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Le CPJ dénonce les méthodes de Rabat

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  • #16
    Mendz: Y a plus de journalistes en prison, et la presse écrite est entièrement libre en Algérie

    Aussi il y a plus de journalistes marocains en prison

    Mendz : le Maroc est le pays le plus moderne des pays arabes, notre presse à une grande marge de liberté, un journaliste marocain peux aborder n’importe quel sujet, maintenant même le roi est critiqué chose qui n’existais pas dans l’ère de Hassan 2, C’est pas comme votre pays communiste ou les généraux qui ont tué des milliers de pauvres algérien court toujours en liberté, sans que personne n’ose parler d’eux, mon chère, vous avez beaucoup de choses à, apprendre de nous dans ce domaine

    Par exemple dans le domaine des droits de l’homme, l’IER (Instance Equité et Réconciliation) qui a abordé ce qu’on appel chez nous les années de plomb entre 1965 et 1999 (l’ère Hassan 2).ne me dis pas que ce n’est rien parce que même Syadek dans la démocratie les USA el la France ont reconnu c’est un vrai exemple à suivre pas seulement dans le monde arabe, mais partout dans le Monde.

    Tu sais Mendz, je te dis tout ça, mais je suis sur que tu vas nous sortez encore des sottises comme d’habitude, vraiment votre régime militaire à bien laver vos cerveaux.

    Ce n’est pas votre torchon de Liberté qui va nous apprendre la liberté d’expression, dans ce domaine le Maroc vous a trop dépassé comme d’autres domaines d’ailleurs économiques ou politiques, et c’est ça qui vous rends si jaloux.

    Dés qu’il s’agira du Maroc vos torchons sortent leurs griffes, c’est vraiment très bas, et qu’on j’ai lu encore aujourd’hui sur Echourouk on line que les autorités algérienne en démantelé une cellule d’espionnage qui donne des renseignements au Maroc, Israël et Espagne, je dis finalement que vous ne changerez jamais. C’est absurde.





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    • #17
      le rapport annuel 2007 de RSF concernant l'algérie.


