Le systele educatif algérien gouvernés pae ces types a crée une élite politique culturelle religieuse et économique completement a côté de la plaque sur tous les sujets...
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Insulter et injurier tous les Émirats pour une interview : comment l’Algérie est tombée si bas
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"...Le systele educatif algérien gouvernés pae ces types a crée une élite politique culturelle religieuse et économique completement a côté de la plaque sur tous les sujets... "
50% des Marocains sont analphabètes ... reviens un autre jour avec tes amis sionistes émiratis
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Hand
Le systele educatif algérien gouvernés pae ces types a crée une élite politique culturelle religieuse et économique completement a côté de la plaque sur tous les sujets... Et leurs médias comme leurs réseaux sociaux devrais faire l'objet d'étude pour une analyse pour les futures généeations car sa laissera des traces indélebile même si une nouvelle génération soucieuse reellement de l'avenir de l'algérie et de son peuple prend le pouvoir elle sera confronter a la politique catastrophique mener aujourd'hui"L' Algérie c'est le seul pays, où quand les gens me tendaient la main c'était pour m'offir quelque chose alors que dans les autres pays c'était pour m' en demander " Yann Arthus Bertrand
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Un grand bravo aux Émirats arabes unis.
Face à l’impulsivité du régime algérien, ils opposent une retenue exemplaire et une indifférence totale.
Il semble que les Émirats adoptent la même stratégie que le Maroc : ignorer la haine et les provocations répétées de ce régime.
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Un grand bravo aux Émirats arabes unis.
Face à l’impulsivité du régime algérien, ils opposent une retenue exemplaire et une indifférence totale.
Il semble que les Émirats adoptent la même stratégie que le Maroc : ignorer la haine et les provocations répétées de ce régime.
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Il semble que les Émirats adoptent la même stratégie que le Maroc : ignorer la haine et les provocations répétées de ce régime.La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.
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Après avoir ciblé la France, le Maroc et le Sahel, l'Algérie vise les Émirats arabes unis
Nouvelle cible, mêmes méthodes : les Émirats deviennent l’ennemi du moment d’un pouvoir algérien qui hystérise l’extérieur pour mieux oublier ses propres impasses.
Par Bertrand Lassalle
Les Émirats arabes unis sont maintenant l'ennemi de la semaine en Algérie.
En effet, l'ennemi national de ce pays change chaque quinzaine environ. Sans préavis, le 2 mai dernier, la télévision officielle algérienne diffuse un communiqué incendiaire. Dans une longue diatribe, on qualifie les Émirats arabes unis de micro-États, de ramassis de bâtards, de « gens sans sens de l'honneur », de « nains » au service d'assassins d'enfants et de femmes (allusion à Israël).La newsletter débats et opinions
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On montre aussi des images de la principauté d'il y a plus d'un demi-siècle, un bout de désert meublé de huttes. Et, pour bien signifier le message, c'est le comparatif sur le mode « profondeur historique » qui a la priorité. L'émirat apparaît comme une oasis de sable, tandis que l'Algérie met en évidence son héritage romain et les vestiges de ses anciens royaumes. La violence de la charge médiatique officielle, donc autorisée au plus haut niveau, n'est pas une pratique inédite.
La méthode est d'ailleurs réservée traditionnellement à la France, « ennemi éternel », au Maroc, aux « juifs » ou Israéliens, indifféremment. À cette hystérie médiatique ont eu droit d'autres voisins. Parmi ceux-là figurent la Libye du général Haftar, les pays du Sahel, les clandestins africains et les Espagnols à l'époque de leur reconnaissance de la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental (suspension des vols aériens et des échanges commerciaux pendant deux ans).
Propagandes violentes et usines à trolls
C'est désormais la méthode de la diplomatie algérienne, qui était autrefois prestigieuse et à l'origine de médiations internationales attestées par l'histoire du siècle dernier. Pensons à la crise des otages américains en Iran en 1979 ou aux interventions régionales et continentales remarquées pour leur succès. Le monde et le mode ont changé : aujourd'hui, la machine algérienne recourt aux propagandes violentes, aux usines à trolls et aux communiqués démesurés sur des conflits qui souvent procèdent si peu de faits « réels ».
Le moindre fait divers peut servir de prétexte à des rappels d'ambassadeurs et à des crises médiatiques surprenantes. Cela inclut un sommet de la Ligue arabe où l'Algérie est ignorée, l'évasion d'une militante algérienne par la frontière tunisienne en 2023, imputée à un complot de la DGSE française, le dernier prix Goncourt, une interview accordée par un écrivain comme Boualem Sansal, une vidéo TikTok, une chanson de raï. Quels sont les chefs d'accusation contre les EAU, qualifiés de « mini-État artificiel » par la télévision algérienne ?
Attaques à « l'unité et à l'identité du peuple algérien », avoir entrepris de « semer le doute sur ses origines et sa riche histoire ». Une « tentative désespérée de la part d'entités hybrides dépourvues d'origine et de souveraineté » contre l'Algérie « un pays glorieux » et dont la « stabilité et le progrès » dérangeraient les Émirats. Alger promet aussi la riposte et la vengeance. De leur côté, les EAU se sont contentés d'un poème sur la vertu du silence, diffusé sur le compte de leur ancien chef de diplomatie.
