Et si tu n'as pas le temps de lire, je peux t'aider:
Dans une pièce d’à peine trois mètres carrés, les malades ont la mine grave et défaite : un de leurs copensionnaires vient de rendre l’âme après un coma de neuf jours. Le service de cardiologie, qui ressemble à présent à un mouroir, est loin de répondre à une prise en charge efficiente pour les nombreux cardiaques qui n’ont pas les moyens de se faire opérer dans une clinique privée. “Une opération à cœur ouvert coûte entre 35 et 40 millions de centimes.
C’est au-dessus de nos moyens. Le sort de notre enfant est à présent entre les mains de Dieu”, déclare, impuissante, cette femme dont le fils est hospitalisé depuis trois mois...
Dans une pièce d’à peine trois mètres carrés, les malades ont la mine grave et défaite : un de leurs copensionnaires vient de rendre l’âme après un coma de neuf jours. Le service de cardiologie, qui ressemble à présent à un mouroir, est loin de répondre à une prise en charge efficiente pour les nombreux cardiaques qui n’ont pas les moyens de se faire opérer dans une clinique privée. “Une opération à cœur ouvert coûte entre 35 et 40 millions de centimes.
C’est au-dessus de nos moyens. Le sort de notre enfant est à présent entre les mains de Dieu”, déclare, impuissante, cette femme dont le fils est hospitalisé depuis trois mois...
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