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Polisario : 160 séparatistes repentis s'apprêtent à rallier le Maroc

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  • #16
    Je pense que vous vouliez pas s'en séparer. Ils vous amusent ou quoi? ah! peut être vous avez peur que ce soit un jour de la nostalgie.
    Mais bon on sait que c'est le seul bole d'oxygène de la junte: peuple du sahara opprimé, colonisés par le Maroc, ce Maroc qui veut même se repandre jusqu'à Tambouctou et blablabla...
    La haine aveugle

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    • #17
      Jawzia,

      raconte nous wallah moi je ne suis pas au courant
      La haine aveugle

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      • #18
        Comment le commandant Ayoub, stratège du Polisario, a regagné le Maroc
        Une autre photo de "science fiction"

        http://www.maroc-hebdo.press.ma/MHin...26/grande.html

        La grande évasion

        Le retour au Maroc du Commandant Ayoub va, non seulement accélérer les choses, mais il change radicalement la donne dans la sous-région. Nombreux seront ses sympathisants dans les camps et ailleurs qui vont lui emboîter le pas.

        Abdallah Ben Ali

        • S.M le Roi Mohammed VI accompagné de SAR le Prince My Rachid recevant Lahbib Ayoub.

        «A-t-on vraiment saisi, au Maroc, toute la signification du retour du Commandant Ayoub Lahbib au Royaume?». A Cette interrogation d’un grand spécialiste occidental des affaires maghrébines, la réponse ne semble pas, jusqu’ici, évidente. Certes, l’audience accordée par SM le Roi Mohammed VI, lundi 23 septembre dans la salle du Trône du Palais Royal de Marrakech, à l’illustre rallié, qui, à cette occasion, avait fait acte d’allégeance au Souverain, traduit l’importance que les hautes sphères du pouvoir à Rabat accordent à cet événement.

        Mais, dans l’ensemble, le microcosme politico-médiatique, trop préoccupé, il est vrai, par les élections législatives du 27 septembre, n’a pas «capté le message». Une tendance à la banalisation de ce «retour», précédé par tant d’autres qui n’ont pas eu d’incidence immédiate et décisive sur le cours du conflit saharien, était observable.

        Légende

        Pourtant, pour les connaisseurs du dossier du Sahara, la singularité du changement de camp, opéré par Ayoub Lahbib, crève les yeux. Ce quinquagénaire, moustachu, costaud et chauve, qui vient de tourner le dos au séparatiste et d’embrasser la cause marocaine, est depuis toujours perçu comme un personnage à part. Une légende.

        Le commandant Ayoub, pour les Sahraouis de Tindouf, c’est le Commandant Messaoud pour les Afghans. Le même charisme, la même aura et le même prestige. Rien d’étonnant si l’on sait que cet ancien sous-officier de l’armée coloniale espagnole, natif de Laâyoune, était le commandant du premier escadron paramilitaire levé par le Polisario, en 1974, quelques mois après la naissance du mouvement séparatiste. Durant les premières années de la guerre du Sahara, qui ont été les plus dures pour tous les belligérants de ce conflit, absurde, fratricide et regrettable, alors qu’il dirigeait la zone militaire Sud –tandis que celle du Centre était confiée à Mohamed Lemine Ould Bouhali et celle du Nord à l’actuel chef de file du Polisario, Mohamed Abdelaziz- le jeune guérillero avait cumulé les hauts faits d’armes, non pas face aux Marocains, mais vis-à-vis de leurs alliés mauritaniens de l’époque.

        Autonomie

        La fameuse opération de Tichla, au Rio d’Oro, en 1979, au cours de laquelle des dizaines de militaires mauritaniens avaient péri, c’était lui. A l’instigation d’Alger, le Polisario voulait, alors, renforcer la pression militaire sur Nouakchott pour l’acculer à un retrait unilatéral du conflit saharien. Objectif qui fut atteint quelques mois plus tard.

        L’homme est aussi l’un des sept chefs historiques du Polisario qui siégeaient au sein du premier comité exécutif du mouvement séparatiste dirigé par El Ouali Mustapha Essayed.