      Les autorités ont soufflé le chaud et le froid sur les médias algériens en 2006. La mesure d’amnistie, décrétée par le chef de l’Etat, pour les journalistes condamnés pour des délits de presse et la libération, en début d’année, de plusieurs journalistes incarcérés n’ont pas été accompagnées d’une réforme, très attendue, du code de la presse.
      La décision du président Abdelaziz Bouteflika, le 5 juillet 2006, de gracier les professionnels de l’information condamnés pour "diffamation" et "outrage à institution et corps constitués" a certes libéré de nombreux journalistes du carcan judicaire auquel ils étaient soumis. Mais cette mesure n’a pas mis fin à la répression de la presse algérienne. Les médias n’ont pas échappé, en 2006, à des poursuites judiciaires et la peur de voir un nouveau quotidien fermé, comme ce fut le cas deux années auparavant pour le quotidien Le Matin, est présente chez de nombreux directeurs de publication. Au moins cinq journalistes ont été interpellés pendant l’année.
      Alors que le code de la presse prévoit toujours des peines de prison - notamment pour toute "mise en cause du président de la République dans des termes injurieux, insultants ou diffamatoires" - , une nouvelle ordonnance, votée en février 2006, portant sur la mise en œuvre de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale, se révèle tout aussi dangereuse pour les professionnels des médias. Ce texte, qui peut donner lieu à de multiples interprétations, prévoit des peines de cinq ans de prison et des amendes pour tout individu qui "par ses déclarations, écrits ou tout autre acte, utilise ou instrumentalise les blessures de la tragédie nationale, pour porter atteinte aux institutions de la République algérienne démocratique et populaire, nuire à l’honorabilité de ses agents qui l’ont dignement servie, ou ternir l’image de l’Algérie sur le plan international".
      Une instrumentalisation de la justice
      Les procès qui se sont ouverts cette année sont particulièrement représentatifs de l’instrumentalisation de la justice par les autorités algériennes. Les sanctions qui sont déjà tombées en première instance marquent le début d’un nouveau feuilleton politico-judiciaire dont l’issue semble jouée d’avance. Plusieurs journalistes ont confié à Reporters sans frontières ne pas avoir reçu de convocation à leur propre procès. C’est ainsi que le tribunal d’Hussein-Dey dans la banlieue est d’Alger a condamné, le 31 octobre, le directeur du quotidien Ech-Chourouk Ali Fadil et la journaliste Naïla Berrahal à six mois de prison ferme et 20 000 dinars (soit l’équivalent de 220 euros) d’amende suite à une plainte en diffamation déposée par le président libyen Mouammar Kadhafi. Le tribunal a également prononcé la suspension du journal pendant deux mois et l’a condamné à verser au chef d’Etat 500 000 dinars (5 500 euros) de dommages et intérêts. Dans une autre affaire, le tribunal de Jijel, à 360 km à l’est de la capitale, a condamné par défaut, le 25 décembre, Omar Belhouchet, directeur de publication du quotidien El Watan, et le chroniqueur Chawki Amari à trois mois de prison ferme pour "diffamation" après la publication d’un article, au mois de juin, dénonçant les malversations d’un haut fonctionnaire.
      Par ailleurs, des journalistes ont découvert en 2006 l’existence de plaintes ou de condamnations judiciaires dont ils ne soupçonnaient pas l’existence. C’est le cas notamment d’Arezki Aït-Larbi, correspondant des journaux français Le Figaro et Ouest-France, qui a appris, après avoir essuyé un refus de renouvellement de son passeport, l’existence d’une condamnation à une peine de six mois de prison datant de décembre 1997. Une plainte aurait été déposée par un ancien directeur du département d’application des peines, rattaché au ministère de la Justice, dont la passivité face à des sévices subis par les prisonniers du pénitencier de Lambèse avait été dénoncée par M. Aït-Larbi dans un article.
      Mohamed Benchicou, le directeur de publication du Matin, a purgé la totalité de la peine d’emprisonnement de deux ans à laquelle il avait été condamné, le 14 juin 2004, pour "infraction à la législation sur les mouvements de capitaux". Il avait été interpellé à l’aéroport d’Alger en possession d’un reçu bancaire (bon de caisse), portant sur une forte somme d’argent et libellé en dinars. En février 2004, à l’heure où la campagne présidentielle battait son plein, il avait publié un pamphlet intitulé "Bouteflika, une imposture algérienne". La même année, le siège de son journal avait été vendu aux enchères suite à un redressement fiscal et le quotidien contraint d’arrêter sa parution sous la pression d’une imprimerie d’Etat qui réclamait le règlement de ses dettes.
      Enfin, l’Algérie n’a pas échappé à la fièvre déclenchée dans le monde arabe par la publication des caricatures danoises du prophète Mahomet. En février, Kamal Bousaâd et Berkane Bouderbala, directeurs des hebdomadaires arabophones Errissala et Essafir, ont été incarcérés pendant un mois pour avoir reproduit les dessins controversés. Le ministère de la Communication avait déposé une plainte sur la base de l’article 144 bis alinéa 2 du code pénal qui prévoit de trois à cinq ans de prison pour "toute personne qui offense le Prophète et les envoyés de Dieu ou dénigre le dogme ou les préceptes de l’islam". L’affaire est toujours en cours. Dans le même dossier, les directeurs des chaînes publiques Canal Algérie et A3 ont été relevés de leurs fonctions par leur directeur général.



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      • #18
        le rapport annuel 2007 pour le Maroc


