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Qui sont les salafistes?

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  • #16
    elabbessi

    De plus j'ai jamais entendu de ce terme Salafia 3ilmia. Merci pour la nouveaute.
    De rien.

    maintenant tu le sais. Il fallait juste demander.
    البعره تدل على البعير

    Quand l’injustice devient la loi, la Résistance est un Devoir !✊🏼DZ

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    • #17
      je le sais maintenant en francais. Meme ici au Canada et aux etats, j'ai jamais su le terme en anglais. En arabe, sa n'existe pas, dans ce sens que je t'ai remercie pour la nouveaute.

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      • #18
        Non je ne fais pas erreur.
        C'est bien ce que j'ai dis, c'est toi qui fait erreure, tu invente un verset et tu l'impute au coran. Dès l'instant ou un verset est tronqué, ou qu'il manque un mot, ou meme une lettre, ou sorti de son contexte, on ne peut l'imputer à Dieu, mais à celui qui l'a trafiqué, inconsciement ou déliberement.
        La réponse que je t'est faite suite à la question posée, était basé sur le verset en entier, le verset du coran, pas le tien (celui que tu invente).
        Il va de soit que je réitère ma réponse.
        .

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        • #19
          Envoyé par lala-moulati Voir le message
          Salafia al 3ilmia ceux qui s'occupe du preche ( tabligh) comme certains ici sur FA
          Tu parles de moi là?

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          • #20
            Envoyé par Aggour Voir le message
            ils n'ont aucune tolérance, aucun respect pour l'intelligence et la recheche, il dénient le droit du doute aux humains alors que le doute est un sentiment humain et le point de départ de toute recherche.
            Soubhanallah! T'as l'air si sûr de la valeur intrinsèquement bonne du doute. J'attendais toujours ta réponse sur l'autre topic mais apparemment tu "ne respectes pas l'intelligence et la recherche".

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            • #21
              Soubhanallah! T'as l'air si sûr de la valeur intrinsèquement bonne du doute. J'attendais toujours ta réponse sur l'autre topic mais apparemment tu "ne respectes pas l'intelligence et la recherche". __________________
              Oui monsieur je suis sûr de la valeur du doute, celle qui différencie l'homme de l'animal, celle qui différencie celui qui veut savoir et celui qui se fait vider le cerveau et devient un automate bien programmée.

              Qui a fait que les premiers mécréants de la jahiliya embrassent l'islam et délaissent leur adoration de plusieurs dieux faits en argile si c'était pas le doute que ces mécréant finissaient par avoir du fait des prèches des compagnons du prophète. Le doute protège du dogme qui nous enferme dans des certitudes qui ne devraient pas etre des aptitudes des ètres humains.
              On a beau savoir , on ne sait pas tout et dieu lui même nous dit que nous n'avons du savoir que peu, comment des ètres humains proclament qu'ils ont le savoir pur, le savoir infaillible et aprés lui aucun savoir.
              A l'échelle individuel si l'homme ne doute pas de ses action il devient un "Taghi" qui règne en étant sûr d'etre dans le vrai.

              Les salafiste á trop vouloir etre purs se prennent pour la pureté personnifiée,alors que seul dieu est pur et qui détient le savoir infini.

              Quant á ta question de l'autre topic, je ne sais pas de quoi tu parles, rapelle moi je te réponderais.

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              • #22
                @ Aggour

                Wellah je ne sais pas par où commencer... Tu publies une définition de la salafiya assez élogieuse, après tu la critiques avec passion et en utilisant des principes génériques... Soyons un peu plus méthodique, veux-tu?

                Je t'ai posé des questions simples : douter de TOUT est-il une fin en soi? Peut-on être croyant et douter de l'existence de dieu?

                Laissons la question du doute à coté un moment si tu préfères, acceptes-tu alors de débattre sur la salafiya en référençant et justifiant chacune de nos affirmations?

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                • #23
                  Wellah je ne sais pas par où commencer... Tu publies une définition de la salafiya assez élogieuse, après tu la critiques avec passion et en utilisant des principes génériques... Soyons un peu plus méthodique, veux-tu?

                  Je t'ai posé des questions simples : douter de TOUT est-il une fin en soi? Peut-on être croyant et douter de l'existence de dieu?

