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Submergé : le Maroc devrait demander l’aide de l’ONU dans les prochains jours

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  • #16
    Comme un seul message ne suffit pas pour polluer maintenant il en poste deux plus une vidéo..
    Pas pour polluer, c'est pour répondre à ton compatriote . je sais que l'âne devient un sujet tabou en Algérie .

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    • #17
      La dynamique dans l'annonce des chiffe laisse des doutes planer.
      Echourouk online devait être présente pour plus de crédibilité ?

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      • #18
        galaxy et el-magico
        Oh combien vous adorez la France
        c’est uniquement vous qui amène la poubelle de quelques journaux français
        La haine aveugle

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        • #19
          On ne croit plus au chiffre des victimes avancé par les autorités marocaines qui ne correspond pas au degré des dégât du séisme sans parler de la lenteur des mise a jours.
          6000 villages touchés avec des habitats précaires et seulement 3000 morts?

          il n’y a que les crédules pour y croire
          « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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          • #20
            6000 villages touchés avec des habitats précaires et seulement 3000 morts?

            il n’y a que les crédules pour y croire
            Je pense que la présence de l'Algérie était obligatoire justement pour montrer aux Maroc la manière de travailler et pour avoir les bons chiffres

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            • #21
              C est une blague ???

              donc il leur a fallut 1 semaine pour comprendre qu ils ont besoin d une aide massive ?

              dans 2 semaines ils vont demander à l ONU des secouristes avec des chiens pour sortir les « survivants »?

              et le bilan … mais quel bilan? Celui qui date de 4 jours ?

              soit TOUTES les personnes qui étaient sous les décombres sont sortis saines et sauves , sans égratignures, avec juste de la poussière dans les cheveux , soit ils se foutent de la gueule du monde

              dans toutes les catastrophes tu as les autorités locales qui font un point de presse une fois par jour au minimum

              ces cons vont gagner l Award de la pire gestion de crise de l Histoire

              et tu en as encore sur ce forum qui ouvre leurs bouches

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              • #22
                donc il leur a fallut 1 semaine pour comprendre qu ils ont besoin d une aide massive ?
                c’est un désastre humanitaire doublé d’un crime
                « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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                • #23
                  Le Maroc a reçu une proposition d'aide de 70 pays. Mais seule la presse de 2 pays qui ont écrit 1000 articles pour dire HEGRONA et ensuite critiquer la gestion de la crise par le Maroc

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                  • #24
                    La presse de 2 pays ?

                    soit tu sais pas compter , soit tu ne lis que le Français

                    la presse Americaine (entre autres) a massacré les debiles qui te gouvernent

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                    • #25
                      la presse Americaine (entre autres) a massacré les debiles qui te gouvernent
                      Y'a que la presse de Bellarej le moudjahed qui ne cache pas sa douleur

                      Aucune presse au monde ne montre de vidéos de manifs au Maroc , mais le pays de Bellarej a un autre avis !

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                      • #26

                        En effet, un vrai massacre

                        The west is right to offer Morocco help – but disaster-hit countries are not obliged to accept it
                        Peter Beaumont


                        The international narrative around the aid response to Morocco’s earthquake has been a rather shabby one. Unnamed western officials have sniped over how Rabat was slow to ask for help from outside and from whom, suggesting that this hampered the aid effort.

                        The reality is somewhat different. In three days travelling the Atlas mountains to report for this newspaper, I was able to see the limitations of the aid response, and its achievements, and compare them with previous disasters I have covered. And while it is fair to say there are communities that are seeing assistance arrive too slowly, overall the Moroccan government’s response has been reasonably effective.

                        In the space of about 48 hours Morocco partially reopened one of the main roads into the heart of the earthquake zone, opening up a corridor for aid to reach those worst affected. The country’s military helicopters have been flying nonstop for days, while an enormous self-organised social effort by ordinary Moroccans has mobilised help from people across the country.

