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les hadiths interdisent decrire des hadith !!!!!!!

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  • #16
    Salam Momo,

    Mais c'est peut-être cela le problème Momo, tu n'essaies que de "montrer les contradictions" et de ce fait, tu cherches moins la Vérité (qui peut naître d'un échange...ou pas) que de convaincre.

    Par exemple, Shadok t'a apporté la contradiction en disant que les hadiths que tu avais postés étaient relatifs à un contexte particulier et qu'ils ont été abrogé par la suite : que penses-tu de son argument ?

    yavait meme un sujet interessant de cne mais je sait pas lire larabe
    ou javait comprit ou peu etre mal comprit que les hadith son remit en cause
    http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=238037
    Malheureusement, je ne peux pas t'aider car la résolution de mon écran ne me permet pas de lire les caractères en arabe quand ils sont si petits. Quelqu'un va peut-être le faire.

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    • #17
      salam
      dandy

      je lui est repondu que se quil dit nest pas fonder et pour preve aucun des 5 calife na ecrit de livre

      et si ont prend un recit ont voit que

      "Zayd Ibn Thabit (le scribe de la révélation ) visita le Calife Mu’aawiya (plus de 30 ans après la mort du prophète) et lui raconta une histoire sur le prophète. Mu’aawiya apprécia l’histoire et ordonna que quelqu’un l’écrive. Mais Zayd dit: « Le messager de Dieu nous a ordonné de ne jamais rien écrire de ses Hadiths. » (Rapporté par Ibn Hanbal)"


      donc zayd a interdit decrire un hadith au calif Mu’aawiya c a dire bien apres que mouhamed as soit mort
      car selon se adith mouhamed as laurait interdit


      donc les gens venu apres on innover en ecrivant des tonnes livrede hadith alor les 5 calife nont pas fait un livre

      Commentaire


      • #18
        "Zayd Ibn Thabit (le scribe de la révélation ) visita le Calife Mu’aawiya (plus de 30 ans après la mort du prophète) et lui raconta une histoire sur le prophète. Mu’aawiya apprécia l’histoire et ordonna que quelqu’un l’écrive. Mais Zayd dit: « Le messager de Dieu nous a ordonné de ne jamais rien écrire de ses Hadiths. » (Rapporté par Ibn Hanbal)"
        Dans quelle recueil de compilation de hadiths as-tu trouvé cela ? Pourrais-tu nous donner la source exacte afin que le débat puisse avancer.

        Commentaire


        • #19
          salam

          dapres se que jai comprit

          1-Musnad Ahmed ibn Hanbal(Vol3, p21)

          mais lit les autre hadith tu verra bien apres la mort de mouhamed as des gens rapporte quil etait interdit regarde

          Selon Abou Hourayara(r) : Nous étions interdits de
          rapporter des Hadiths du prophète(s) jusqu'à la mort du
          Calife Omar(r) (7)
          8- Omar(r) a dit à Abou Hourayra(r) : arrêtes de rapporter
          des Hadiths sur le prophète(s) si non je te renvoie à la terre
          de « Daous » (ville d’origine d’Abou Hourayra) (8)

          Omar(r) a dit Ka’ab Al Ahbar (Juif converti) : que tu
          arrêtes toi aussi de propager des Hadiths sur Abou Hourayra
          si non je t‘exilerais comme lui. (9)

          Deux sources relatant que le deuxième calife Omar(s)
          aurait emprisonné trois compagnons Abou Darâda’ , Abou
          Ther et Ibn Massou’ad pour le délit de propagation abusive
          des hadiths prophétiques !!! (10) (11)

          Deux sources affirmant que le premier Calife Abou
          Bakr aurait interdit de propager des Hadiths et selon sa
          fille Aïcha(s) il aurait même brulé 5OO hadiths en sa possesion
          et comme preuve veridique aucun des 5 calife na ecrit de livre

          Commentaire


          • #20
            salam

            apres shadk et les autre ont raison je suis pas specialiste des hadth
            mais la video de abrfracom ma demontrer les contradiction des hadith ........donc jai voulut pointer du doight dautres

            jetest mit tout juste au dessus dandy

            Commentaire


            • #21
              @Dandy

              Voici une étude sérieuse qui répond à tes interrogations :

              Pourquoi la sunnah n’a-t-elle pas été inscrite du temps du Prophète ? Et y en a-t-il une partie qui a été inscrite de son vivant ?