        Son appartenance aux Bouihat, fraction des R’guibats, à laquelle appartient également Omar Hadrami -ancien membre du Bureau politique du Polisario qui avait regagné le Maroc il y a plus de dix ans et qui est actuellement le gouverneur de Sidi Kacem- lui donne également un poids politique non-négligeable au Sahara. Mais, elle ne constitue pas sa force majeure. Celle-ci, le Commandant Ayoub la tire de son extrême popularité auprès de toutes les factions tribales sahraouies. Ses hommes de troupe l’adorent. Ils le trouvent courageux, bienveillant et austère.
        «Ce n’était pas le chef qui ordonnait à ses soldats d’avancer alors en restant derrière, durant tout affrontement, le commandant Ayoub avance et tourne vers sa troupe en disant «Suivez-moi» témoigne l’un de ses compagnons d’armes qui affirme ,également, que son chef était, toujours, «le dernier à manger, à se soigner et à dormir». Ce proche ami d’El Ouali Mustapha Essayed, qui a toujours récusé la pesante mainmise de la sécurité militaire algérienne sur le Polisario, s’était, le plus souvent, éloigné de Tindouf. «Sa» zone militaire, située dans les confins algéro-maroco-mauritaniens, jouissait d’une autonomie de fait. Il n’a jamais appliqué les décrets du Polisario depuis la mort, précoce, d’El Ouali, ni reconnu, au fond, la légitimité de Mohamed Abdelaziz perçu, à juste raison, comme une marionnette des Algériens . D’où la haine que lui vouent les galonnées d’Alger et leurs thuriféraires de Lahmada qui n’ont jamais réussi à l’associer à leurs basses œuvres.Quand le soulèvement de la population des camps a éclaté, en 1988, contre la direction séparatiste inféodée à l’Algérie, Ayoub Lahbib avait tenté, en vain, d’empêcher la répression sauvage menée par l’armée algérienne contre les Sahraouis insurgés.

        Témoignages

        Cet épisode l’avait conforté dans son choix initial de prendre ses distances avec Abdelaziz et consorts. Certes, quand ses vrais amis politiques, à commencer par son cousin et confident Omar Hadrami, tirant la leçon de l’aventure du Polisario au lendemain de l’écroulement du mur de Berlin en 1989, avaient opté pour le retour au Maroc, le Commandant Ayoub n’avait pas suivi. Rien ne l’empêchait pourtant de revenir au Maroc.

        Car, contrairement à tous les autres dirigeants et cadres du Polisario, civils et militaires, il avait toujours bénéficié d’une liberté totale de circulation que personne, y compris Mohamed Abdelaziz, ne pouvait limiter. Il était, cependant, selon des témoignages concordants, acquis,tout comme Hadrami, Brahim Hakim, Gajmoula Bent Abbi et Abdallah Ould Bouh, dit Barazani… à l’idée que Marocains et Sahraouis étaient condamnés à vivre ensemble. Mais, avec ceux-ci, il avait une différence d’appréciation. Lui, il pensait -à l’instar de Béchir Mustapha Essayed, qui était ces derniers temps son principal allié, et Fadel Ismaïl, décédé, il y a quelques mois à Londres,- pouvoir infléchir le cours des choses de l’intérieur du Polisario. Il trouvait également, sans doute, douloureux de laisser une population, qui a toujours placé ses espoirs et sa confiance en lui, seule face à la bande d’Abdelaziz, notoirement à la solde d’Alger. Ce sont de telles considérations, tactiques ou liées à une certaine idée du sens de l’honneur, qui sont à l’origine du retard constaté dans le retour au Maroc de plusieurs dirigeants sahraouis. Rares, vraiment rares sont les hauts cadres du Polisario qui ont encore des illusions sur le projet séparatiste.

        Le ralliement au Maroc de cette figure emblématique du Polisario qui était, depuis 1998, en dissidence ouverte contre Mohamed Abdelaziz, renseigne avec certitude sur une chose: le glas a sonné pour les séparatistes.
        La nouvelle était pour eux une véritable onde de choc. On sait que le Commandant Ayoub multipliait, ces derniers temps, le va-et-vient entre son «fief» et l’Espagne, mais, personne, dans l’entourage du maître de Tindouf, ne prévoyait qu’il allait regagner le Maroc. L’embarras des acolytes d’Alger est compréhensible.

