
D'autre part, à Rabat, M. Abdelkhalek Torrès a eu mercredi après-midi un entretien d'environ trois quarts d'heure en tête à tête avec le sultan. Le leader de l'ancien parti nationaliste réformiste, qui arrivait de Tanger, n'était pas venu en zone sud du Maroc depuis vingt-neuf ans. Il exprima son émotion après une si longue absence et déclara :
"Les combattants ont entendu l'appel de Sa Majesté. Leur attachement au souverain n'est pas moindre que l'attachement de ceux qui combattent pacifiquement dans les villes. Tout le monde est derrière Sa Majesté et la sert fidèlement. Le problème n'est donc pas politique mais d'ordre pratique. Il faut que nous nous montrions patients. Le temps arrangera les choses, les principes essentiels étant acquis. "








Cinq mille hommes de l'"Armée de libération" se mettent à la disposition du sultan


Le Monde
Publié le 04 juillet 1956 à 00h00 - Mis à jour le 04 juillet 1956 à 00h00 Temps de Lecture 5 min.

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Nador (zone nord du Maroc), 3 juillet (A.F.P.). - " Cette journée restera une journée historique, car désormais vous faites partie des forces armées royales ", a annoncé le prince Moulay Hassan, chef d'état-major de l'armée chérifienne, hier à Talamagaït, à 115 kilomètres au sud-ouest de Nador, près de Tizi-Ouzli, aux chefs et aux délégations en armes de V " Armée de libération " du Rif, des Beni-Snassen, de la région d'Oujda et de Figuig.
C'est, ajoute l'envoyé spécial de l'agence France Presse, devant un millier d'hommes armés, pour la plupart habillés d'une chemise et d'un pantalon kaki, coiffés d'un passe-montagne bleu et chaussés de souliers de toile, que Moulay Hassan a prononcé son allocution. Ces " délégués " représentaient cinq mille autres membres de V " Armée de libération ", demeurés à Tizi-Ouzli, à Boured, à Aknoul, à Mesguitem, à Sakka, à Beni-Ouaraïne et dans la partie orientale du Maroc.
Ils étaient encadrés de chefs qui se distinguaient de la masse par leur armement individuel plus complet : le responsable du secteur de Tizi-Ouzli, Mohammed El Ghabouchi, un ancien adjudant de l'armée française, était armé d'une mitraillette de parachutiste, d'un revolver d'ordonnance, d'un poignard et portait plusieurs grenades offensives en chapelet. Un autre, le sergent Abdeslem, du secteur d'Aknoul, possédait une carabine américaine à répétition et une paire de jumelles d'artillerie. Un seul chef portait les marques du combat : blessé au pied, il se déplaçait à l'aide d'une béquille.
L'allocution du prince Moulay Hassan a été suivie de la prestation de serment des forces armées royales par les hommes de l'" Armée de libération ".
Au premier rang de celle-ci, à la tête des chefs de secteur, se trouvaient deux responsables du mouvement de libération du Maroc, le docteur Khatib et Si Abdallah Ben Ahmed Ben Ali Senagi. Ils avaient pris place, l'un à Rabat, Vautre à Fès, à bord du DC-3 qui a transporté hier à Nador le prince Moulay Hassan, le ministre de l'intérieur par intérim. M. Driss M'Hammedi, et M. Laghzaoui, directeur général de la sûreté nationale.

[Anzoul]

ishamil;
encore:






Armée de libération marocaine #1 : Aux origines de la création

Née au début des années 1950, l’armée de libération nationale mènera au Maroc le combat pour la libération du pays du protectorat français. Dans la première partie de cette série, zoom sur la création de l'ALN, en mettant l'accent sur la situation internationale qui prévalait à l'époque, caractérisée par la croissance des mouvements de libération dans de nombreux pays.
Publié Le 16/11/2018 à 21h00

[IMG]https://static.********.com/files/articles/71129_329ca64cc7ca1c4c2bda14e733107a06201811161716 35_thumb_565.jpg[/IMG] Photo d'illustration. / DR
Temps de lecture: 4'

Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, la situation internationale a marqué la croissance et l’expansion des mouvements de libération des peuples du monde entier. Objectifs ? Se débarrasser de la colonisation directe et indirecte en Afrique, en Asie et en Amérique du Sud et décrocher l’indépendance et la reconnaissance des droits de ces pays colonisés. Ces derniers profiteront notamment de l’opposition entre les camps capitaliste occidental et socialiste oriental.
D’ailleurs, plusieurs conventions et chartes internationales dans le cadre de la jeune Organisation des Nations unies, ont adopté cette tendance et reconnu la nécessité de la décolonisation tout insistant sur le droit des peuples à l'autodétermination.
Ces mouvements de libération ont alors obtenu d'importants succès dans plusieurs pays, en particulier ceux ayant opté pour l'option de la lutte armée. Ils offriront même l’espoir et la motivation au reste des peuples quant à la possibilité de vaincre le colonialisme, quelle que soit sa supériorité militaire ou économique. L'expérience du Vietnam est d’ailleurs un brillant exemple de la défaite des puissances coloniales française et américaine.
Aux origines de la naissance du sentiment national

Parallèlement, l’option de négociations pacifiques avec les puissances coloniales a montré ses résultats limités. Dans le meilleur des cas, ce choix n’a abouti qu’à la formation d’entités pseudo-indépendantes, mais qui gardent tout de même des structures coloniales et semi-coloniales à tous les niveaux, avec une élite locale profitant de la situation et liée au colonisateur.
[IMG]https://static.********.com/img/assets/Yassine/Yassssine/Anoual.jpg[/IMG]Des combattants lors de la bataille d'Anoual. / Photo d'illustration
Quant au Maroc, colonisé sous couvert du protectorat par la France et l’Espagne, le royaume chérifien n’a pas été isolé de ces développements internationaux. Victime de diverses formes d’exploitation, le pays a été soumis à des modifications touchant l’ensemble de ses structures économiques, politiques, sociales et culturelles. Cela a permis au colonisateur de renforcer les liens organiques qui s'étaient développés durant la période précédant le protectorat, persistant même après l’indépendance ; des liens tissés avec des groupes de protégés marocains et étrangers. D’ailleurs, ce constat s’est matérialisé avec les accords imposés au Maroc par les autorités françaises pour servir ses intérêts et qui avaient bénéficié à ces groupes. Seulement, pour le reste de la société marocaine, la situation s’était aggravée à tous les niveaux.
C’est dans cette atmosphère générale que le sentiment national est né contre l'exploitation, l'oppression et la répression coloniales. Un ensemble qui s’est accentué pendant et après la Seconde Guerre mondiale, d’où la France coloniale est sortie épuisée. L’Hexagone devait ainsi rechercher des solutions à cette crise, en particulier avec la montée des appels à l’indépendance des peuples colonisés.
13 novembre 1914 : La bataille historique d'El Hri et la victoire d'Ouhammou Zayani

Toujours au Maroc, les moyens d'affronter le colonialisme et décrocher l'indépendance tant aspirée variaient. D'une part, le dialogue et la négociation avec le colonisateur étaient maintenus et soutenus par le mouvement national qui réclamait initialement des réformes à une époque où la résistance armée était toujours active dans l'Atlas. Cette demande se transformera par la suite à un appel à l'indépendance ou même à une «autonomie» et au retour du sultan Mohammed Ben Youssef.
[IMG]https://static.********.com/img/assets/Yassine/Yassssine/Indepe00166.jpg[/IMG]Photo d'illustration. / Ina.fr
Divergences de points de vue à la veille de la naissance de l’ALN
Un autre courant verra le jour : celui qui estime que la négociation et le dialogue ne mèneront à rien. Ce courant mettra l’accent sur la nécessité de recourir à la lutte armée pour se libérer du colonialisme et de ses alliés locaux. Cette fraction était représentée par l'armée de libération marocaine, Mohamed Ben Abdelkrim Khattabi et le mouvement de résistance armée en général.
Cette diversité de choix est évidente et s’est reflétée dans les luttes internes des partis politiques marocains, opposant leur jeunesse rebelle qui aspire à l’indépendance et l’approche pacifiste des dirigeants de ces partis. Cette divergence s’illustre aussi entre l’approche officielle de négociation de ces partis face à la position d’une grande partie du peuple marocain, son sentiment national et son aptitude à relever tous les défis pour décrocher l’indépendance. D’ailleurs, cette diversité s’est même exportée au Comité pour la libération du Maghreb arabe au Caire, entre Mohamed Ben Abdelkrim Khattabi et les représentants des autres partis politiques ayant signé le Manifeste de l'Indépendance du Maroc et sa loi fondamentale.
2 octobre 1955 ou l'anniversaire de la première opération de l'Armée de libération nationale