              Il n’y a aucune divergence entre les écrivains de la sîrah et les savants de la sunnah et l’ensemble des musulmans sur le fait que le Noble Coran reçut de la part du Messager - que les salutations et les bénédictions d’Allâh soient sur lui - et des Compagnons une attention telle qu’il fut préservé dans les mémoires et inscrit sur les parchemins, les planches et les pierres et sur d’autres supports si bien que quand le Prophète décéda, le Coran était préservé et ordonné et il ne lui manquait que d’être réuni en un seul volume (mushaf).

              Quant à la sunnah, il en fut autrement bien qu’elle ait été une source législative importante du temps du Prophète. Il n’y a aucun désaccord sur le fait qu’elle ne fut pas officiellement inscrite, contrairement au Coran. Cela s’explique probablement par le fait que le Messager - paix et bénédictions sur lui - vécut 23 ans parmi les Compagnons et que l’inscription de toutes ses paroles, gestes et transactions aurait été extrêmement difficile car cela aurait exigé qu’un grand nombre de Compagnons se consacrent totalement à ce travail ardu. Par ailleurs, il est connu que ceux qui savaient écrire du vivant du Prophète étaient si peu nombreux qu’on pouvait les compter sur les doigts. Et, puisque le Coran est la source principale de législation et le miracle éternel du Messager - paix et bénédictions d’Allâh sur lui, ces scribes devaient donc donner la priorité à son inscription avant toute sunnah afin qu’ils le transmettent à leurs successeurs entièrement rédigé et contrôlé et sans qu’une seule lettre ne manque.

              En outre, les Arabes à cause de leur analphabétisme comptaient uniquement sur leur mémoire pour tout ce qu’ils désiraient conserver et préserver. Il leur était donc aisé de se consacrer à la mémorisation de Coran d’autant plus qu’il a été révélé progressivement par groupe de versets et petites sourates, qu’il était facile et motivant pour eux de retenir par coeur. Si la sunnah avait été inscrite au même titre que le Coran, alors qu’elle est vaste et diversifiée et englobe les actions législatives du Prophète et ses paroles depuis le début de sa mission jusqu’à son retour à Son Seigneur, ils auraient été tenus d’apprendre la sunnah en plus du Coran avec ce que cela comporte comme difficulté. En plus, on pouvait craindre que certaines paroles concises et sages du Prophète soient confondues avec le Coran par inadvertance, ce qui constitue un danger pour le Livre d’Allâh ouvrant la voie du doute devant les ennemis de l’islam et une brèche par laquelle ils s’infiltrent et incitent les musulmans à se défaire des commandements de l’islam et se dégager de son autorité. Ces raisons ainsi que tout ce que les savants ont amplement détaillé comme raisons de la non inscription de la sunnah du temps du Prophète expliquent l’interdiction d’écrire la sunnah, interdiction mentionnée dans Sahîh Muslim : selon Abû Sa`îd Al-Khudrî que le Messager d’Allâh - paix et bénédictions sur lui - a dit : "N’inscrivez rien de ma part et que celui qui a écrit de ma part autre chose que le Coran qu’il l’efface"[2].