                  Laissons la question du doute à coté un moment si tu préfères, acceptes-tu alors de débattre sur la salafiya en référençant et justifiant chacune de nos affirmations?
                  Heureusement que la définition te plaise et que tu te reconnaisse puisque tu la trouve élogieuse mois je la trouve objective et asseez précise de ceux qui pronent cette doctrine. Douter n'est pas une fin en soi, je te l'ai dit, douter est le début du savoir et si tu ne doute pas de ton savoir c'est comme si tu fais tien des attributs divins.

                  Déja le mot affirmation est la preuve de la vérité absolue, tu aurais pu dire, "nos interprétations" car c'est de ca qu'il s'agit, de l'interprétation de livre saint et du Hadith. Je ne suis pas un théologien mais je serais curieux de connaitre ton point de vue, Fidna.

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                  • #24
                    Envoyé par Aggour Voir le message
                    Heureusement que la définition te plaise et que tu te reconnaisse puisque tu la trouve élogieuse mois je la trouve objective et asseez précise de ceux qui pronent cette doctrine.

                    Je suis crypto-salafiste, c'est pas pareil!

                    Sinon, la logique de cette formule m'échappe complétement... Bref.


                    Envoyé par Aggour Voir le message
                    Douter n'est pas une fin en soi, je te l'ai dit, douter est le début du savoir et si tu ne doute pas de ton savoir c'est comme si tu fais tien des attributs divins.

                    Ca c'est une affirmation (générique en plus et qui n'a rien pour la justifier).

                    Wahda wahda stp, délimitons le problème : Tu dis que les salafistes dénient le droit au doute. Pourrais-tu être plus explicite? Ceci veut-il dire que les salafistes ont une charte où c'est écrit "les Hommes ne doivent douter de rien"?


                    Envoyé par Aggour Voir le message
                    Déja le mot affirmation est la preuve de la vérité absolue, tu aurais pu dire, "nos interprétations" car c'est de ca qu'il s'agit, de l'interprétation de livre saint et du Hadith.

                    C'est bien beau! T'as un exemple de tes affirmations ci-dessus.

                    Envoyé par Aggour Voir le message
                    Je ne suis pas un théologien mais je serais curieux de connaitre ton point de vue, Fidna.
                    Je ne suis pas théologien non plus. Je relevais juste que tu pêchais à trop vouloir parler avec tes passions et des principes généraux ce qui rend toute discussion impossible. Si tu prenais la peine d'étayer tes griefs (pourquoi trouves-tu qu'ils sont comme ci ou comme ça? D'où tiens-tu ça? etc.), une discussion pourrait s'établir où on pourrait apprendre des choses. Dans le cas contraire, on sera condamné à tourner en rond.

                    Un autre point important à préciser : quel est le but recherché par cette discussion? (Tu nous parachutes une définition et perso, je ne sais pas où est-ce tu veux en venir).

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                    • #25
                      Ca veut dire tout simplement que les gens ont le droit de douter de vos interprétations du coran et du Hadith et ils ont droit en leur conscience de choisir une autre voie que la votre et que vous n'avez aucun droit de les considérer comme des égarés ou de kouffars.

                      Si j'ai dit des choses que tu juges fausse prouve moi le contraire.

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                      • #26
                        Envoyé par Aggour Voir le message
                        Ca veut dire tout simplement que les gens ont le droit de douter de vos interprétations du coran et du Hadith et ils ont droit en leur conscience de choisir une autre voie que la votre et que vous n'avez aucun droit de les considérer comme des égarés ou de kouffars.

                        Pour la n-ième fois, sache qu'être plus explicite ne te fera pas de mal.

                        Oui, les gens peuvent douter, une intervention humaine extérieur ne peut pas empêcher ceci. Seulement, chaque chose a ses conséquences : douter de l'existence de dieu par exemple est par définition de la mécréance. On n'est plus musulman non plus si on est syncrétique, etc. Si tu penses que je me trompe, je peux t'apporter mes preuves. Si ça ne te suffit pas, tu m'expliqueras où je me trompe en me montrant tes preuves, et ainsi de suite.

                        Maintenant si tu préfères tourner en rond et me laisser dans mon "égarement", dis-le moi clairement.