        L’avenir du Sahara occidental est de plus en plus souvent abordé. La montée de l’islamisme mais aussi les violations des droits de l’homme commises pendant les années de plomb font régulièrement la une de la presse, grâce aux auditions publiques de la commission Equité et Réconciliation, mise en place en avril 2004. Enfin, le roi et le rôle du Palais dans la gestion du pays font l’objet d’enquêtes par les journalistes les plus téméraires. Celles-ci constituent toutefois la principale raison des condamnations de journalistes. Le code de la presse marocain contient près d’une vingtaine d’articles prévoyant des peines privatives de liberté. Les journalistes sont soumis à des condamnations disproportionnées - entraînant souvent des dommages et intérêts très lourds fixés par la cour - dès qu’il s’agit d’atteintes à la personne du roi et au régime monarchique, à la patrie, à l’intégrité territoriale ou encore à Dieu et à la religion islamique.
        Hormis la libération, le 29 janvier 2006, du journaliste Anas Tadili, directeur de l’hebdomadaire Akhbar al-Ousbouaâ, après vingt-deux mois passés en détention, l’année s’est révélée désastreuse pour les professionnels des médias. Elle s’est soldée par la suspension, le 21 décembre, de l’hebdomadaire arabophone Nichane pour "atteinte à l’islam". Censures, harcèlements et poursuites judiciaires ont mis à mal la presse indépendante tout au long de l’année. Des journalistes étrangers, connus pour leur couverture de la situation des droits de l’homme, se sont par ailleurs vu refuser, le 24 octobre, l’entrée sur le territoire du Sahara occidental sous contrôle marocain.
        Deux publications marocaines en langue française ont été particulièrement visées. La cour d’appel de Casablanca a condamné, le 7 février, l’hebdomadaire TelQuel à verser 500 000 dirhams (50 000 euros) de dommages et intérêts à la directrice d’une association qui l’avait poursuivi en diffamation. Quelques jours plus tard, Aboubakr Jamai, directeur de publication du Journal Hebdomadaire, et le journaliste Fahd Iraqi ont été condamnés à payer une amende de trois millions cent mille dirhams (284 000 euros) pour "diffamation". La plainte ayant conduit à cette condamnation avait été déposée par le Centre européen de recherche, d’analyse et de conseil en matière stratégique (ESISC) suite à la publication, par le Journal Hebdomadaire, d’un dossier mettant en cause l’objectivité d’une étude critique effectuée par cet institut sur le Polisario, un mouvement sécessionniste du Sahara occidental. Deux jours avant le rendu du verdict dans cette affaire, des manifestations hostiles, vraisemblablement orchestrées par les autorités, ont eu lieu devant les locaux du journal accusé d’avoir repris une des caricatures du prophète Mahomet, publiées dans le quotidien danois Jyllands-Posten, en septembre 2005.
        Enfin, les forces de l’ordre marocaines ont interdit à plusieurs reprises à des journalistes de couvrir des manifestations ou des procès. Jamal Ouahbi, de l’hebdomadaire Assahifa Al Maghribiya, par exemple, a été appréhendé, le 7 novembre, par la police judiciaire de Tétouan (300 km au nord de Rabat) pour avoir pris en photo trois détenus, présumés terroristes, sortant du tribunal de première instance de la ville. Il a été questionné tour à tour par le procureur du roi et des membres de différents services de sécurité de l’Etat. Son appareil photo a été confisqué. Le correspondant de la chaîne satellitaire Al-Jazira, Hassan Fatih, a été agressé par les forces de l’ordre alors qu’il couvrait un sit-in de familles de prisonniers politiques le 15 juin à Rabat. Blessé au cou et à l’épaule, il a dû être transporté à l’hôpital.
        Le Maroc bloque l’accès aux sites proches du mouvement indépendantiste sahraoui Front Polisario, ainsi qu’à la publication en ligne du mouvement islamiste "Justice et Bienfaisance", qui remet en cause la légitimité du régime monarchique.


        En génerale c'est la question du sahara qui fais défaut au Maroc
        Dernière modification par yoni678, 04 juillet 2007, 11h55.

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        • #19
          c'est vrai que sans ce probleme notre classement serai dans les 50premiers !!!!

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          • #20
            TEMS c'est le classement de 2005?! en 2005 !en algerie il y'avais plus de journaliste dans la prison que dehors !maintenant ,ona change un peu la politique ,merci de donné celui de 2006 !
            et je rajoute que le CPJ parle du maroc et non pas de l'algerie !merci de parlé du premier !
            Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. (Saint Augustin)

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            • #21
              Exactement comme les Forumistes Marocains qui ne comprennent pas d'ou tu vas chercher tes sujets qui n'ont aucun sens, et qui n'ont comme resultats que de la Provocation et ne sont pas du tout Sujet pour discussion Constructive ... ( Voir le Nombre de fois que les Moderateurs ont intervenus dans tes reponses , et le nombre de fois que t'as été Banni ).

              Faut Bien Trouver les Bons Sujets.
              Ho là là, je ne crois pas mes yeux !

              Et la liberté d'expression dans tout ça ??