                        And where there have been issues, they have largely been dictated by the nature of the catastrophe itself, which affected a widely dispersed population in hundreds of villages spread over extremely difficult mountain terrain, meaning that the relief effort has necessarily been limited by the airlift capacity available and the logistics able to support it.

                        None of which means that Rabat should be immune from criticism, not least over longstanding economic disparities in regional funding, which contributed to the disaster. But there is no escaping the fact that some of the criticisms levelled at Morocco carry a whiff of white saviour complex, this pervasive notion that western countries are uniquely equipped to help in such circumstances of disaster and need.

                        The reality is that one of the first principles of humanitarian assistance is the idea of sovereignty in decision-making, as the French president, Emmanuel Macron, was belatedly forced to concede. Morocco, a country with problems like any other, is a functioning state, not a fragile nor a failed nor failing one like Libya, which was hit by its own dreadful disaster this week.

                        While it is appropriate that foreign states should offer help, it is also a privilege not a right to be invited to assist, with Moroccans in the best position to determine what is required.

                        There is a second principle too. On balance, those offering and sending assistance should be sure that their efforts are contributing to the relief effort, not acting as drain on valuable resources.

                        Even after just three days in Morocco it appeared to me that some foreign search teams had no job to do when confronted by the specifics of a disaster that saw buildings not collapse into piles of searchable rubble, but to disintegrate entirely.

                        There is a wider issue here, however, in the attitude that somehow the west is uniquely qualified to assist in these kinds of emergencies when there are numerous examples of the opposite being the case.

                        Having covered the aftermath of Hurricane Katrina in the US, I can say that the notion that certain countries – because of their wealth or politics or technological advantages – are innately better equipped at emergency response seems ridiculous and arrogant, given the widely criticised response by Washington to that disaster.

                        As aid routes have quickly opened up, the pressing question is how to help Morocco in the long term rebuild devastated communities who have lost everything: homes, families, livestock and livelihoods threatening the social cohesion of these unique mountain villages.

                        That will require a serious commitment from Morocco’s international partners. It will be unglamorous work. And it has a less simplistic narrative, so will happen largely unseen by the television crews currently in the Atlas mountains.

                        https://www.theguardian.com/global-d...e_iOSApp_Other



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                        • #27
                          Au besoin il y a les témoignages de responsables d'organisme (OMS, croix rouge, MSF....)
                          après libre à chacun de préférer bfm

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                          • #28
                            Un autre massacre

                            La situation sanitaire dans les zones touchées par le tremblement de terre d'Al Haouz est "sous contrôle", selon Richard Brennan, directeur du Programme des situations d'urgence au Bureau régional de l'Organisation mondiale de la Santé.

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                            • #29
                              après libre à chacun de préférer bfm
                              une sorte d'identité quoi , pour certains !

                              Commentaire


                              • #30
                                Celui la, c'est une boucherie

                                Alors que le Maroc a décliné l’aide humanitaire de la France après le tremblement de terre du 8 septembre, le médecin Jean-François Corty explique, dans une tribune au « Monde », que les Occidentaux devraient en finir avec le « paternalisme humanitaire ».


                                TRIBUNE
                                Jean-François Corty
                                Médecin



                                Article réservé aux abonnés

                                Le violent séisme qui a frappé, le 8 septembre, les régions montagneuses du Sud marocain, faisant près de 3 000 morts et des milliers de blessés et provoquant la destruction de villages entiers, n’a pas échappé aux controverses sur l’aide d’urgence et sa géopolitique. En effet, cette crise sanitaire, qui fragilise les autorités marocaines sur l’échiquier politique interne, a pris une dimension nouvelle lorsque celles-ci n’ont pas répondu favorablement à la proposition d’assistance de plusieurs pays, dont celle de la France.