                        Envoyé par Aggour Voir le message
                        Si j'ai dit des choses que tu juges fausse prouve moi le contraire.
                        N'inversons pas les rôles, mais voyons

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                        • #27
                          L’Islam a établi un certain nombre de droits fondamentaux, valables pour l’humanité toute entière et qui doivent être observés et respectés en toutes circonstances. Dans ce but, l’Islam fournit, non seulement des garanties juridiques, mais aussi tout un système moral très efficace. Ainsi, pour l’Islam tout ce qui conduit au bien-être de l’individu ou de la société est moralement bon, et tout ce qui lui est nuisible est moralement mauvais. L’Islam attache tant d’importance à l’amour de Dieu et à l’amour de l’homme qu’il met en garde contre trop de formalisme.
                          Nous lisons dans le Coran :”La piété ne consiste pas à tourner vos faces vers l’Orient ou vers l’Occident. Mais la piété, c’est de croire en Dieu, au Jour Dernier, aux Anges, à l’Écriture et aux prophètes. C’est d’apporter – pour l’amour de Dieu – un témoignage de générosité à ses proches, à l’orphelin, au pauvre, à l’étranger de passage, à ceux qui implorent un secours, et pour le rachat des captifs. C’est la vertu de ceux qui observent la Prière et l’Aumône, respectent les engagements conclus, et sont patients dans l’adversité et au moment du danger : voilà les Croyants véridiques et voilà ceux qui craignent Dieu !” (Sourate 2, verset 177)
                          Nous avons là une belle description du croyant vertueux et qui, craignant Dieu, obéit aux préceptes salutaires mais sans cesser de fixer son regard sur l’amour de Dieu et de son prochain.
                          L’acceptation du devoir est personnelle et rationnelle, car le croyant cède plus à un attrait qu’à une pression. C’est la volonté divine, en tant qu’expression de la vérité absolue et de la justice parfaite qui s’impose, et non un commandement abstrait émanant d’une autorité morale suprême mais mal définie.
                          Donc, la distinction entre “l’obligation juridique” et “le devoir éthique” n’existe pas en Islam : les deux sont intimement liés, se potentialisant pour affirmer la force du système.
                          Nous avons reçu quatre préceptes :
                          1. Notre foi doit être vraie et sincère.
                          2. Nous devons être préparés à le montrer par des actes de charité envers notre prochain, et non par un “habit” de piété.
                          3. Nous devons être de bons citoyens et apporter notre soutien aux organisations sociales.
                          4. Notre âme doit être ferme et inébranlable en toutes circonstances.
                          Car découlant de ce monothéisme eschatologique, Dieu Seul est le pilier du système moral de l’Islam : vers Lui se fera l’ultime retour, et Lui Seul nous rétribuera.
                          C’est là le critère selon lequel tout comportement individuel est jugé comme bon ou mauvais. Ce critère est en quelque sorte le noyau autour duquel viennent s’articuler tous les éléments qui constituent la conduite morale de chacun.
