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La justice espagnole a rejeté les plaintes de Rabat contre Ali Lmrabet

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  • #16
    Chez nous on a Osé critiquer le Roi
    Ceux qui l'ont fait (pas pour la galerie), Ils sont en prison. Y en a même un, qui y a décédé. Il avait 95 ans (parait-il).

    Lmrabet, qui s'en sort, un peu mieux est sous le coup de l'exil.
    les Médias Algeriens qui ont la norme FLN 200008
    Tu veux combien de contre-exemples ? 1000, 2000, 5000 .... Khir Rabbi.
    Dernière modification par jawzia, 21 février 2008, 12h25.

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    • #17
      Dernière victime en date

      Maroc : incarcération d'un journaliste après le rejet de son pourvoi en cassation

      Un journaliste a été incarcéré mardi après le rejet de son pourvoi en cassation dans une affaire où il avait été condamné à sept mois de prison pour publication en 2007 de "textes confidentiels" sur la lutte antiterroriste, a-t-on appris mercredi auprès de son journal.

      "Mustapha Hormat Allah qui était en liberté provisoire a été conduit mardi soir en prison après le rejet de son pourvoi en cassation", a déclaré à l'AFP Aberrahim Ariri, directeur de l'hebdomadaire Al Watan Al An.

      Après avoir épuisé tous les recours juridiques, le journaliste a été ramené à la prison d'Oukacha de Casablanca pour purger un reliquat de 5 mois de prison ferme", a ajouté M. Ariri.

      La Cour d'appel de Casablanca l'avait condamné le 18 septembre 2007 à sept mois de prison ferme et Abderrahim Ariri, le directeur de la publication à cinq mois avec sursis.

      Le 15 août de la même année, le tribunal correctionnel de Casablanca leur avait infligé, dans le cadre de cette affaire, huit mois de prison ferme à Hormat Allah alors que M. Ariri a écopé de six mois avec sursis.

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      • #18
        Lmrabet, qui s'en sort, un peu mmieux sous le coup de l'exil.
        D'abord ca n'a aucun sens de parler d'une personne qui ne fait rien pour son pays , et que son objet reste le ROI en personne et un autre qui milite pour son pays ...

        Tu veux combien de contre-exemples ? 1000, 2000, 5000 .... Khir Rabbi
        1 , 2 ou 3 mesuffit .... des medias qui pensent autrement que le gouvernement au niveau du Maroc et du Sahara

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        • #19
          1 , 2 ou 3 mesuffit .... des medias qui pensent autrement que le gouvernement au niveau du Maroc et du Sahara
          Des personnalités politiques qui ont exprimé leur manière différente de penser sur le problème du sahara ont été publiés par la presse algerienne. Tu veux la liste ?

          Il serait judicieux de rappeler les motifs qui ont conduits à l'exil de Lmrabet (peut être que certains ne le savent pas) ? :
          Aurait-il opté pour l'indépendance du SO ? NON, Jamais.

          Aurait-il adopté ou justifié la position algerienne ? NON, Jamais ?

          Le tort de lmrabet est d'avoir utilisé dans l'un de ses articles un mot qui n'existe pas dans le guide makhzenien (et imposé aux journalistes) lorsqu'il s'agit du SO.

          Lmrabet a qualifié les sahraouis de Tindouf de "Réfugiés". Le guide Makhzenien impose celui de "sequestrés". Le crime de lmarabet est de l'ordre du "Vocabulaire".

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          • #20
            Mais Biensur ca se passe pourtant chez toi lolllll , Le Journal mon Vieux est Stricement interdit ..... les faillites n'existent pas pour rien lollllllll

            Hbibna manotoluik pas tout à fait...
            il y est sur le net



            Benchicou en Personne qui n'est pas autorisé à Ecrire lol
            Ah bon
            Tous ses livres et ses dédicaces à Alger à Paris....
            c'est son "nègre" peut-etre

            à ciao.
            La pire chose pour l'Homme, serait qu'il meurt idiot.
            De grâce épargnez-moi la prolixe, la syntaxe et la chiffrerie à tout va
            .
            Merci.
            " TOUCHE PAS A MA NAPPE ALBIENNE "

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            • #21
              Des personnalités politiques qui ont exprimé leur manière différente de penser sur le problème du sahara ont été publiés par la presse algerienne. Tu veux la liste ?
              @ Jawzia

              Avec tous mes respects , des responsables politiques ne peuvent jamais influencer l'opinion public comme Les Medias ... Si tu veux bien me Citer des Medias Algeriens suivis par La population qui pensent autrement que le FLN .