              Ceci n’empêche pas que l’on ait inscrit quelques parties de la sunnah mais de façon non officielle contrairement au Coran. Citons dans ce qui suit des traditions authentiques prouvant que l’écriture de parties de la sunnah eut bien lieu du temps du Prophète. Al-Bukhârî mentionne dans son Sahîh, dans Kitâb Al-`Ilm (le Livre du Savoir), selon Abû Hurayrah que : "La tribu de Khuzâ`ah tuèrent un homme des Banû Layth l’année de la prise de la Mecque, pour venger l’assassinat de l’un des leurs. Quand le Prophète - paix et bénédictions sur lui - en fut prévenu, il enfourcha sa monture et prêcha : Dieu a exclu de la Mecque le meurtre (ou [l’a protégée de]l’Eléphant, un doute de la part de Bukhârî) et y a donné le pouvoir au Messager d’Allâh - paix et bénédictions sur lui - et aux croyants. Cette ville n’a été soumise à personne avant moi et ne sera soumise à personne après moi. Elle m’a été soumise pour une heure de la journée et elle est à cette heure Sacrée, on n’ôte pas ses ronces, on ne coupe pas ses arbres, on n’y ramasse pas les objets trouvés sauf pour en trouver les propriétaires. Que celui dont on a tué un proche choisisse de deux choses l’une : la diyah (le prix du sang) ou que [l’assassin soit] conduit à la famille du mort" Alors un homme du Yémen vint et dit : "Ô Messager d’Allâh, écris cette parole pour moi" Le Messager - paix et bénédictions sur lui - dit : "Ecrivez pour Abû Shâh".[3]

              Par ailleurs, il est établi que le Messager d’Allâh - paix et bénédictions sur lui - envoya des courriers aux Rois de son temps et aux Princes de la péninsule arabique pour les inviter à l’islam et qu’il envoyait avec certains chefs d’expéditions des courriers qu’il leur ordonnait de ne lire qu’une fois qu’ils avaient atteint un lieu donné.

              Il est également établi que les Compagnons possédaient des parchemins sur lesquels ils inscrivaient une partie de ce qu’ils entendaient de la part du Messager d’Allâh - paix et bénédictions sur lui - comme le parchemin de `Amr Ibn Al-`Âs qu’il appelait as-sâdiqah ("le [parchemin] véridique"). Ahmad, Al-Bayhaqî dans Al-Mudkhal narrent qu’Abû Hurayrah - qu’Allâh l’agrée - dit : "Personne ne connaît le hadîth du Messager d’Allâh - paix et bénédictions sur lui - mieux que moi exception faite de `Abdullâh Ibn `Amr car il écrivait et moi je n’écrivais pas." [4] L’écriture de `Abdullâh Ibn `Amr attira l’attention de certains Compagnons qui lui dirent : "Tu inscris tout ce que le Messager d’Allâh dit. Il se peut que le Messager d’Allâh soit fâché et dise une chose qui ne peut être prise comme une législation à portée générale" Alors `Amr alla voir le Messager d’Allâh - paix et bénédictions d’Allâh sur lui - qui lui dit : "Inscris ce que je dis car par Celui Qui détient mon âme il n’y a que la vérité qui sort de ma bouche" [Narré par Ibn `Abd Al-Barr dans Jâmi` Bayân Al-`Ilm wa Fadlih 1/76]

              Il est établi aussi que `Alî - qu’Allâh l’agrée - possédait un parchemin contenant les règles de la diyah pour al-`âqilah et autre, tout comme il est établi que le Messager - paix et bénédictions sur lui - a écrit à ses gouverneurs leur indiquant le taux de la zakât pour les chameaux et les moutons.