              Je comprends par là pourquoi la CPJ épingle le makhzen ainsi avec son rapport accablant, c'est vraiment mérité

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              • #22
                A MEHDOCHE
                Nos journalistes ont redressé la barre après un combat acharnée, ont participé activement a l instauration de la démocratie par des autocritiques des parties aux langues de bois et de bannir aussi les tentatives de démocratisation limitée . Leurs luttes ont étés concrétisées par:
                1-un acquit de droit d opinion.
                2-defendre les pratiques qui embûchent la modernisation, la justice sociale et la démocratisation
                3- leurs combat se livrent encore actuellement a faire pencher la balance de leur coté pour un état de droit : la professionnalisation du métier de journaliste,

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                • #23
                  Ho là là, je ne crois pas mes yeux !

                  Et la liberté d'expression dans tout ça ??
                  C'est Pas PArcequ'on Est Libre qu'on se permet de Dire des banalités, La liberté d'expression ne veut pas dire des sujets qui n'ont Aucun Sens au Point de Polluer les Topics.

                  La Liberté d'Expression veut dire : le Droit de s'exprimer Librement et dans n'importe quel Sujet .... tant que ca reste dans le cadre du respect de l'Autre et loin de toutes sortes de vilgarité ou de Provocation.

                  Je comprends par là pourquoi la CPJ épingle le makhzen ainsi avec son rapport accablant, c'est vraiment mérité

                  Commentaire


                  • #24
                    La Liberté d'Expression veut dire : le Droit de s'exprimer Librement et dans n'importe quel Sujet .... tant que ca reste dans le cadre du respect de l'Autre et loin de toutes sortes de vilgarité ou de Provocation.
                    Là je suis d'accord avec toi, mais ou est la vulguarité ou la provocation dans le sujet que j'ai crée ?

                    Ou tu assimile tout avis contraire au tiens comme de la provocation ??

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                    • #25
                      A MANO
                      aucune provocation , j ai invoqué la lutte de nos journalistes ..

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                      • #26
                        TEMS c'est le classement de 2005?! en 2005 !en algerie il y'avais plus de journaliste dans la prison que dehors !maintenant ,ona change un peu la politique ,merci de donné celui de 2006 !

                        Non habibi, c'est le rapport de 2007, il parle des evenements de 2006, dailleurs c'est claire

                        et je rajoute que le CPJ parle du maroc et non pas de l'algerie !merci de parlé du premier !

                        Ok, mais le journal Liberté lui parle du Maroc (dailleurs Mr Kamel du journal Libetré ne manque pas un jour sans parler du Maroc, il aime bien le Maroc lui hein.. ) en plus je vous ai donné le rapport annuel de 2007 de RSF, et il n'y a pas plus crédible que cette source dans le monde.

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                        • #27
                          Mendz: Je comprends par là pourquoi la CPJ épingle le makhzen ainsi avec son rapport accablant, c'est vraiment mérité

                          Et le rapport annuel de RSF pour l'algérie (le coréé du nord du Maghreb) c'est aussi bien mérité

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                          • #28
                            les gars pourquoi vous regardez juste le bout de votre nez.
                            Ya pas de presse totalement independante dans le monde.
                            Y a la presse mondial proprietaire du sionisme (Europe et USA)
                            Y a la presse national qui est manipulé par l'un ou l'autre manias du business.

                            Pour avoir un minimum de verité, il faut lire 300 journaux et regardez 400 chaines de télevision

                            En fin de compte si vous ne mettez pas la presse de votre côté, elle est automatiquement avec l'autre côté.
                            Un journal zero dependance ne fait pas parti de l'humain.

                            Ceux qui parle en totale "libérté" en occident ne disent pas en fin de compte la vérité sur les massacres au moyen orient, alors chacun voit la libérté à sa façon. Le notre en afrique du Nord doit être differente des leurs.

                            Wa assalam

                            Commentaire


                            • #29
                              En fin de compte si vous ne mettez pas la presse de votre côté, elle est automatiquement avec l'autre côté.
                              Un journal zero dependance ne fait pas parti de l'humain.

                              Ceux qui parle en totale "libérté" en occident ne disent pas en fin de compte la vérité sur les massacres au moyen orient, alors chacun voit la libérté à sa façon. Le notre en afrique du Nord doit être differente des leurs.
                              Je ne peux que etre d'accord avec toi. Tu as tapé dans le mille.
                              Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
                              "L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants." Thomas Mann
                              Cette citation me vient de mon cousin chaoui Adhrhar

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                              • #30
                                la liberté d opinion au service du peuple , la liberté d expression sans limite méne à la manip et l anarchie ...la communication est encore embryonnaire dans le monde arabe

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