Annonce

Réduire
Aucune annonce.

L’exception marocaine

Réduire
Cette discussion est fermée.
X
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #91
    Petit Cours D'histoire

    Je dois te faire des cours d'histoire,c'est pas grave ,pour étayer ta lanterne je susi OBLIGÉ DE ME REPETER :PARLE MOI DE CEUTA ET MELLILA ,DES ILES CHAFFARINAS ,DE LILE PERSIL toi le connaisseur qui ne veux pas comprendre sauf ce q ue te dis ton MAKHZEN ET SES LIVRES D'HISTOIRE ,SIIIIC.

    Commentaire


    • #92
      A hurican
      ..l'etat algerien centralisé date de 1962..
      hurican pour rappel :
      que l etat marocain date à partir que le general lyautey à confectionné le drapeau et l hymne national marocain ( modifié par feu H II )..et ne me cite pas le griffonnage et le khortisme de 1200ans d histoire de vos petits roitelets sous la tutelle de la france et de l espagne jusqu a cet instant ....

      Commentaire


      • #93
        Che Guevara A Tindouf

        À propos de Che Guevara, je vous invite à lire ou relire un très beau texte écrit par Ben Bella

        Cette solidarité se confirmera d'une manière spectaculaire lors de la première alerte grave qui menaça la révolution algérienne avec l'affaire de Tindouf en octobre 1963. Notre jeune armée, tout juste sortie d'une lutte de libération, qui ne possédait encore ni couverture aérienne — puisque nous n'avions pas un seul avion — ni forces mécanisées, fut attaquée par les forces armées marocaines sur le terrain qui lui était le plus défavorable. Elle ne pouvait y utiliser les seules méthodes qu'elle connaissait et qu'elle avait éprouvées lors de notre lutte de libération : c'est-à-dire la guerre de guérilla. Le désert et ses vastes étendues dénudées étaient loin des montagnes des Aurès, du Djurdjura, de la presqu'île de Collo ou de Tlemcen qui avaient été son milieu naturel et dont elle connaissait toutes les ressources et tous les secrets. Nos ennemis avaient décidé qu'il fallait briser l'élan de la révolution algérienne avant qu'elle devienne trop forte et entraîne tout sur son passage. Le président égyptien Nasser nous dépêcha très rapidement la couverture aérienne qui nous faisait défaut, et Fidel Castro, Che Guevara, Raul Castro et les dirigeants cubains nous envoyèrent un bataillon de vingt-deux blindés et plusieurs centaines de soldats (2) qui furent dirigés vers Bedeau, au sud de Sidi Bel Abbès où je leur rendis visite, et qui étaient prêts à entrer en lice si cette guerre des sables s'était poursuivie.

        Commentaire

        Chargement...
        X