              Les savants ont divergé dans la conciliation des hadîths interdisant l’écriture [de la sunnah] et ceux cités ici indiquant la permission de le faire. La plupart est d’avis que la permission abroge l’interdiction. Certains dirent que l’interdiction est spécifique à ceux qui risquent de se tromper ou de mélanger le Coran et la sunnah alors que la permission est spécifique à ceux qui sont à l’abri de l’erreur. Je pense qu’il n’y a pas d’opposition réelle entre les hadîths interdisant l’inscription et ceux qui l’autorisent si l’on comprend que l’interdiction porte sur l’inscription officielle à l’instar du Coran ; quant à l’autorisation, il s’agit de l’autorisation d’inscrire des textes de la sunnah pour des circonstances spéciales ou la permission aux Compagnons qui inscrivaient la sunnah pour leur usage personnel. L’examen de l’énoncé du hadîth relatif à l’interdiction peut en effet appuyer cette compréhension car il est d’ordre général et adressé à tous les Compagnons. On ne dit pas alors que ceci implique que l’interdiction prévaut étant donné la permission donnée à certaines personnes en particulier, mais nous disons plutôt que l’autorisation du Messager à `Abdullâh Ibn `Amr d’écrire son parchemin et de continuer à le faire jusqu’au décès du Messager prouve que l’inscription était autorisée aux yeux du Prophète tant qu’il ne s’agissait pas d’une inscription systématique comme pour le Coran. L’autorisation d’inscrire la sunnah est confirmée par la narration citée dans Al-Bukhârî selon Ibn `Abbâs que quand les dernières douleurs du Prophète se renforcèrent, il dit : "Apportez-moi de quoi vous écrire un testament après lequel vous ne serez jamais égarés"[5], mais `Umar s’y opposa disant que la douleur du Messager - paix et bénédictions sur lui - était devenue trop forte. Ce récit appuie l’opinion selon laquelle l’autorisation avait eu lieu en dernier contrairement à l’opinion de Rashîd Ridâ - qu’Allâh lui fasse miséricorde - qui soutenait que l’autorisation était en vigueur en premier, puis qu’elle fut abrogée par l’interdiction.

              Extrait de As-Sunnah wa makânatuhâ fî at-tashrî` (La Sunnah et son statut dans la législation).

              Notes :
              1.L’original en arabe est disponible à sur le site d’islamweb.net
              2.Consulter le texte du hadîth en arabe dans Sahîh Muslim dans Kitâb Az-Zuhd war-Raqâ’iq
              3.Consulter le texte du hadîth en arabe dans Sahîh Al-Bukhârî dans Kitâb Al-`Ilm et dans Kitâb Ad-Diyât.
              En ce qui concerne les objets trouvés, on ne peut se les approprier qu’après un an à raison d’une annonnce tous les jours le premier mois puis trois jours par mois le reste de l’année. Le statut de la Mecque fait exception avec des divergences entre les juristes quant à la possibilité de s’approprier les objets trouvés à la Mecque ou non. Pour de plus amples informations, voir Nayl Al-Awtâr.
              4.Consulter le texte du hadîth en arabe dans Sahîh Al-Bukhârî dans Kitâb Al-`Ilm
              5.Consulter le texte du hadîth en arabe dans Sahîh Al-Bukhârî dans Kitâb Al-`Ilm
              Dernière modification par shadok, 15 mai 2012, 23h03.
              Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

              Commentaire


              • #22
                ils on étaient écris par nécessité , peut etre que les califes n'ont pas eut besoin de le faire...et que par la suite il a étai nécessaire de les écrire
                tu tombe je tombe car mane e mane
                après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

                Commentaire


                • #23
                  sais tu que dans le coran il y a des versets abrogés par d'autres ?

                  Commentaire


                  • #24
                    pour preuve

                    sourate al baqarah verset 106

                    Si Nous abrogeons un verset quelconque ou que Nous le fassions oublier, Nous en apportons un meilleur, ou un semblable. Ne sais-tu pas qu'Allah est Omnipotent?


                    il en va de meme avec la sounna ,concernant l'abrogeant et l'abrogé

                    Commentaire


                    • #25
                      salam(c en deux partie)
                      vos preuve son tres maigre et je vais les decortiquer une a une
                      tout dabor je tient a signaler que jai donner des hadith qui interdisent decrire des haditha lepoque de mouhamed as mais aussi apres sa mort mais aussi un hadith que je mettrait a part et dans un autre topic et qui montre que c un pecher

                      commencon par les argument
                      ils on étaient écris par nécessité , peut etre que les califes n'ont pas eut besoin de le faire...et que par la suite il a étai nécessaire de les écrire
                      faux il ne lont pas fait car c interdit selon les hadith c un ordre explicite de mouhamed as car il dit que dieu risque detre en colere