Sur la chaîne TV ALG24, créée par Alger depuis peu pour servir de relais informel aux violences éditoriales, les EAU sont accusés de servir de prête-nom à Israël, d'affaiblir « le front arabe » et de bien d'autres maux. Les « invités » se bousculent pour des analyses enflammées. De loin, l'on s'étonne d'une telle virulence. Ce mode est habituel avec la France, Israël, le Maroc, à dessein de renflouer les caisses vides de la légitimité intérieure et d'instituer l'union sacrée paralysante de toute opposition.
Cependant, les Émirats arabes unis sont trop éloignés sur le plan géographique et historique de l'Algérie. L'affaire en question apparaît si dérisoire qu'on se voit contraint d'en chercher une cause ailleurs, par souci de rationalité. Pour les faits, c'est simple, ils se trouvent sur la chaîne TV Sky News Arabia, pointe un « chercheur » universitaire algérien, Tayeb Belgheith. Il répond à une question d'une journaliste (algérienne, souligne-t-on) en affirmant que l'amazighité algérienne constitue un complot franco-sioniste et une fabrication.Hystérisation des opinions
« C'est un projet idéologique franco-sioniste par excellence. Il n'existe pas une chose qui s'appelle amazighité, il y a ce qu'on appelle “berbère” ou “berbérité” », clame-t-il. Sur d'autres plateaux, ses déclarations sulfureuses sont légion, en conformité avec la doxa identitaire algérienne. Les Algériens de France ? « Ce sont des Français. » La France ? « Elle restera pour l'éternité l'ennemi du passé, du présent et de l'avenir. » « Seriez-vous heureux si l'Algérie et la France se réconciliaient ? » l'interroge la journaliste. « Jamais ! » conclut-il.
Dans le paysage algérien, l'universitaire incarne cette tendance dominante, et depuis longtemps aux commandes idéologiques de l'Algérie islamo-conservatrice, arabophile avec des versions quasi fascistes. Elle a construit son hégémonie sur le champ éditorial et religieux, sur les médias et les universités du pays. Ce courant, qui a su « souder » les mouvances conservatrices du pays, offre un socle au régime depuis des décennies.
Ragaillardi par l'arabisation cahoteuse, la défrancisation des enseignements universitaires, relancés depuis peu, et les crises franco-algériennes hystérisées au point de menacer de reprendre l'immobilier de l'ambassade de France à Alger, ce courant n'en est pas à ses premières frasques anti-Amazigh ou anti-francophones en Algérie. Les propos de cet universitaire ne sont pas plus éclatants que d'habitude, mais ils ont été prononcés dans un contexte algérien tendu, marqué par la paranoïa et les théories du complot international.
En affirmant que l'amazighité est une conspiration, il a involontairement donné un élan aux combats menés par les Amazighs pour la reconnaissance effective de leur identité algérienne. Cette bataille a coûté la vie à des centaines de personnes (printemps noirs) depuis l'indépendance. Cependant, cela ne justifie en rien la violence contre les Émirats. Sa raison pourrait se trouver dans l'hystérisation et la militarisation des opinions qui règnent en Algérie depuis le second mandat de Tebboune.Graves crises de légitimité intérieure
Entre crise nourrie avec la France, tentatives d'exploitations des communautarismes algériens en France, barbouzeries éventées contre des influenceurs algériens à Paris, manœuvres militaires de grandes ampleurs dans le sud-est du Sahara sous le nez de Haftar, le général libyen que l'on dit parrainé par les Émirats justement, tensions avec le Sahel ou le Maroc ainsi que populisme propalestinien d'usage, l'Algérie offre un tableau clinique très inquiétant dans la région.
Sous la pression, Tayeb Belgheit sera placé sous mandat de dépôt. Les partisans des mouvances islamiques conservatrices dénoncent une décision qu'ils jugent injustifiée. D'autres entités, telles que le Haut Commissariat à l'amazighité (HCA), une institution rattachée à la présidence, ou l'Amenokal des Touaregs, ont demandé au régime d'intervenir.
Le Kangourou du jour
Les plus radicaux exigent une réponse « à la Sansal », l'auteur accusé d'avoir porté atteinte à l'unité nationale. Dans la même semaine, la chaîne de télévision islamiste Echourouk a été suspendue de diffusion pendant dix jours pour des propos racistes à l'encontre des migrants africains subsahariens. Ceux-ci font l'objet de violentes attaques d'images, en effet, consécutives à la crise algérienne avec les pays du Sahel.
Avec une diplomatie bagarreuse, des manœuvres militaires démultipliées depuis ces derniers mois, des décaissements militaires énormes (selon le site du Stockholm International Peace Research Institute, « les dépenses militaires de l'Algérie ont augmenté de 76 % pour atteindre 18,3 milliards de dollars », soit le niveau de dépenses le plus élevé jamais enregistré), l'Algérie focalise sur elle de nombreuses inquiétudes. Elle démontre surtout qu'elle souffre de graves crises de légitimité intérieure que l'on tente de pallier par l'usage imprudent de conflits artificiels avec son environnement.
lepoint.fr
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Après avoir ciblé la France, le Maroc et le Sahel, l'Algérie vise les Émirats arabes unis
Les Émirats arabes unis sont maintenant l'ennemi de la semaine en Algérie.
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