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L'Onu épingle le Maroc sur les violations des droits de l'homme au Sahara occidental

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  • #31
    surtout que les GUS ne sont plus d'actualité ils ont etait dissous il y'a plus d'un an .........

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    • #32
      Voyons ce qui se passe du coté de l'Absurdistan , cher Citoyen et ça ne vient pas de la MAP mais de la ......federation internationale des droits de l'homme ( FIDH)

      ....................................

      /11/2007 -FIDH

      Algérie - Comité Droits de l’Homme des Nations Unies

      Le Comité Droits de l’Homme épingle l’Algérie

      Paris, Genève, le 2 novembre 2007 – Le Collectif des familles de disparu(e)s en Algérie (CFDA) et la Fédération internationale des ligues des droits de l’Homme (FIDH) se félicitent des recommandations du Comité des droits de l’Homme, demandant instamment aux autorités algériennes d’abroger l’article 46 de l’Ordonnance 06-01- portant application de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale- bafouant la liberté d’expression. Il s’agit d’une victoire importante pour tous ceux qui dénoncent le caractère liberticide de cette charte.
      Le Comité demande également au gouvernement algérien que l’article 45 de l’ordonnance précitée, interdisant aux victimes tout recours devant la justice, soit amendé afin que les crimes de disparitions, tortures, massacres et viols fassent l’objet d’enquêtes et que les responsables soient enfin traduits en justice. Le Comité réaffirme en outre le droit fondamental des familles de disparus à obtenir réparation - notamment par une indemnisation adéquate, et exhorte l’Algérie à abolir l’obligation faite aux familles de disparus d’attester de la mort de leur proche pour pouvoir prétendre à l’indemnisation. Le Comité appelle l’Algérie à établir un registre national des centres de détention et des personnes détenues, accessible en particulier aux familles et aux avocats des détenus.
      « Nous appelons le gouvernement algérien à mettre en oeuvre le plus rapidement possible ces recommandations au regard du climat d’impunité qui prévaut toujours en Algérie. La récente condamnation de Mohamed Smain, responsable de la section de Relizane de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’Homme (LADDH) qui oeuvre activement pour la recherche de la vérité sur les disparus, témoigne du harcèlement subi par ceux qui se battent pour faire valoir les droits des victimes (1) », a déclaré Souhayr Belhassen, présidente de la FIDH.
      Le Comité est préoccupé par le fait que de nombreuses organisations et défenseurs des droits de l’Homme ne puissent exercer librement leurs activités. A ce propos, le Comité demande à ce que l’Etat garantisse le droit de toute association de former un recours contre tout refus d’enregistrement, et qu’il s’engage à respecter et protéger les défenseurs des droits de l’Homme. Le Comité des droits l’Homme des Nations unies appelle aussi le gouvernement algérien à garantir pleinement la liberté de la presse et la protection des journalistes.
      Enfin, le Comité rappelle au gouvernement algérien qu’il doit examiner la nécessité de maintenir l’état d’urgence, en conformité avec le Pacte international des droits civils et politiques.
      « Nous nous félicitons des préoccupations émises par le Comité sur les nombreuses et graves violations des droits de l’Homme qui ont été commises en toute impunité, notamment par des agents publics, et qui continueraient de l’être en Algérie », a déclaré Nassera Dutour, présidente du CFDA.
      La FIDH et le CFDA appellent les autorités algériennes à mettre en oeuvre l’ensemble des recommandations. Les deux organisations continueront de suivre avec la plus grande attention la situation en Algérie et notamment l’état de la mise en oeuvre de ces recommandations.

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      • #33
        Et dire que le maroc etait suppose en temps de paix.....
        Je me demande sollenelement qu'est ce qu'il adviendrait du peuple marocain si une vraie rebellion armee s'instaure en son sein?