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              • #22
                Si tu veux bien me Citer des Medias Algeriens suivis par La population qui pensent autrement que le FLN .
                Tu cherches des journaux exclusivement dédiés à la propagande Makhzeniste ? Desolé, on n'a pas.

                Des hommes et des femmes qui s'expriment autrement sur le SO.... nous avons. Des journaux qui leurs donnent la parole, ..... nous avons.

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                • #23
                  Tu cherches des journaux exclusivement dédiés à la propagande Makhzeniste ? Desolé, on n'a pas.
                  ah oui d'accord la voix unique du Maroc de la Propagande

                  Heureusement que ca existe uniquement chez nos voisins .....

                  Merci pour la confirmation De l'idée unique .......

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                  • #24
                    ali lmrabet est libre de circuler au maroc comme il veut .
                    il a ete dernierement vue avec le general laanigri ex directeur general de la securite national dans un hotel a rabat dans le cadre d'une conferance .........paisible quoi.
                    a vous comprener pas que lmrabat est un pion parmis les autre ,desolé donc vous n'avez rien compris de ce beaux pays qu'est le maroc.
                    au faite lmarabet c qui ?
                    passons vraiment vous evoquer des sujet que meme les marocain politisé s'en foute a mort.

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                    • #25
                      la justice espagnole a rejeté les plaintes de Rabat contre Ali Lmrabet

                      Lmrabet, un patriote marocain , qui sest retrouvé en taule parce quil dénonçait le traitement INJUSTE destiné aux prisonniers marocains libérés du polisario lors de leur retour à leur soi-disante "mère-patrie"!!!

                      lorsquils étaient prisonniers à tindouf: famiiles expulsées des logements de fonction, soldes détournées ou non versées...

                      lorsquils revenaient: pas d'officiels pour les accueillir, pas de travail, plus dargent....

                      en tout cas, le jugement d'Alméria confirme ce que je dis :

                      MAP= Marvelous Arab Press!!!!!

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                      • #26
                        un traitre quoi ......notre benchikou a nous lol.
                        merci de perdre notre temps avec des gens pareille ca change des vrait homme .

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                        • #27
                          Et le journaliste Aboubakre Jamaï

                          http://www.dztv.net/index.php?2007/0...l-hebdomadaire

                          http://www.maroc-hebdo.press.ma/MHin...l_530/ali.html

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                          • #28
                            La liberté de la presse victime de l’Etat de non-droit


                            Aujourd’hui, les journalistes algériens sont encore loin de pouvoir exercer librement leur métier même si la menace des groupes armés islamistes est moins pesante. Ils demeurent confrontés à des intimidations, pressions, agressions et poursuites judiciaires émanant principalement de notables, d’hommes d’affaires locaux ou encore de délégués des Aârchs.
                            Les correspondants locaux sont les principales victimes de ces exactions. A Annaba, par exemple, des journalistes rencontrent de grandes difficultés à enquêter sur des affaires de corruption. Même chose en Kabylie où un journaliste de Tizi-Ouzou explique : "Le problème, c’est que non seulement les affaires de corruption que l’on dénonce ne débouchent jamais sur des enquêtes [...] mais, qu’en plus, on est menacé pour avoir écrit ces articles !"
                            Depuis le printemps 2001, la couverture des émeutes en Kabylie a été particulièrement difficile pour la presse de la région, prise en tenaille entre les différentes forces en présence. Nombre de journalistes font état de pressions et de menaces provenant de délégués des Aârchs, les représentants du "mouvement citoyen".
                            La liberté de la presse est victime de "la déliquescence de l’Etat", "du pouvoir de l’argent", ou encore de "l’Etat de non-droit", selon de nombreux journalistes. Et l’impunité est trop souvent la règle. Dans les affaires de disparitions de journalistes notamment. Cinq d’entre eux ont "disparu" entre 1994 et 1997. Alors que Reporters sans frontières avait conclu, lors d’une précédente mission d’enquête, en janvier 2001, à l’enlèvement de trois d’entre eux par les forces de sécurité, les enquêtes n’ont nullement progressé.
                            De façon générale, les professionnels des médias sont confrontés à la censure et l’autocensure, les sujets tabous restant encore nombreux : les droits de l’homme, l’influence des généraux, etc. Certains hommes d’affaires n’hésitent pas, par ailleurs, à acheter la presse pour qu’elle soit bienveillante à leur égard.
                            Les autorités disposent d’une véritable épée de Damoclès pour faire pression sur la presse. Le 16 mai 2001, l’Assemblée nationale populaire a adopté un projet d’amendement du code pénal dont l’article 144 bis prévoit notamment des peines de deux à douze mois de prison et des amendes de 50 000 à 250 000 dinars (environ 720 à 3 600 euros) contre toute "atteinte au président de la République en termes contenant l’injure, l’insulte ou la diffamation [...]". Toutes ces sanctions sont également applicables quand les délits sont commis à l’encontre du "Parlement ou de l’une de ses deux Chambres, ou de l’ANP [l’Armée nationale populaire]". Aujourd’hui, plusieurs journalistes sont sous le coup de poursuites judiciaires suite à des plaintes émanant du ministère de la Défense.
                            Le 14 octobre 2002, l’avant-projet de loi sur l’information, présenté par le ministre de la Communication, constitue, selon Khaled Bourayou, avocat spécialisé dans les affaires de presse, "un verrou supplémentaire pour bâillonner la presse, après le code pénal".
                            Suite à une invitation des autorités algériennes pour assister à un "Colloque international sur le terrorisme" à Alger, un représentant de Reporters sans frontières s’est rendu en Algérie pour une mission d’enquête du 25 octobre au 1er novembre 2002. Il a pu travailler en toute liberté et rencontrer de nombreux journalistes à Alger, Annaba et Tizi-Ouzou, ainsi que Farouk Ksentini, le président de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l’homme (CNCPPDH) (1). En revanche, l’organisation n’a pas pu rencontrer Khalida Toumi, ministre de la Communication et de la Culture et porte-parole du gouvernement, à qui elle avait pourtant demandé une audience.
                            1. Les correspondants locaux victimes des autorités locales et des notables

