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URGENT Le Maroc va recourir au FMI

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  • #16
    pourtant le porc m6 ai milliardaire grace a son peuple q'uil pille depuis des décénnies

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    • #17

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      • #18
        a voir et revoir les magouilles de ce porc qui c'est tout accaparé au maroc du sol au plafond !!!


        et les commis makhzéniens du forum .........................................

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        • #19
          Il est plus riche aujourdh'ui qu au debut de regne gros ped, il emprunt et il prélev des sous sur l'emprunt kan ildemand 5 milliard pour soit disant le pays il en étouffe 2

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          • #20
            a voir et revoir les magouilles de ce porc qui c'est tout accaparé au maroc du sol au plafond !!!
            Et du sous-sol

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            • #21

              Economie : Folle escalade de la dette publique
              Rédigé par Anass MACHLOUKH le Mardi 19 Juillet 2022

              Le Haut-Commissariat au Plan prévoit une augmentation de la dette publique dans les deux prochaines années, dont le niveau est jugé inquiétant. Avis d’experts.

              La Loi des Finances permet au gouvernement de faire des sorties à l’international, pour combler le besoin de financement estimé à 40 MMDH. Le Royaume n’écarte pas cette possibilité sachant que, jusqu’à présent, le pays demeure attentif aux marchés financiers et négocie une nouvelle ligne de crédit modulable auprès du FMI, selon les dires du patron de Bank Al-Maghrib, Abdellatif Jouahri.

              Le Royaume semble attendre le moment opportun pour lever les fonds dont il a besoin. Actuellement, le niveau d’endettement du pays est important.

              Comme en témoigne le dernier rapport du Haut-Commissariat au Plan (HCP), où il est marqué que la dette publique (taux d’endettement global), devrait franchir le cap de 83% en 2022, et culminer l’année suivante à 83,6%, sachant qu’elle était à 82,5% en 2021. Le Département d’Ahmed Lahlimi prévoit « une accentuation du besoin de financement », vu la pression à laquelle sont soumises les caisses de l’Etat. D’où le recours au marché international, jugé « indispensable », pour éviter une pression sur les liquidités domestiques.

              Plusieurs facteurs poussent à ce qui s’apparente à une « fatalité ». D’abord, la hausse des dépenses courantes de l’Etat liée à la hausse du budget de compensation (qui va culminer à 2,5% du PIB au lieu de la moyenne de 1,4%) et aux dépenses imprévues comme les subventions accordées aux transporteurs et le plan d’urgence pour pallier les effets de la sécheresse. Ce à quoi s’ajoute le maintien des dépenses d’investissement qui vont s’accroître de près de 8,5% pour atteindre 26,2% du PIB en 2022. Par conséquent, le déficit budgétaire ne sera pas en dessous de 5,5%.

              Niveau d’endettement inquiétant

              « Evidemment qu’il s’agit d’un problème sérieux », juge l’économiste Mohammed Rahj, fiscaliste et expert en finances publiques, selon lequel la légitimité du recours à l’endettement extérieur ne se pose pas du moment que la Loi des Finances autorise le gouvernement à le faire.

              Selon l’expert, le plus important c’est la soutenabilité de la dette et notamment son coût. Comme une grande partie de la dette marocaine est libellée en dollar, le pays devrait la rembourser de manière plus onéreuse, compte tenu de l’appréciation de la monnaie américaine ces derniers mois.

              Force est de rappeler que le dollar s’est apprécié de sorte qu’il est devenu à parité avec l’Euro. « Il y a deux ans, il fallait près de 9 dirhams pour un dollar, maintenant nous sommes à 10,4 dirhams, ceci pose problème », estime notre interlocuteur, rappelant que la dette du Trésor, par exemple, est libellée en dollar à hauteur du tiers. « La hausse de la facture de la dette ne manquerait pas d’impacter le stock de devises, qu’il faut promouvoir en exportant plus », reprend l’expert.

              Selon M. Rahj, il faut d’autant plus s’inquiéter que le coût de la dette aurait tendance à augmenter compte tenu de la hausse des taux sur les marchés internationaux. Raison pour laquelle l’économiste se montre plus favorable au recours aux institutions financières, le cas échéant. « En tout cas, nous avons les mains liées, nous attendons avec impatience ce que vont annoncer les autorités compétentes », ajoute-t-il doctement.

              Croissance trop faible pour supporter la charge de la dette

              De son côté, Omar Kettani, économiste et professeur à l’Université Mohammed V à Rabat, estime que la proportion de la dette est telle qu’il faut plus de vingt ans pour la rembourser si on prend en compte la faible valeur ajoutée engendrée par l’économie nationale (en moyenne 3% du PIB).