        Un nouveau Rwanda,j'ose penser.
        Comme j´ai dit en haut, au lieu de continuer dans comparaisons imaginaires, tes scenarios fantasmes ou bref tes raisonnements absurdes, il vaut mieux que tu reviennes un peu dans la réalité et parler des faits. La situation du droit de l´Homme en Algérie n´est absolument pas réjouissante:

        L'impossible justice pour les victimes des « années de sang »

        par François Gèze et Salima Mellah, 10 avril 2008
        Article publié dans le dossier de la revue Mouvements : « Vérité, justice, réconciliation. Les dilemmes de la justice transitionnelle », Mouvements , n° 53, mars-mai 2008 (en vente en librairie le 10 avril 2008).
        Après sept années d'une « sale guerre » (1992-1999) qui a fait quelque 200 000 morts, 20 000 « disparus » et provoqué le déplacement forcé de plus de 1,5 million de personnes, la violence perdure en Algérie, endeuillée en 2007 par des attentats suicides. La « loi de réconciliation nationale » mise en œuvre par le régime en février 2006, loin de pacifier le pays, a surtout fait fonction d'autoamnistie pour les responsables militaires et policiers responsables de violations massives des droits humains, tandis que la grande majorité des membres des groupes armés échappaient également à la justice. La longue lutte des familles de disparus, réclamant « vérité et justice », s'est heurtée jusqu'à ce jour à l'indifférence du pouvoir et de la communauté internationale. Tandis que certaines associations de victimes prônaient en 2007 une forme très restreinte de justice transitionnelle inspirée du modèle marocain de l'Instance Équité et Réconciliation, exonérant les responsables des crimes de toute poursuite.

        Suite:
        http://www.algeria-watch.org/fr/arti...le_justice.htm

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        • #34
          bizarrement, on dit que l'onu a épinglé le maroc mais on ne dit pas que l'onu a épinglé encore plus violemment l'algérie, en plus prendre comme source l'agence de presse sahraoui (APS), c'est encore pire que la MAP ou l'agence de presse algérienne.

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          • #35
            >>>bizarrement, on dit que l'onu a épinglé le maroc mais on ne dit pas que l'onu a épinglé encore plus violemment l'algérie

            Il n'y a rien de bizarre, il y a un vrai rapport accablant qui dort dans les armoires de l'ONU, dans lequel on épingle lourdement le royaume sur ses éxactions au SO. Certaines puissances veulent le garder encore secret et la c'est bizarre .

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            • #36
              Certaines puissances veulent le garder encore secret et la c'est bizarre .

              je ne savait pas que le Royaume enchanté etait pas aussi puissant que ça ????

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              • #37
                citoyen

                voila le rapport en question......


                http://lib.ohchr.org/HRBodies/UPR/Do..._1_MAR_2_F.pdf
                « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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                • #38
                  Les inquiétudes des responsables onusiens sont plus que justifiés. On parle d'absence d'application du droit de l'autodétermination du peuple du Sahara occidental.

                  41.De vives inquiétudes ont également été exprimées par la Représentante spéciale du Secrétaire
                  général concernant la situation des défenseurs des droits de l’homme à propos de défenseurs des
                  droits de l’homme qui agissent dans le contexte du Sahara occidental, surtout pour ce qui est des
                  restrictions à la liberté de réunion et d’association.
                  42. La question du Sahara occidental fait régulièrement l’objet d’un examen par l’Assemblée
                  générale et par le Conseil de sécurité. Par exemple, dans son rapport le plus récent au Conseil de
                  sécurité, le Secrétaire général a recommandé que les parties restent engagées dans un dialogue
                  continu et constructif avec le Haut-Commissariat aux droits de l’homme en vue d’assurer le respect
                  des droits de l’homme du peuple du Sahara occidental.
                  43. Le Comité des droits de l’homme demeurait préoccupé par l’absence de progrès dans la
                  question de l’application du droit à l’autodétermination du peuple du Sahara occidental.
                  Il a recommandé à l’État marocain de déployer tous ses efforts pour permettre aux populations
                  concernées d’exercer pleinement les droits reconnus à l’article premier du Pacte.

                  Le Comité des
                  droits économiques, sociaux et culturels a pris note avec inquiétude d’informations, mises
                  également en lumière par le Haut-Commissariat pour les réfugiés109, faisant état de la situation
                  précaire des personnes déplacées suite au conflit du Sahara occidental, et a encouragé le Maroc
                  à protéger les droits des personnes déplacées et à leur apporter la sécurité

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                  • #39
                    région de Tiris (RASD)

                    « En regardant dans le passé du Sahara », c’est un projet qui cherche la coopération avec la société sahraoui. Les groupes, sur commandement du Gouvernement Sahraoui, ont la moitié des postes réservés aux Sahraouis.