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                            • #29
                              1. Les correspondants locaux victimes des autorités locales et des notables
                              Un téléphone-fax, un bureau, une chaise, un meuble où sont empilés quelques dossiers. Les murs nus. Le dépouillement est total. Quant à Internet, c’est un véritable luxe. Il faut aller dans les cybercafés pour pouvoir se connecter. Tel est le cadre de travail de la plupart des correspondants locaux, les "parents pauvres du journalisme" comme les appellent certains de leurs confrères d’Alger. Lorsque Reporters sans frontières demande à un journaliste, correspondant du Soir d’Algérie dans une petite localité près de Tizi-Ouzou, s’il reçoit souvent des menaces téléphoniques, celui-ci rétorque, ironique : "Les menaces ne risquent pas d’être téléphoniques puisque je n’ai même pas de téléphone..."
                              Impunité pour les auteurs de menaces
                              De nombreux journalistes ont confié à Reporters sans frontières que la menace terroriste, bien qu’encore présente, était beaucoup moins pesante que dans les années 1993-1996 (2). Ils ne croient guère aux allégations de certains de leurs confrères qui fuient l’Algérie pour la France, prétendant être en danger à cause des groupes terroristes (3). "En fait, on est logé à la même enseigne que le reste de la population. C’est sûr que s’ils nous attrapent, ils nous tuent", déclare l’un d’eux. Youssef Bournil, chef du bureau du Soir d’Algérie à Tizi-Ouzou, précise : "C’est très difficile de faire un article sur le terrorisme. Et si on le fait, on ne signe pas de son vrai nom. C’est trop dangereux. Lorsque l’on va faire une enquête sur les lieux d’un massacre, on se dépouille de tout signe distinctif : pas de carte de presse, pas d’appareil photo. On s’y rend généralement en taxi et on ne décline jamais son identité sauf à certaines personnes lorsque l’on est sûr qu’elles sont ’fiable’."
                              "Le vrai terrorisme aujourd’hui, c’est la mafia locale", déplore un correspondant d’un quotidien algérois à Annaba (Est du pays). Et l’un de ses confrères d’ajouter : "Il existe plusieurs types de réactions suite à des articles qui déplaisent : insultes, agressions, lettres, appels téléphoniques, ou enfin la tentative de soudoyer le journaliste pour qu’il ne poursuive pas son travail." Les exemples ne manquent pas.
                              En 2000, Ghanem Khemissi, correspondant du quotidien arabophone An Nasr (gouvernemental) à Annaba, écrit un article sur un "trou" de 700 000 dinars (8 780 euros) dans les caisses des Oeuvres sociales des travailleurs de l’Education d’Annaba. Peu après, il est agressé par un des membres de cette association. La même année, ce journaliste est interdit d’accès à la mairie d’Annaba suite à la publication d’un article sur la mauvaise gestion de l’hôtel de ville. Il est même frappé par des agents de sécurité devant la mairie. Le maire serait allé voir le directeur du journal le menaçant, s’il ne licenciait pas le journaliste, de ne pas lui remettre un budget publicitaire promis au journal. Dans un premier temps, celui-ci a refusé. Mais, suite aux pressions du maire, et après en avoir discuté avec le journaliste, il a été jugé préférable que ce dernier démissionne...
                              En août 2001, Ali Hemici, correspondant du quotidien Ech Chorouk el Yaoumi à Annaba, critique le syndicat d’une entreprise publique basée dans cette ville. Suite à cet article, le directeur de la société, un personnage très puissant dans la région, se rend à son bureau et, en présence d’un témoin, lui lance : "Je te poursuivrai jusqu’à ce que tu ailles en prison." Peu après, le directeur dépose plainte pour diffamation. "Cet homme est prêt à aller loin. J’ai plus peur de lui que de la justice", explique le journaliste. L’affaire est en cours.