              « Si on divise le niveau de la dette sur la valeur ajoutée, ça nous donne vingt ans de remboursement », explique notre interlocuteur.

              Selon lui, le fait que l’Etat s’endette pour financer les besoins de fonctionnement est « grave ». « Tout endettement doit être orienté vers l’investissement et doit, de préférence, être contracté à moyen terme », poursuit M. Kettani, qui se pose la question de l’efficacité de l’investissement, dont les retombées seraient trop faibles pour assurer la solvabilité durable des finances publiques, c’est-à-dire un paiement pérenne des charges de la dette.

              « Si le niveau de croissance demeure aussi faible qu’aujourd’hui, et s’il y a d’autres crises au futur, il est probable que l’endettement se creuse »,

              ajoute l’économiste, qui plaide pour un taux de croissance de 6%pour pouvoir rester à l’abri du cercle vicieux qui consiste à s’endetter pour rembourser les dettes précédentes.

              Or, la capacité de l’investissement à propulser la machine de la croissance est remise en doute par les chiffres. Notre économie investit 30% du PIB, un niveau jugé très élevé et au-dessus de la moyenne mondiale. Pourtant, les retombées sur la croissance sont faibles. Par conséquent, s’endetter pour investir dans des projets peu productifs s’avère inutile, voire dangereux si on réalise les conséquences de cela à long terme.

              À court terme, le Maroc est confronté à des perspectives pessimistes en termes de croissance. La conjugaison de la sécheresse, de l’inflation et des répercussions de la guerre russo-ukrainienne a contrecarré les espérances du gouvernement qui tablait sur 3,2% cette année. Hélas, dans les meilleurs des cas, on se contentera de 1,1%, selon les chiffres du HCP qui prévoit un taux de 3,9% en 2023.

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              • #22
                pourtant le porc m6 ai milliardaire grâce a son peuple q'uil pille depuis des décennies

                les milliard sont pour les juif et les français un exemple de pillage coloniale

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                • #23
                  Le Maroc est convoqué d’urgence au bureau du surendettement étage 4 porte 12 au siège du FMI

                  Fonds monétaire international
                  700 19th Street, N.W.
                  Washington, D.C. 20431

                  Merci de vous présenter dans les plus brefs délais

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                  • #24
                    Quand un article est en défaveur du Maroc vous sortez de partout.

                    Les pauvres. Il faut vraiment souffrir dans son intérieur pour s'extasier de chaque mauvaise nouvelle pour le Maroc.

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                    • #25
                      Selon l’expert, le plus important c’est la soutenabilité de la dette et notamment son coût. Comme une grande partie de la dette marocaine est libellée en dollar, le pays devrait la rembourser de manière plus onéreuse, compte tenu de l’appréciation de la monnaie américaine ces derniers mois.
                      Croissance trop faible pour supporter la charge de la dette

                      le dollar qui monte, mais y a aussi le taux du crédit. La côte du Maroc n'est pas fameuse et les taux d'intéret montent en flèche.

                      S'endetter pour payer la dette, c'est plus qu'inquiétant.
                      ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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                      • #26
                        Pourquoi "URGENT"? La dictature marocaine a toujours vécu sous perfusion du FMI.

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                        • #27
                          . S'endetter pour payer la dette, c'est plus qu'inquiétant.
                          En effet, c’est comme utiliser une deuxième carte de crédit pour rembourser la première..

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                          • #28
                            " En effet, c’est comme utiliser une deuxième carte de crédit pour rembourser la première.."

                            Pire, les intérêts sont encore augmentés et certains pays paient encore les intérêts sur les intérêts de leurs dettes sans que la dette se réduise. Un comble.

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                            • #29
                              Jusqu'a date le Maroc paye ses dettes, on n'a enregistre aucun default de paiement jusqu'a date lool.
                              Faillite? Naaaaaaaaa
                              y a 1 million de solutions avant d'en arriver la !!
                              On va louer a l'algerie l'imprimante d'argent en dernier recours.... s'ils nous font un bon prix lol
                              Le Maroc pourra tenir facilement au moins 10-15 ans avec des emprunts de 5 milliards de dollars par annee. D'ici la, le S.O. devoilera ses secrets et le choc ne sera que grand....chez certains hhhhhh

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                              • #30
                                pourquoi sont-ils tous aussi excités?

                                personne n'a parlé de faillite.
                                Un pays en faillite, ca n'existe que dans les têtes des demeurés, soit dit en passant.
                                ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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