                    Mirando al pasado del Sahara

                    Andoni Sáenz de Buruaga investiga la riqueza arqueológica de la llanura del Tiris - El proyecto busca la cooperación con la sociedad saharaui




                    Su trabajo, defiende el arqueólogo Andoni Sáenz de Buruaga (Vitoria, 1956), consiste en mirar al pasado. Desde 2004, su atención se ha dirigido al Tiris, una vasta llanura del Sahara occidental, donde está desarrollando desde entonces un proyecto a caballo entre la investigación y la cooperación con el pueblo saharaui. Al frente de un equipo de seis personas, la mitad seleccionada por el Gobierno de la Republica Árabe Saharaui Democratica, ha llevado a cabo cuatro campañas sobre el terreno, financiadas por el Gobierno vasco, la última hace menos de un mes. Ya han trabajado en más de 200 yacimientos arqueológicos en un territorio de unos 30.000 kilómetros cuadrados - cuatro veces más que la superficie del País Vasco- situado en la mitad meridional del Sahara occidental, en la zona bajo el control del Frente Polisario.

                    El Gobierno vasco subvenciona las campañas sobre el terreno La mitad del equipo está formada por saharauis

                    El Gobierno vasco ha dedicado 27.000 euros anuales a las expediciones. Este año se ha doblado la cantidad y el equipo de Sáenz de Buruaga podrá realizar dos campañas en el Tiris, en una zona situada a más de mil kilómetros de los campos de refugiados de Tinduf. La riqueza arqueológica habla de un pasado en el que el territorio ofrecía recursos suficientes a la población, no el paisaje mineral del desierto que hoy lo cubre. Hasta hace 4.000 años no se inicio el proceso de desertización; antes, con los picos propios de la evolución climática, el clima era subtropical, similar al que hoy domina en Kenia o Tanzania. "Sobre el terreno se ve que fue un vergel. He visto los ríos fósiles, tengo pruebas objetivas y es fácil imaginarlo", asegura el arqueólogo.
                    Sáenz de Buruaga se confiesa comprometido con el pueblo saharaui en el desarrollo del proyecto. "Me topé con una sociedad marginal y marginada, ante la que no puedo cerrar los ojos. El trabajo científico debe ser riguroso, objetivo, y ser difundido. El equipo de trabajo debe adaptarse a la gente de allá", defiende. Por eso los equipos que dirige -bajo la encomienda del Gobierno de la RASD subraya- tienen la mitad de las plazas reservadas para saharauis, personas que han estudiado arqueología en Argelia. "Si no somos capaces de instruir, de facilitar las herramientas de gestión del patrimonio a la sociedad saharaui, poco habremos hecho. Nuestro objetivo es la valoración científica del patrimonio, pero es al pueblo saharaui a quien le corresponde gestionarlo".
                    Hasta ahora el trabajo ha sido, fundamentalmente, de investigación arqueológica. En las sucesivas campañas han localizado más de 200 yacimientos. Son los poblados y asentamientos itinerantes, sepulturas y elementos rituales, talleres donde se trabajaban las materias primas y arte prehistórico. "Es una riqueza arqueológica exhuberante", afirma. El abanico cronológico es impresionante: han encontrado pruebas de la presencia humana estable hace 10.000 años, pero también testimonios que abren pistas sobre la ocupación del territorio hace más de 150.000 años. Y otras pruebas, cuantitativamente más limitadas, unos 10 yacimientos, permiten calcular una antigüedad entre los 600.000 y los 300.000 años. "Estoy convencido de que con el tiempo, cuando reconozcamos mejor el territorio, encontraremos cosas más antiguas y otras que están en medio", explica. Y han aparecido paradojas: los túmulos neolíticos, por ejemplo, perduraron a lo largo de la historia y, siguiendo la misma tradición, aparecen puntualmente en el siglo VIII. O estructuras rituales en forma de media luna de 300 metros de longitud.
                    El arte prehistórico aparece en la zona en menor medida que en la franja norte del Sahara occidental, pero ya han estudiado nueve localizaciones. Una de ellas, cuenta con 50 grabados en las que se ven diversos animales, figuras humanas esquemáticas y motivos geométri. Sáenz de Buruaga se plantea ir más allá de la arqueología. "Mirar al pasado es también estudiar la toponimia y la lingüística, es aproximarnos a las pautas de comportamiento, a la vida cotidiana, al medio ambiente", dice el arqueólogo. "Es acercarnos a las sociedades". El experimento de recoger entre la población autóctona las referencias toponímicas ya está en marcha. En octubre volverá al desierto para ampliarlo.

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