Sujet
Personnellement, ça me laisse toujours dans le flou, car ça n'explique pas encore ce que veux dire "accepter" dans le cas présent.
En principe, adhérer à l’Islam c'est adopter une religion mais aussi s’intégrer dans une communauté et devenir membre d'une société. Apostasier (ridda) revêt donc un caractère plus large et plus grave que le simple fait de ne pas croire (kofr), car cela menace l'ordre du groupe et sa cohésion d'où les dispositions légales (huddûd) très sévères.
De ce fait, si par "accepter" on entends "être d'accord" et donner raison cela n'a pas de sens, car le musulman croit en ce qu'il à croire, faute de quoi il n'est plus musulman. Comment donc un croyant pourrait-il être d'accord avec quelqu'un qui ne croit plus ? C'est un non sens.
Sinon, si par "accepter" on entends le fait de ne pas exécuter nous-mêmes un voisin qui déclare publiquement son apostasie, il n'y a pas de châtiment prévu pour une telle "acceptation" (sic), pour la simple raison que les musulmans ne sont pas sensés s'appliquer les peines légales de la Loi entre eux, la chose relevant de la responsabilité exclusive des autorités publiques.
ce sujet a été crée suit a une discussion assez animé entre moi et l'auteur de ce sujet ...
sa réponse qu'il voulait conforté aupres de meilleurs connaisseur que lui était qu'il ne fallait plus considerer comme musulman quelqun qui accepterais l'apostasie d'un musulma.
sa réponse qu'il voulait conforté aupres de meilleurs connaisseur que lui était qu'il ne fallait plus considerer comme musulman quelqun qui accepterais l'apostasie d'un musulma.
En principe, adhérer à l’Islam c'est adopter une religion mais aussi s’intégrer dans une communauté et devenir membre d'une société. Apostasier (ridda) revêt donc un caractère plus large et plus grave que le simple fait de ne pas croire (kofr), car cela menace l'ordre du groupe et sa cohésion d'où les dispositions légales (huddûd) très sévères.
De ce fait, si par "accepter" on entends "être d'accord" et donner raison cela n'a pas de sens, car le musulman croit en ce qu'il à croire, faute de quoi il n'est plus musulman. Comment donc un croyant pourrait-il être d'accord avec quelqu'un qui ne croit plus ? C'est un non sens.
Sinon, si par "accepter" on entends le fait de ne pas exécuter nous-mêmes un voisin qui déclare publiquement son apostasie, il n'y a pas de châtiment prévu pour une telle "acceptation" (sic), pour la simple raison que les musulmans ne sont pas sensés s'appliquer les peines légales de la Loi entre eux, la chose relevant de la responsabilité exclusive des autorités publiques.
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