        L’homme, qui vient de répondre positivement à l’appel «la patrie est clémente et miséricordieuse», lancé par feu Hassan II et réitéré par le Roi Mohammed VI, jouit, dans les camps de Lahmada, d’une popularité bien assise. Personne n’aura l’insolence de prétendre que l’acte du Commandant Ayoub est motivé par des considérations personnelles ou pécuniaires. L’austérité et l’altruisme de ce notable saharien étant légendaires.

        Timing

        Son «message» est difficilement brouillable. Les Sahraouis le recevront cinq sur cinq. Ils comprendront que l’unique issue possible et souhaitable, au problème saharien est de rester dans la mouvance marocaine. Issue qui, en tout cas, vaut mieux que la partition désormais défendue, bec et ongles, par les «les parrains algériens». Le retour au Royaume du Commandant Ayoub va, non seulement accélérer les choses, mais il change radicalement la donne dans la sous-région. Nombreux seront ses sympathisants dans les camps et ailleurs qui vont lui emboîter le pas. Et puis, avec le ralliement du principal stratège militaire du mouvement séparatiste au Royaume, le Polisario ne peut plus songer sérieusement à la reprise de la guerre. Les partisans à Tindouf d’une solution politique négociée avec Rabat en seront sensiblement renforcés.

        Le timing de ce retour –opéré à partir de l’Espagne quelques jours avant l’audience royale, au moment où les desseins expansionnistes de l’Algérie ont éclaté au grand jour- fut minutieusement choisi par l’intéressé lui-même en concertation, très vraisemblablement, avec son parent et ami politique Omar Hadrami, qui était, depuis un laps de temps, son canal privilégié avec les autorités de Rabat. «Les séparatistes sont terrassés» affirme un observateur de la région qui ajoute qu’«Alger en accuserait le coup». Il suffit pour s’en convaincre de rappeler cette petite histoire: A la fin de 1999, le Premier ministre mauritanien, Cheikh Al Afia Ould Mohamed Khouna, arrive à Alger.

        Il est porteur d’un message du président Mouaouya Ould Taya à son nouvel homologue algérien, Abdelaziz Bouteflika. Le locataire du Palais de la Mouradia fait attendre longtemps son hôte avant de lui faire savoir, en termes courtois, qu’il ne veut pas le recevoir. Les médias interprètent cette humiliante rebuffade comme une protestation algérienne contre la normalisation entre Nouakchott et Tel Aviv.

        Il n’en était rien. Les maîtres d’Alger étaient furieux parce que les Mauritaniens, soupçonneux de faire le jeu du Maroc, venaient d’autoriser le commandant Ayoub de «camper» dans les environs de la localité de F’direk au nord de la Mauritanie. Ni plus ni moins.
        Dernière modification par ayoub7, 26 février 2008, 18h50.

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        • #19
          En gros:

          Les décideurs polisariens:

          1- El Ouali Sayed assassiné par les algériens par ce qu’il voulait rentrer au Maroc
          2- Ayoub Lahbib a rallié le Maroc
          3- Omar Hadrami a rallié le Maroc
          4- Mustahpa Barzani a rallié le Maroc
          5- Mahjoub Salek est réfugié en Espagne et partisan d'une large autonomie
          6- Baba Sayed refugié au Canada
          7- Bachir Mustapha sayed réside à Tindouf et partisan d un compromis avec le Maroc
          8- Abdlekader Taleb Omar partisan d'un compromis avec le Maroc
          9- Mahfoud Ali Beiba partisan d'un compromis avec le Maroc
          10- El Bouhali Ahmed ministre de la défense de la RASD et Algérien oppose à un compromis avec le Maroc
          11- Brahim Ghali opposé à un compromis avec le Maroc
          12- Mohammed Khaddad négociateur farouchement opposé à un compromis avec le Maroc
          13- Mohammed Abdelaziz (n'est pas membre des fondateurs du Polisario...) farouchement opposé au compromis avec le Maroc
          14- Mansour Omar partisan d'un compromis avec le Maroc
          15- Guajmoula Bent Ebbi a rallié le Maroc
          16- Mohammed Sidati opposé au compromis avec le Maroc

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          • #20
            Jawzia,

            raconte nous wallah moi je ne suis pas au courant
            Demandes au commandant Ayoub.