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                              • #30
                                En 2001, Amar Bouasmi, correspondant à Annaba pour le quotidien Al Khabar, écrit un article sur la mauvaise gestion de la commune d’El Bouni, à 5 km d’Annaba. Il fait état d’un détournement de 240 millions de dinars (environ 3 millions d’euros) au profit du maire. Peu après, alors qu’il se trouve chez lui avec son épouse et ses enfants, des hommes pénètrent de force dans son domicile, volent de nombreuses affaires et cassent du mobilier. Il est contraint de s’enfermer dans l’une des pièces pour se protéger. Quelque temps plus tard, il est arrêté sur la route par plusieurs hommes qui lui lancent : "Si tu écris un mot de plus sur la commune, on te supprime de la surface de la terre." Par peur, le journaliste n’a pas osé porter plainte. Il a même dû résilier sa ligne téléphonique tant il était harcelé.
                                Mi-février 2002, Hamid Benatia, correspondant du quotidien arabophone El Youm à Annaba, est l’objet d’un véritable harcèlement administratif de la part de la police locale qui lui réclame de nombreux documents concernant le statut légal de son bureau de correspondant. Cette campagne d’intimidation intervient peu après la publication d’articles sur des émeutes dans la région, dans lesquels le journaliste avait notamment critiqué le comportement des forces de police. Il est convoqué à plusieurs reprises par la police, en avril et en mai. C’est suite à une rencontre avec le wali (4) que ce harcèlement administratif prend fin. Hamid Benatia a confié à Reporters sans frontières qu’il avait été menacé plusieurs fois dans la rue par des individus suite à des articles critiques sur des grands patrons d’industrie.
                                Mi-septembre, Ali Hemici, correspondant à Annaba du quotidien arabophone El Ahdath, et Ghanem Khemissi, correspondant dans la même ville du quotidien arabophone d’Oran Erraï, sont menacés par un ancien élu du Rassemblement national démocratique (RND), au siège de ce parti. Il a fallu l’intervention de militants du RND pour que ce notable local ne frappe pas les journalistes. "Que vous écriviez ou non sur moi, je ne serai jamais inquiété", lance le notable. "C’est bien une preuve que l’Etat est totalement absent. Ces gens-là se considèrent comme intouchables", constate, amer, l’un des deux journalistes. Ces derniers avaient publié des articles critiquant l’ancien élu.
                                Le 19 septembre, Nabil Chaoui, correspondant à Annaba du quotidien Le Jeune Indépendant, est menacé dans son bureau par deux hommes. Peu avant, il avait reçu un appel téléphonique. "On nous a traités de tous les noms et on nous a menacés de nous tuer, si l’on écrivait encore sur le fameux industriel de Barrahal [banlieue d’Annaba], Hadjaji Amara", raconte le journaliste. Le 16 septembre, le journaliste avait fait paraître un article dans lequel il rapportait les propos du président de la Chambre de commerce et d’industrie de Seybouz - Annaba qui mettait en cause cet industriel de la région. "Les auteurs des menaces étaient des hommes de main de l’industriel", a précisé le journaliste à Reporters sans frontières. Une plainte a été déposée par Le Jeune Indépendant auprès du procureur de la République, près le tribunal d’Annaba. Depuis que l’affaire est sortie dans la presse, les menaces ont cessé. Néanmoins, Nabil Chaoui a précisé qu’il reçoit souvent des menaces téléphoniques ou des insultes.

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