De plus, la situation explosive à l'époque en Algérie, et l'escalade de la confrontation militaire entre les forces d'occupation françaises et l'Armée de libération nationale algérienne, ainsi que l'ampleur des polarisations régionales après la révolution des officiers libres en Égypte et les développements de la cause palestinienne, en particulier après la Nakba de 1948, ont renforcé l'enthousiasme libérateur dans toute la région.
[IMG]https://static.********.com/img/assets/Yassine/Yassssine/1969251_10202338633768577_5570662385654299514_n.jp g[/IMG]Des combattants amazighs. / Ph. DR
Tous ces facteurs ont contribué à la naissance de l’Armée de libération marocaine, qui a commencé à former ses cellules secrètes dans un certain nombre de zones du Rif et du moyen Atlas. Mais ce n’est que le 2 octobre 1952 que la nouvelle armée signera sa toute première opération contre l'armée française à Aknoul, Tizi Ouasli et Boured, élément déclencheur d’une série d’événements marquants d’une période décisive de l'histoire du Maroc dans les années 1950.







...Suite : https://www.********.com/articles/de...-creation.html

[Ismail]

Armée de liberation nationale pour libérer le maroc du protectorat!
On aura tout vu!
Combien de combats avez vous livré contre les français ?
Des dates si possible, combien de prisonniers en avez vous fait?
Combien de martyrs avez vous perdus?
Combien a duré cette guerre contre le protectorat français ou espagnol?

Mais je rêve ou quoi! le maroc était en guerre contre la france et moi qui pensait que l’independance du maroc du protectorat français avait fait suite à une simple lettre écrite envoyée par la poste par quelques militants du parti el istiqlal à De gaule et celui ci a sans hesité accepté sans negociations ni conditions ni rien!

Assimiler votre soi disant armée de liberation à el khattabi et à sa lutte contre l’occupant espagnol est une aberration et une contre verité puisque le sultan du maroc de l’époque s’était allié avec les espagnols et les français pour le combattre et mettre fin à la jeune republique du rif pour rester toujour sous les occupations française et espagnole afin de garder son trône! Une trahison de plus contre le peuple marocain cette fois ci!

Si vous avez vraiment une armée de liberation nationale, pourquoi n’aviez vous pas encore libérer tous vos territoires occupés jusqu’au jour d’aujourd’hui(11 enclaves et ilôts sous occupation humiliante de l’espagne). Sinon cette armée de liberation aurait elle pris des vacances, aurait elle existé juste pour une semaine ou un mois le temps de dire à l’histoire que le maroc a lui aussi une armée de liberation, sauf que la verité est bien là, vous êtes encore occupés et vous le serez toujours car lâches à jamais et traitres comme il n’en existe nul part ailleurs sur terre!
Ah khanzoul, plus drôle il n’y en a pas comme toi!

[rago]

" Armée de liberation nationale pour libérer le maroc du protectorat!
On aura tout vu!"

L'Unique combat des FARces resté célèbre est celui de l'opération d'Ecouvillon au cours de laquelle l'armée royaliste marocaine s'était alliée aux armées espagnol et française afin d'anéantir

- «Opération Écouvillon» : Dernière tentative coloniale pour en finir avec l'Armée de libération marocaine ?

Des morts, des blessés et le déplacement de toute une population. Ce sont quelques résultats directs de l'«Opération Écouvillon». Une intervention militaire menée conjointement entre la France et l'Espagne pour la pacification de la rebellion au Sahara occidental en février 1958. En réalité, les deux colonisateurs achevaient aussi l'Armée de libération marocaine. Les derniers éléments de cette dernière se tourneront même contre le Maroc en formant le noyau dur du Front Polisario. Histoire.
(...).

Le 2 avril 1958, soit quelques semaines plus tard, des accords sont signés à Dakhla entre le gouvernement espagnol et le Maroc, qui obtient la rétrocession de la région de Tarfaya (Cap Juby) à l’exclusion de Sidi Ifni.
Cette dernière ne sera récupérée par le Maroc qu'en 1969. Michel-Ivan Louit va même jusqu’au point d’accuser la monarchie marocaine d’avoir «aidé l'Espagne et la France dans l'opération Écouvillon visant à en finir avec l'Armée de libération marocaine».

Le Maroc aurait donc contribué plus ou moins au conflit actuel qui l’oppose au Front Polisario. L’opération Écouvillon aurait provoqué les premières étincelles du conflit du Sahara occidental puisque de célèbres résistants qui combattaient contre la colonisation espagnole, s’étaient ensuite tournés contre le Maroc.