                      Selon Abou Hourayra(r) : « le prophète(s) est sortie une
                      fois, car il avait entendu qu’on écrivait ses hadiths ; il nous
                      dit : vous écrivez autre chose que le Coran !? Saviez-vous
                      qu’est ce qui a égaré les peuples avant vous si ce n’est de
                      rajouter d’autres écritures à leur livre saint ? (allusion aux
                      gens du Livre)

                      Selon ibn Abbas(r) et ibn Omar(r) : Une fois le prophète(s)
                      est sorti et avait l’air migraineux, disant sur la chair de son
                      Minbar : Pourquoi vous écrivez à côté du Livre du Dieu ? je
                      vois venir la colère de Dieu qui effacera, par une nuit Son
                      Coran des parchemins et de vos mémoires, les compagnons
                      on été terrifiés à entendre ses propos disant qu’est ce qu’il va
                      nous rester à ce moment là !, le prophète(s) a répondu : Celui
                      que Dieu lui veut encore du bien, il lui garde en mémoire la
                      Shahada : il n’ya de Dieu qu’Allah . Relaté dans Tabarani
                      ibn ahmed
                      il en va de meme avec la sounna ,concernant l'abrogeant et l'abrogé
                      sais tu que dans le coran il y a des versets abrogés par d'autres ?
                      cette preuve et tres tres maigre alor que vous navez aucun hadith qui dit que les hadith de linterdiction son abroger par dautre
                      alor que jai des preuve qui montre que apres la mort de mouhamed as les hadith nabroge pas cele de linterdiction et donc linterdiction est restez en vigueur

                      et donc comme des hadith mentionnnent linterdiction bien apres la mort de mouhamed as il est donc vraisemblable que les hadith de linterdiction abroge de lautorisation

                      regarde 30 apres la mort de mouhamed as zayd dit que mouhamed as a interdit decrire des hadith


                      "Zayd Ibn Thabit (le scribe de la révélation ) visita le Calife Mu’aawiya (plus de 30 ans après la mort du prophète) et lui raconta une histoire sur le prophète. Mu’aawiya apprécia l’histoire et ordonna que quelqu’un l’écrive. Mais Zayd dit: « Le messager de Dieu nous a ordonné de ne jamais rien écrire de ses Hadiths. » (Rapporté par Ibn Hanbal)"

                      et regarde apres la ort de mouhamed as dapres les hadith quand omar et abubakr etait calife ils ont interdit la propagation de hadith


                      Selon Abou Hourayara(r) : Nous étions interdits de
                      rapporter des Hadiths du prophète(s) jusqu'à la mort du
                      Calife Omar(r) (7)
                      8- Omar(r) a dit à Abou Hourayra(r) : arrêtes de rapporter
                      des Hadiths sur le prophète(s) si non je te renvoie à la terre
                      de « Daous » (ville d’origine d’Abou Hourayra) (8)

                      Omar(r) a dit Ka’ab Al Ahbar (Juif converti) : que tu
                      arrêtes toi aussi de propager des Hadiths sur Abou Hourayra
                      si non je t‘exilerais comme lui. (9)

                      Deux sources relatant que le deuxième calife Omar(s)
                      aurait emprisonné trois compagnons Abou Darâda’ , Abou
                      Ther et Ibn Massou’ad pour le délit de propagation abusive
                      des hadiths prophétiques !!! (10) (11)

                      Deux sources affirmant que le premier Calife Abou
                      Bakr aurait interdit de propager des Hadiths et selon sa
                      fille Aïcha(s) il aurait même brulé 5OO hadiths en sa possesion

                      pourquoi il lont interdit car dapres les hadith meme linterdiction decrire etait valide



                      Selon Abou Hourayra(r) : « le prophète(s) est sortie une
                      fois, car il avait entendu qu’on écrivait ses hadiths ; il nous
                      dit : vous écrivez autre chose que le Coran !? Saviez-vous
                      qu’est ce qui a égaré les peuples avant vous si ce n’est de
                      rajouter d’autres écritures à leur livre saint ? (allusion aux
                      gens du Livre)

