Le Canada a opté pour la methode du cile ouverte, celle là (voir l' article) a ete abandonné par el Maroc entre autre pour les raisons ecologoques.
La methode privilligiépar le Marc est celle diet "in situ", elle n' est pas sans avoir de sretombés negatives sur l'€nvironnment mais elle es de moins.
Et puis quelle source d' energie startegique utilisée aujourdhui ne presente pas des dangers ecologiques ?
On ne va pas nous, les pays sous developpés hypothequer notre developement a cause de la poluution alors que notre contribution est infiniment negligeable !!!
La method e in situ d' apres Wikipedia
La methode privilligiépar le Marc est celle diet "in situ", elle n' est pas sans avoir de sretombés negatives sur l'€nvironnment mais elle es de moins.
Et puis quelle source d' energie startegique utilisée aujourdhui ne presente pas des dangers ecologiques ?
On ne va pas nous, les pays sous developpés hypothequer notre developement a cause de la poluution alors que notre contribution est infiniment negligeable !!!
La method e in situ d' apres Wikipedia
La nouvelle technologie in situ est utilisée pour contrer les différents problèmes environnementaux. L’extraction in situ permet la séparation du bitume et du sable dans le même réservoir. Cette dernière consiste en des puits horizontaux, qui sont creusés dans le sol et qui permettent d’injecter de la vapeur d’eau à faible pression. Suite à cette injection, la température du bitume augmente, entraînant une diminution de sa viscosité. Ainsi, le bitume se ramollit et est facilement pompé. L’extraction in situ peut se faire selon deux procédés différents, soit par Cyclic Steam Simulation (CSS) ou par Steam Assisted Gravity Drainage (SAGD).
La première solution fut le procédé CSS (Cyclic Steam Simulation). Il consiste à utiliser un même puits alternativement en injection de vapeur et extraction de bitume. La vapeur liquéfie le bitume et rend le pompage possible. Par rapport à l'extraction minière, on ne dérange qu'une toute petite surface au sol, et les nuisances générales (bruit par exemple) sont bien moindres. Cependant la consommation d'énergie pour produire la vapeur est énorme.
La technique SAGD (Steam Assisted Gravity Drainage), qui n'a pas encore atteint sa phase de maturité, utilise des puits horizontaux associés deux à deux. Le puits du dessus injecte en permanence de la vapeur tandis que celui du dessous recueille eau et bitume. Contrairement au procédé CSS, la quantité de vapeur à injecter pour une production de bitume donnée est moindre, ce qui améliore le bilan énergétique, mais cette solution ne peut pas s'appliquer partout : il faut une bonne homogénéité verticale du réservoir pour que l'écoulement s'établisse.
L’extraction in situ se fait de plus en plus depuis l’an 2000. Le bitume récupéré in situ en 2000 représentait 40 000 m3, tandis qu’en 2006, le bitume récupéré par cette technique atteignait les 75 000 m3. Aujourd’hui, un peu plus de 12% du bitume est récupéré par l’extraction in situ et d’années en années, cette proportion augmentera. Les désavantages reliés à cette méthode d’extraction reposent sur le fait qu’elle est très coûteuse et qu’aucun impact environnemental n’est connu pour l’instant.
La première solution fut le procédé CSS (Cyclic Steam Simulation). Il consiste à utiliser un même puits alternativement en injection de vapeur et extraction de bitume. La vapeur liquéfie le bitume et rend le pompage possible. Par rapport à l'extraction minière, on ne dérange qu'une toute petite surface au sol, et les nuisances générales (bruit par exemple) sont bien moindres. Cependant la consommation d'énergie pour produire la vapeur est énorme.
La technique SAGD (Steam Assisted Gravity Drainage), qui n'a pas encore atteint sa phase de maturité, utilise des puits horizontaux associés deux à deux. Le puits du dessus injecte en permanence de la vapeur tandis que celui du dessous recueille eau et bitume. Contrairement au procédé CSS, la quantité de vapeur à injecter pour une production de bitume donnée est moindre, ce qui améliore le bilan énergétique, mais cette solution ne peut pas s'appliquer partout : il faut une bonne homogénéité verticale du réservoir pour que l'écoulement s'établisse.
L’extraction in situ se fait de plus en plus depuis l’an 2000. Le bitume récupéré in situ en 2000 représentait 40 000 m3, tandis qu’en 2006, le bitume récupéré par cette technique atteignait les 75 000 m3. Aujourd’hui, un peu plus de 12% du bitume est récupéré par l’extraction in situ et d’années en années, cette proportion augmentera. Les désavantages reliés à cette méthode d’extraction reposent sur le fait qu’elle est très coûteuse et qu’aucun impact environnemental n’est connu pour l’instant.
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