Certains résistants formeront même le noyau dur du Front Polisario. L’une des répercussions négatives de cette opération serait aussi la migration et le déplacement de plus de 40 000 Marocains sahraouis vers Tantan et Guelmim. Ils deviendront, quelques années par la suite, l'une des pommes de discorde entre le royaume et les séparatistes du Polisario-.

Ya...bi, le 10/02/2017 à 08h00

[Invité]

L'armée marocaine est fatiguée c'est sur
Mais aussi , les soldats ne sont pas d'accord avec la politique de normalisation avec l'entité sioniste
Ils ne vont pas mouillé la tenue pour défendre des politiques auxquels ils ne croient pas du tout

[overclocker]

L'armée marocaine est fatiguée c'est sur
Mais aussi , les soldats ne sont pas d'accord avec la politique de normalisation avec l'entité sioniste
Ils ne vont pas mouillé la tenue pour défendre des politiques auxquels ils ne croient pas du tout

oui, ils ne sont pas d'accord, MAIS, nos soldats défendent la terre, les vôtres défendent wlidates franssa....

[rago]

" L'armée marocaine est fatiguée c'est sur"

Une armée en papier! 120 000 farceurs pour contrôler 4'600 guérilléros sahraouis!

Pas étonnant alors que les Farces s'étaient faites narguées par des scouts espagnols lors de leur invasion suicidaire de l'ilot à chèvres ibérique de Persil en 2002.

[METZ]

Mensonge numero 1 : De Gaulle est revenu au pouvoir en 1958 soit 2 ans aprés l'indépendance du Maroc.
Mensonge numero 2 : Un Sultan sans pouvoir a l'époque du protectorat et sous la menace des Francais ne pouvais soutenir personne. La preuve c'est que son fils le fera, et sera exilé...
Mensonge numero 3 : Il y a 5 Presides au Nord du Maroc et non 11...

Sinon pour répondre au Question...

Oued Zem Aout 1955 suivi par l'Opération Kepi Blanc
Casablanca Juin 1955
1953 soulevement général suite a l'exile du Roi
Bombe explose en Juillet 1955 a Casablanca
Tentative d'Assacinat de Mohamed Ben Arafat Septembre 1953

Ca va ou je continue...

[rago]

" Mensonge numero 1 : De Gaulle est revenu au pouvoir en 1958 soit 2 ans aprés l'indépendance du Maroc."

Exact. Mais le Maroc n'a jamais acquis une indépendance effective mais une indépendance dans l'interdépendance de la France et de l'Espagne. C'est-à-dire une nouvelle formule de colonisation et dont Medhi Ben Barka avait hurlé contre l'imposture de ce nouvel statut!

- Aix-les-Bains : Et l’indépendance dans l’interdépendance fut créée
(...).
Edgar Faure, cacique de la IVème république, est président du conseil. Aux commandes depuis le mois de février 1955, c’est sous son impulsion que fût signée le 29 mai de la même année la convention accordant l’autonomie à la Tunisie. Le 2 avril 1955, il fait adopter la loi sur l’état de siège en Algérie.

Au lendemain du coup de force du mois d’août 1953, Faure, alors ministre des Finances du gouvernement Joseph Laniel, adressera une lettre au président Vincent Auriol dans laquelle il prédit : «La déposition du sultan constitue une lourde erreur dont les conséquences ne pourront être pleinement pesées qu’après un certain délai». Le président du conseil est convaincu que la situation au Maroc ne peut perdurer et qu’il y a lieu de s’entendre avec les meilleurs alliés marocains des intérêts de la France au Maroc. Sa formule : l’indépendance dans l’interdépendance-.

Zamane.Ma

[METZ]

Ah bon...des sources peut etre ?

[rago]

" Ah bon...des sources peut etre ?"

A qui s'adresse votre galimatias?

Si c'est à mon intention, il s'avère que ma "femme" (par mariage en blanc) est marocaine (rifaine mais native de Mohammedia) et que Béchir Ben Barka (fils de) est l'un de mes meilleurs amis de tous les temps.

[METZ]

Et ?

J'attend toujour des preuves concréte et crédible de l'interdépendance en 2021 du Maroc...

[adilos]

J'attend toujour des preuves concréte et crédible de l'interdépendance en 2021 du Maroc...

Tu n'iras pas loin avec le doubabe Electronique !

[rago]

" J'attend toujour des preuves concréte et crédible de l'interdépendance en 2021 du Maroc..."

Alors dites-nous pourquoi la dictature alaouite n'est pas autorisée à exiger des visas aux ressortissants européens alors que l'Union européenne impose ce document aux Marocains?