                          Avant d’établir des préceptes moraux, l’Islam cherche à implanter fermement dans le cœur de l’homme, la conviction qu’il est en constant rapport avec Dieu, Qui le voit à tout moment et en tout lieu. Il peut se cacher du monde entier, mais pas de Dieu. Il peut tromper n’importe qui, mais pas Dieu Il peut fuir l’emprise de n’importe qui, mais pas celle de Dieu.
                          Ainsi, en faisant de “ce qui plaît à Dieu” l’objectif premier de toute vie humaine, l’Islam a posé le critère de moralité le plus élevé qui soit, ouvrant ainsi à l’évolution morale de l’humanité des perspectives illimitées.
                          Voyant dans la révélation divine la source première de toute connaissance, l’Islam donne permanence et stabilité aux principes moraux qui, bien que laissant une marge raisonnable pour certaines adaptations et innovations, excluent les perversions, les déviations, les mœurs dissolues, le relativisme atomiste ou le relâchement de la vie morale. Il fournit une sanction à la moralité par l’amour et la crainte de Dieu qui incitent l’homme à obéir à la loi morale sans aucune pression extérieure.
                          À travers la croyance en Dieu et au Jour du Jugement, l’Islam fournit une force qui permet à chacun d’adopter une conduite morale et sincère de tout son cœur et de toute son âme.
                          Il ne cherche pas à inventer, à travers quelque fausse originalité ou innovation, des vertus morales nouvelles, ni à minimiser l’importance des normes morales bien connues.
                          Il ne confère pas non plus, une importance exagérée à certaines normes tout en négligeant certaines autres sans raison. Il reprend toutes les vertus morales communément connues et, avec un sens remarquable de l’équilibre et des proportions, il assigne à chacune d’elles une place et une fonction convenables dans le schéma global de la vie.
                          Il élargit l’horizon de la vie humaine individuelle et collective, son existence domestique, sa conduite civique, ses activités dans les domaines politique, économique, législatif, éducatif et social. Il couvre la totalité de son existence (de la maison à la vie en société, de la table au champ de bataille et aux conférences sur la paix), depuis le berceau jusqu’au tombeau. En bref, aucune sphère de sa vie, n’échappe à l’application universelle et infiniment vaste des principes moraux de l’Islam.
                          Ainsi, grâce à cette suprématie de la moralité, toutes les choses de la vie, au lieu d’être dominées par des désirs égoïstes et mesquins, sont réglées par des normes morales.
                          L’Islam se fonde, par essence, sur la Justice, et non seulement sur l’Amour, car ce dernier est subjectif et la Justice normative. Cette Justice confère à l’Homme des droits, mais encore plus, des devoirs. En effet si le droit peut induire l’inertie, le devoir lui, positivement, exige. La Déclaration des droits de l’Homme nous dit que chacun a droit au travail, droit au respect, droit à la culture ; l’Islam nous dit aussi cela, mais en plus l’Islam nous dit que chacun a le devoir de rechercher du travail, le devoir de respecter autrui, le devoir de chercher le Savoir. Simple addition, grande différence.

