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Une journaliste algérienne bouscule les certitudes du Maroc

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  • Une journaliste algérienne bouscule les certitudes du Maroc

    La question posée par une journaliste algérienne au ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, n’était pas un simple exercice professionnel, mais l’expression légitime d’un droit fondamental, celui de poser les questions que l’on juge pertinentes, sans restriction ni intimidation.

    En interrogeant le chef de la diplomatie russe sur la présence du corps africain dans certains pays du Sahel et sur les accusations d’exactions portées contre des civils, la journaliste n’a fait qu’exercer, avec compétence, le rôle que tout journaliste digne de ce nom assume, c’est-à-dire chercher la vérité, sans complaisance.

    Ce droit élémentaire semble pourtant déranger au-delà des frontières. À peine la question formulée, une partie de la presse marocaine, inféodée au Makhzen, s’est livrée à une attaque virulente contre la journaliste algérienne, usant d’un langage injurieux. Une réaction disproportionnée qui soulève une interrogation simple : en quoi une question professionnelle, posée avec respect et pertinence, peut-elle déranger à ce point ?

    Ce déchaînement médiatique en dit long sur l’insécurité et la dépendance d’un système de communication marocain qui ne tolère ni l’indépendance de ton, ni la liberté de questionner.

    La réaction du Makhzen et de ses relais médiatiques ne traduit pas une défense de principe, mais une crainte viscérale de la liberté. Ce qu’ils redoutent réellement, ce n’est pas la journaliste algérienne elle-même, mais ce qu’elle incarne : une presse formée, consciente de sa responsabilité, et libre de poser toutes les questions, à tous les interlocuteurs, sans tutelle.

    L’Algérie n’a pas besoin d’autorisation pour dire ou demander ce qu’elle estime juste. Et ses journalistes n’ont pas à se justifier d’exercer un métier qu’ils honorent par leur rigueur et leur courage. Poser une question n’est pas un crime : c’est un acte de liberté. Et c’est précisément cette liberté que redoutent ceux qui ont choisi la soumission à la place du professionnalisme.


    expressdz

  • #2
    À peine la question formulée, une partie de la presse marocaine, inféodée au Makhzen, s’est livrée à une attaque virulente contre la journaliste algérienne

    C'est ce qui se passe ici à FA avec les ayachis. Dès qu'un article est publié nous assistons à une ruée de ayachis ...

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    • #3
      L'art de détourner une humiliation en victoire.

      Tu peux nous donner la réponse de lavrov?

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      • #4
        Dès qu'un article est publié nous assistons à une ruée de ayachis ...


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        • #5
          Tu n'arrives pas à répondre ?

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          • #6

            !!!!!!!!!!

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            • #7
              Le makhzen?
              en quoi le Maroc est encore accuser ici

              Par contre tu devrais nous dire ce que le ministre russe a répondu cest très intéressant...

              Chiche?
              Droite des Valeurs
              Gauche du Travail
              Centre "Intérêt de Mon Pays"

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              • #8

                ...........

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                • #9
                  Ce n’est important ce que dit Lavrov
                  il se humilie lui même en mettant ce sujet sur un angle de connerie: la question est plus importante que la réponse d’un pays membre du conseil de sécurité

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                  • #10
                    Tu n'arrives pas à répondre ?
                    C'est fait , vas jeter un coup d'oeil .


                    Par contre tu devrais nous dire ce que le ministre russe a répondu cest très intéressant...

                    Chiche?​
                    Belote et rebelote !

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                    • #11
                      Le ministre russe des AE n'est pas une référence ! Loin s'en faut.
                      « Même si vous mettiez le soleil dans ma main droite et la lune dans ma main gauche je n'abandonnerais jamais ma mission". Prophète Mohammed (sws). Algérie unie et indivisible.

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                      • #12
                        Lavrov devrait revoir ses fiches, au Mali le problème ne réside pas dans le tracé de la frontière mais d'un conflit armé entre le régime et sa population du nord, notamment touareg et arabe.
                        ثروة الشعب في سكانه ’المحبين للعمل’المتقنين له و المبدعين فيه. ابن خلدون

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                        • #13
                          la question de la journaliste était pertinente car effectivement, l'armée malienne aidée des milices wagner ont commis des massacres sur les populations civiles de l'azawad -nord mali.
                          la réponse de lavrov bien qu'il botte en touche concernant wagner était également pertinente dans le sens ou en afrique ,le tracé des frontiéres par les puissances coloniale a fait en sorte que des populations différentes du point de vue ethniques et culturels , jadis antagonistes ,se sont retrouvées coincées ensemble dans un même etat sans que le sentiment national n'ai eu le temps de murir et c'est le cas du mali et de beaucoups de pays africains .
                          ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
                          On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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