            Le cas echéant, je ferai des heures complémentaires Gratis.

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            • #21
              Non. Tu as très bien lu. Tu n'es pas au courant ?
              Non Pas Du tout , Si tu peux nous Citer les Noms des Personnalités qui ont su joindre Tindouf STP

              Commentaire


              • #22
                Alors, le commandant ne veut pas "instruire" ses compatriotes sur les refugiés qui partent visiter leur

                famille à Smara, Laayoune, Dakhla et ......regagnent sereinement les camps de l'honneur à Tindouf ??

                Commentaire


                • #23
                  Alors, le commandant ne veut pas "instruire" ses compatriotes sur les refugiés qui partent visiter leur famille Smara, Laayoune, Dakhla et regagnent sereinement les camps de l'honneur à Tindouf ??
                  On Veut bien que le Chef Supreme de l'armée Jawzia Nous Réponde , car comme tout le monde le Sait les Rifains comme les Sahraouis comme tout citoyen marocain n'a pas besoin de laissé passé pour Voyager

                  Pour attendre les Visites , ca se passe Uniquement chez les Polisariens

                  Allez On Vous Attend

                  Commentaire


                  • #24
                    Les refugies qui viennent au Maroc laissent... de la famille derriere a Tindouf comme monnaie d'echange, au cas ou... De plus, le polisario fait ca dans le cadre d'un programme d'echange ou il est interdit aux beneficiaires de rester au Maroc...

                    Commentaire


                    • #25
                      De plus....

                      Le Haut commissariat des Nations-unies aux réfugiés (HCR) a procédé mercredi a "deux opérations distinctes de rapatriement de deux familles des camps de Tindouf vers les province du sud du Royaume", indique un communiqué du Bureau de la coordination marocaine avec la Minurso.


                      La première opération a concerné Mme Lâaziza Mohamed Lamine El-Habib (38 ans) et ses quatre enfants mineurs, qui ont participé, du 10 au 15 courant, à la visite organisée entre le camp d'Awserd, dans le sud algérien, et la province d'Es-smara, dans le cadre de l'Opération échange de visite familiales, ajoute le Bureau.


                      Le communiqué précise que, "profitant de son séjour à Es-smara, Mme Lâaziza Mohamed a exprimé sa volonté de rester parmi les siens et appelé le staff du HCR, opérant sur place, à prendre les mesures nécessaires lui garantissant, ainsi qu'à ses enfants, de demeurer dans son pays et de ne plus retourner dans les camps de Tindouf".


                      "Ainsi, et conformément aux dispositions du plan d'action régissant l'opération d'échange de visites familiales, et aux termes du mandat du HCR, les représentants de cet organisme à Es-smara ont procédé aux formalités relatives au rapatriement de la famille en question", explique le Bureau, soulignant que, "s'il a été permis à Mme Lâaziza Mohamed de décider librement du sort de sa famille, c'est en raison du fait qu'elle a pu participer à ce programme d'échange de visites familiales, en compagnie de tous ses enfants, une chance qui n'a pas été donnée aux nombreuses familles des camps de Tindouf ayant participé à cette opération humanitaire et dont une partie de leurs membres a été retenue en guise d'otage, au sud de l'Algérie".


                      Quant à la deuxième opération, elle a concerné Mme Bouchra Hmaidi Mohamed (25 ans) et son fils (2 ans), rapatriés du camp dit de Laâyoune, dans le sud algérien, vers la ville de **********


                      Le Bureau précise que "les intéressés faisaient partie du groupe de citoyens marocains originaires de la ville de Boujdour ayant séjourné dans les camps de Tindouf du 20 au 25 janvier 2005 dans le cadre du même programme d'échange de visites familiales".