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                          • #28
                            suite

                            L’Islam érige un système de vie fondé sur tout ce qui est bon, en rejetant tout ce qui est mauvais. Il exhorte les individus non seulement à pratiquer la vertu mais aussi à la faire triompher, à éliminer le vice, à tendre et exhorter vers le Bien et à empêcher le Mal. Il veut la suprématie du verdict de la conscience et ordonne que la vertu, ne soit pas soumise au mal.
                            Ceux qui répondent à cet appel, sont groupés dans une communauté et portent le nom de Musulmans. Le but qui préside à la formation de cette communauté (Oummah) est un effort organisé en vue d’établir et de cultiver le Bien, de supprimer et éliminer le Mal.
                            On trouvera ici quelques renseignements moraux fondamentaux, se rapportant à différents aspects de la vie d’un Musulman. Ils couvrent aussi bien une large gamme de la conduite morale personnelle du Musulman que ses responsabilités sociales.
                            Conscience de Dieu
                            Le Coran stipule que cette conscience est la plus haute qualité que puisse posséder un Musulman :
                            “Le plus noble d’entre vous, auprès d’Allah, est le plus pieux” (Sourate 49, verset 13)
                            L’humilité, la modestie, le contrôle des passions et des désirs, la vérité, l’intégrité et la patience, la persévérance et le maintien des promesses sont des valeurs morales, soulignées sans cesse dans le Coran :
                            “…et Allah aime les endurants” (Sourate 3, verset 146)
                            “Et concourez au pardon de votre Seigneur, et à un Jardin (paradis) large comme les cieux et la terre, préparé pour les pieux, qui dépensent (pour plaire à Dieu) dans l’aisance comme dans l’adversité, qui dominent leur colère et pardonnent à autrui – car Allah aime les bienfaisants -” (Sourate 3, versets 133-134)
                            “…accomplis la Salat (prière), commande le convenable, interdis le blâmable et endure ce qui t’arrive avec patience. Telle est la résolution à prendre en toute entreprise. Et ne détourne pas ton visage des hommes, et ne foule pas la terre avec arrogance : car Allah n’aime pas le présomptueux plein de gloriole. Sois modeste dans ta démarche, et baisse ta voix, car la plus détestée des voix, c’est bien la voix des ânes” (Sourate 31, versets 17-19)
                            D’une façon qui résume le comportement moral d’un Musulman, le Prophète (que la Paix et la Bénédiction soient avec lui) a dit : “Le Seigneur m’a donné sept commandements pour rester conscient de Dieu, que ce soit en privé ou en public :
                            1. de parler avec justesse, que je sois en colère ou joyeux,
                            2.être modéré aussi bien pauvre que riche,
                            3. de renouer l’amitié avec ceux qui l’ont rompue avec moi,
                            4. de donner à celui qui me refuse,
                            5. que mon silence soit rempli de pensée,
                            6. que mon regard soit une admonition,
                            7. que je commande ce qui est juste”.
                            Responsabilités sociales
                            Les enseignements de l’Islam concernant les responsabilités sociales sont fondés sur la bonté et la considération pour autrui. L’Islam insiste sur les actes spécifiques de bonté et définit les responsabilités et les droits de chacun dans les différents types de relation. Dans un cercle grandissant de relations, notre première obligation va à la famille proche (les parents, le conjoint et les enfants) ensuite aux autres relations (les voisins, les amis, les connaissances, les orphelins et les veuves, ceux de la communauté qui sont dans le besoin, nos frères et sœurs musulman(e)s et tous nos semblables, enfin les animaux).
                            Le respect et la sollicitude dûs aux parents sont soulignés dans les enseignements de l’Islam et constituent une partie importante de l’expression de la foi d’un Musulman.
                            “Et ton Seigneur a décrété : “N’adorez que Lui, et (montrez) de la bonté envers les père et mère : si l’un d’eux ou tous deux doivent atteindre la vieillesse auprès de toi, alors ne leur dit point : “Fi !” et ne les brusque pas, mais adresse-leur des paroles respectueuses, et par miséricorde abaisse pour eux l’aile de l’humilité et dis : “Ô mon Seigneur, fais-leur, à tous deux, miséricorde comme ils m’ont élevé tout petit” (Sourate 17, v. 23-24)
                            “Et donne au proche parent ce qui lui est dû ainsi qu’au pauvre et au voyageur (en détresse). Et ne gaspille pas indûment” (Sourate 17, verset 26)
                            Le Prophète (que la Paix et la Bénédiction soient avec lui) a dit : “N’est pas croyant celui qui mange à sa faim, alors que son prochain a faim. N’est pas croyant celui dont les voisins ne sont pas à l’abri de sa conduite blessante”.
                            En fait, d’après le Coran et la Sunna (enseignements du Prophète), un Musulman doit assurer sa responsabilité morale, non seulement envers ses parents, ses relations et ses voisins, ses collègues, mais aussi envers l’humanité tout entière, ainsi qu’envers les animaux, les arbres et les plantes. Par exemple, il est interdit de chasser les oiseaux et les animaux pour le sport ; de même, il est interdit de couper les arbres et les plantes fruitiers à moins d’un besoin essentiel. Le Musulman est le gardien de la nature et de ce fait il doit la conserver et la protéger.
                            Ainsi, à partir de principes de base, l’Islam édifie tout un système moral extrêmement élevé grâce auquel l’humanité peut réaliser pleinement son potentiel.

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                            • #29
                              Suite et Fin