                                Faut-il y voir, comme certains le suggèrent, les symptômes du mépris de son ancien protectorat qui lui doit tant ? Alors que de telles catastrophes permettent de transcender des tensions diplomatiques les plus exacerbées, comme en témoigne l’intervention américaine lors du tremblement de terre en 2003 à Bam, en Iran, il n’en serait pas de même dans le cas d’une amitié franco-marocaine historique au point mort dont nous serions les victimes. En réalité, cette susceptibilité témoigne moins d’une réalité diplomatique que de la difficulté à nous départir d’une vision néocoloniale de l’aide et de considérer le Maroc, au même titre que l’ensemble des pays du Sud global, capable de gérer une crise sanitaire d’ampleur sur son territoire sans que l’Occident ait son mot à dire.

                                Dès les premières heures du drame, la cinquième puissance économique d’Afrique a pu évaluer les besoins en équipes de sauveteurs en tenant compte de l’étendue du territoire concerné, sa faible densité populationnelle et le type d’habitats précaires de ces zones rurales. L’armée et la sécurité civile marocaine ont été envoyées sur le terrain pour déblayer les routes, distribuer des vivres, de l’eau et des couvertures par hélitreuillage lorsque cela était nécessaire dans les villages les plus reculés de cette région du Haut Atlas.

                                Les blessés et les survivants sortis des décombres nécessitant des soins de traumatologie, de dialyse, entre autres, ont été orientés vers des postes médicaux avancés, des hôpitaux de campagne installés en urgence, puis transférés pour certains vers ceux de Marrakech, qui n’ont jamais été engorgés au point de devoir négliger des patients. La prise en charge médicale a été proportionnée et efficace dans un pays où les soignants bénéficient d’une formation de qualité et où l’on vient de toute l’Afrique pour se spécialiser.


                                Choix des partenaires
                                De fait, ce sont les acteurs locaux, voisins, familles, soutenus par les institutions nationales, qui ont le plus d’impact sur les mortalités dans ces phases d’urgence ultime, rompant ainsi avec les figures héroïques fantasmatiques d’une aide extérieure exclusive et salvatrice.

                                Même si la catastrophe est réelle, nous sommes loin des séismes tels que ceux du début de l’année en Turquie et en Syrie, avec plus de 50 000 morts, et en Haïti en 2010, avec plus de 280 000 victimes. Dans ces conditions, les autorités marocaines n’ont pas lancé d’appel à l’aide internationale, dont l’afflux massif, spontané et souvent anarchique, peut aggraver une situation déjà complexe. En Etat souverain, le Maroc a donc fait le choix de ses partenaires de secours nécessaires dans ce contexte de crise, en premier lieu l’Espagne, la Grande-Bretagne, le Qatar et les Emirats arabes unis, sans altérer les chances de sauvetage pour ses citoyens. Dans le même temps, des ONG internationales, y compris françaises, ont pu engager des missions exploratoires dans les zones sinistrées.

                                Cela dit, les inégalités restent fortes dans ce pays, que l’indice de développement humain situe à la 123e place mondiale. L’enjeu principal consiste à inscrire l’assistance humanitaire dans la durée pour des populations rurales précaires aux ressources limitées, qui ont pour la plupart tout perdu et qui, pourtant, sortiront du paysage médiatique, et probablement politique, d’ici quelques jours. Plusieurs mois après le séisme de février, des milliers de civils restent sans logement pérenne en Turquie et en Syrie.

                                Pour répondre à ces défis humanitaires colossaux, les organisations humanitaires internationales ainsi que les aides interétatiques peuvent s’appuyer sur des associations marocaines aux missions sociales multiples. Elles sont l’émanation d’une société civile forte, de ressources humaines compétentes, soucieuses du renforcement de leur capacité d’agir, avec laquelle il est possible d’établir des partenariats opérationnels fondés sur des principes, des valeurs et des causes communes. Ces acteurs sauront décider par eux-mêmes, en connaissance de cause, ce qui est bon ou pas pour leur avenir.

                                Jean-François Corty est médecin, chercheur associé à l’Institut de relations internationales et stratégiques et vice-président de l’association Médecins du monde

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