                      "Après un séjour de moins de trois semaines, au camp dit de Laâyoune, Mme Bouchra Hmaidi a décidé de revenir à son pays, fuyant ainsi les conditions de vie prévalant dans les camps de Tindouf, notamment le dispositif sécuritaire érigé par le polisario autour des camps en question", ajoute le Bureau.


                      Ces deux rapatriements, souligne la même source, "ont été effectués par le HCR, en étroite concertation avec le Bureau de la coordination marocaine avec la Minurso, qui n'a cessé d'appeler cet organisme à assurer, d'une part, une présence permanente parmi et au sein des populations séquestrées au niveau des camps de Tindouf et, d'autre part, les conditions susceptibles de garantir à ces mêmes populations de décider, en toute liberté, de leur sort, et ce conformément au mandat du HCR, dont la mission principale est de promouvoir le rapatriement librement consenti des réfugiés".


                      Tout en félicitant le staff du HCR ayant procédé à ces rapatriement "dans le respect du libre choix des familles sus-mentionnées", le Bureau "formule le souhait de voir régner la même volonté chez cet organisme en vue de répondre, conformément à son mandat, aux milliers de demandes de retour vers le pays d'origines émanant des populations sahraouies séquestrées au sud de l'Algérie".


                      Le Bureau rappelle que, depuis le déclenchement de l'opération d'échange de visites familiales, "14 personnes, réparties en 5 familles, ont été rapatriées, sous les auspices du HCR, des camps de Tindouf vers les provinces du sud du Royaume".

                      Commentaire


                      • #26
                        Polisario : 160 séparatistes repentis s'apprêtent à rallier le Maroc

                        MAP
                        Aprés quelque jours de retrait, voilà que tu reprends du service l'agent Ayoub, il faut bien pour mériter ton salaire voyons

                        Franchement tu n'a pas honte aprés tous les monsonges relayés par les relais du makhzen de venir encore nous servir ta soupe nauséabonde ??

                        Commentaire


                        • #27
                          Envoyé par ayoub7
                          Les refugies qui viennent au Maroc laissent... de la famille derriere a Tindouf comme monnaie d'echange, au cas ou... De plus, le polisario fait ca dans le cadre d'un programme d'echange ou il est interdit aux beneficiaires de rester au Maroc...
                          Mais pas la peine de nous repèter les monsonges du makhzen on les connais trés bien

                          Commentaire


                          • #28
                            The Mission also provides support to the exchange of family visits, whereby MINURSO flights between the refugeee camps in Tindouf and cities west of the berm carry passengers who have not been able to see their families for over 30 years. Some 19,000 people have registered to take part in the exchange programme, with some 3,200 having benefitted from the programme's inception in 2004 to March 2007.


                            La mission apporte également son soutien à l'échange de visites familiales, selon lequel la MINURSO organise des vols pour les refugiés des camps de Tindouf et les villes de l'ouest du mur de sable en transportant des passagers qui n'ont pas pu voir leurs familles depuis plus de 30 ans. Quelques 19000 personnes se sont inscrites pour prendre part au programme d'échange, 3200 personnes en ont déjà bénéficié entre 2004 à mars 2007.

                            http://www.minurso.unlb.org/CBM.html

                            Commentaire


                            • #29
                              bah solution tres simple, ouvrez les camps et laissez des famille entieres venir rendre visite d'un cote et de l'autre et on verra dans quel sens se fera l'exode qu'en pensez vous?

                              Et comme ca on aura le coeur net et on saura qui fait de la propagande et qui a raison.

                              Commentaire


                              • #30
                                Envoyé par ayoub7
                                bah solution tres simple, ouvrez les camps et laissez des famille entieres venir rendre visite d'un cote et de l'autre et on verra dans quel sens se fera l'exode qu'en pensez vous?
                                Et encore plus simple, soyez courageux, laissez les sahraouis décider librement leur sort dans un referundum transparent et libre, et vous verrez le résultat aprés.

                                En attendant continuez à vous leurrer avec votre propagande nauséabonde, elle ne leurre personne à part vous.

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