                              L’Islam purifie l’âme. La soumission permanente du musulman à la volonté divine, crée une atmosphère de religiosité, dans laquelle baigne son existence. Cette soumission représente la motivation fondamentale de sa vie morale.
                              L’Islam est une source de bonté, de générosité, de miséricorde, de sympathie, de paix, de bienveillance désintéressée, de loyauté et d’honnêteté envers la création tout entière en toutes circonstances.
                              De ses qualités, les plus nobles qui soient, ne peut naître que le Bien.
                              Tel est l’Islam qui doit vivre en chaque musulman
                              Le Coran dit : Allah ne vous défend pas d’être bienfaisants et équitables envers ceux qui ne vous ont pas combattus pour la religion et ne vous ont pas chassés de vos demeures. Car Allah aime les équitables. .(Coran, 60:8) C’est une fonction de la loi Islamique de protéger les statuts privilégiés des minorités, et c’est pourquoi des salles de cultes non-islamiques existèrent depuis le début dans l’empire musulman. L’Histoire nous donne de nombreux exemples de la tolérance musulmane envers les autres religions. : quand le calife Omar entra à Jérusalem en l’an 634 ap J.C l’Islam accorda la liberté de culte et d’adoration à toutes les communautés religieuses dans la ville. La loi islamique permet aussi aux minorités non-Musulmanes de posséder leurs propres tribunaux.
                              Les Musulmans respectent et révèrent Jésus (Paix sur lui), et attendent sa Seconde Arrivée. Ils le considèrent comme l’un des plus grands messagers de Dieu. Un Musulman ne le mentionne jamais simplement comme ‘Jésus’, mais ajoute toujours la mention ‘paix sur lui’. Le Saint Coran confirme sa conception immaculée (sans père) et sa mère Marie est considérée comme la plus pure femme de toute la création (un chapitre entier du Coran lui est consacrée, intitulée “Marie”). Le Coran decrit l’annonciation comme suit : (Rappelle-toi) quand les Anges disent : ‹Ô Marie, certes Allah t’a élue au-dessus des femmes des mondes. ‹Ô Marie, obéis à Ton Seigneur, prosterne-toi, et incline-toi avec ceux qui s’inclinent›. – Ce sont là des nouvelles de l’Inconnaissable que Nous te révélons. Car tu n’étais pas là lorsqu’ils jetaient leurs calames pour décider qui se chargerait de Marie ! Tu n’étais pas là non plus lorsqu’ils se disputaient. (Rappelle-toi,) quand les Anges dirent : ‹Ô Marie, voilà qu’Allah t’annonce une parole de Sa part : son nom sera ‹al-Masih› ‹Hissa›, fils de Marie, illustre ici-bas comme dans l’au-delà, et l’un des rapprochés d’Allah›. Il parlera aux gens, dans le berceau et en son âge mûr et il sera du nombre des gens de bien›. – Elle dit : ‹Seigneur ! Comment aurais-je un enfant, alors qu’aucun homme ne m’a touchée ?› – ‹C’est ainsi !› dit-Il. Allah crée ce qu’Il veut. Quand Il décide d’une chose, Il lui dit seulement : ‹Sois› ; et elle est aussitôt. (Coran, 3:42-7) Jésus (PBAL) est né miraculeusement par la même puissance qui a créé Adam (PBAL) en un être sans besoin de père : Pour Allah, Jésus est comme Adam qu’Il créa de poussière, puis Il lui dit ‹Sois› : et il fut. (Coran 3:59) Pendant sa mission prophétique, Jésus (PBAL) accomplit de nombreux miracles. Le Coran nous rapporte : et Il sera le messager aux enfants d’Israël, [et leur dira] : ‹En vérité, je viens à vous avec un signe de la part de votre Seigneur. Pour vous, je forme de la glaise comme la figure d’un oiseau, puis je souffle dedans : et, par la permission d’Allah, cela devient un oiseau. Et je guéris l’aveugle-né et le lépreux, et je ressuscite les morts, par la permission d’Allah. Et je vous apprends ce que vous mangez et ce que vous amassez dans vos maisons. Voilà bien là un signe, pour vous, si vous êtes croyants ! (Coran 3:49)) Ni Muhammad ni Jésus (PBAL) ne sont venus modifier la croyance de base en Dieu Unique, apportée par les prophètes avant eux, mais plutôt les confirmer et les renouveler. Le Coran rapporte à ce propos : Et je confirme ce qu’il y a dans la Thora révélée avant moi, et je vous rends licite une partie de ce qui était interdit. Et j’ai certes apporté un signe de votre Seigneur. Craignez Allah donc, et obéissez-moi. (Coran 3:50) Le Prophète Muhammad (PBAL) a dit : “Quiconque croit qu’il n’y a de dieu que Dieu, unique sans associé, que Muhammad (PBAL) est Son messager, que Jésus est le serviteur et messager de Dieu, Son verbe mis au monde par Marie et l’esprit émanent de Lui, et que le Paradis est vrai et l’Enfer est vrai, sera reçu par Dieu au Paradis.” (Hadith de Bukhari)
                              L’islam n’est donc ni une religion d’intolérance, ni une religion de violence.
                              Maudits soient ceux qui tuent pillent et violent au nom de l’islam.
                              Synthèse de Abdoulaye Niangaly
                              Voici l'image de l'islam que nous voudrions triompher.
                              Dernière modification par Aggour, 01 août 2009, 09h53.

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                              • #30
                                Les Salafis sont connus en particulier pour leur lecture littérale des textes (Coran et Sunna). Ils ommettent en particulier la comparaison entre les textes et la considération du contexte de révélation.

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