                      Selon ibn Abbas(r) et ibn Omar(r) : Une fois le prophète(s)
                      est sorti et avait l’air migraineux, disant sur la chair de son
                      Minbar : Pourquoi vous écrivez à côté du Livre du Dieu ? je
                      vois venir la colère de Dieu qui effacera, par une nuit Son
                      Coran des parchemins et de vos mémoires, les compagnons
                      on été terrifiés à entendre ses propos disant qu’est ce qu’il va
                      nous rester à ce moment là !, le prophète(s) a répondu : Celui
                      que Dieu lui veut encore du bien, il lui garde en mémoire la
                      Shahada : il n’ya de Dieu qu’Allah . Relaté dans Tabarani


                      la je vait attaquer le texte interressant de shadok
                      il est dit

                      Quant à la sunnah, il en fut autrement bien qu’elle ait été une source législative importante du temps du Prophète. Il n’y a aucun désaccord sur le fait qu’elle ne fut pas officiellement inscrite, contrairement au Coran. Cela s’explique probablement par le fait que le Messager - paix et bénédictions sur lui - vécut 23 ans parmi les Compagnons et que l’inscription de toutes ses paroles, gestes et transactions aurait été extrêmement difficile car cela aurait exigé qu’un grand nombre de Compagnons se consacrent totalement à ce travail ardu.
                      faux
                      si on lit les hadith linterdiction na pas pour origine que c difficile de tous retranscrir mais bien par se que sa egare les dgens et que sa va apporter la colere de dieu


                      Selon Abou Hourayra(r) : « le prophète(s) est sortie une
                      fois, car il avait entendu qu’on écrivait ses hadiths ; il nous
                      dit : vous écrivez autre chose que le Coran !? Saviez-vous
                      qu’est ce qui a égaré les peuples avant vous si ce n’est de
                      rajouter d’autres écritures à leur livre saint ? (allusion aux
                      gens du Livre)

                      Selon ibn Abbas(r) et ibn Omar(r) : Une fois le prophète(s)
                      est sorti et avait l’air migraineux, disant sur la chair de son
                      Minbar : Pourquoi vous écrivez à côté du Livre du Dieu ? je
                      vois venir la colère de Dieu qui effacera, par une nuit Son
                      Coran des parchemins et de vos mémoires, les compagnons
                      on été terrifiés à entendre ses propos disant qu’est ce qu’il va
                      nous rester à ce moment là !, le prophète(s) a répondu : Celui
                      que Dieu lui veut encore du bien, il lui garde en mémoire la
                      Shahada : il n’ya de Dieu qu’Allah . Relaté dans Tabarani



                      suite en bas
                      Dernière modification par momo84, 16 mai 2012, 08h39.

                      Commentaire


                      • #26
                        suite et fin

                        Par ailleurs, il est connu que ceux qui savaient écrire du vivant du Prophète étaient si peu nombreux qu’on pouvait les compter sur les doigts.
                        meme sils etait peu nombreux dapres les sunnite zayid etait le scribe de mouhamed as
                        et dapres les hadith
                        zayid 30 ans apres la mort de mouhamed as aurait interdit decrire alor que lui c ecrire

                        "Zayd Ibn Thabit (le scribe de la révélation ) visita le Calife Mu’aawiya (plus de 30 ans après la mort du prophète) et lui raconta une histoire sur le prophète. Mu’aawiya apprécia l’histoire et ordonna que quelqu’un l’écrive. Mais Zayd dit: « Le messager de Dieu nous a ordonné de ne jamais rien écrire de ses Hadiths. » (Rapporté par Ibn Hanbal)"



                        En outre, les Arabes à cause de leur analphabétisme comptaient uniquement sur leur mémoire pour tout ce qu’ils désiraient conserver et préserver.
                        faux
                        sil compter uniquement sur leur memoir il naurait pas mit a lecrit le coran


                        Il leur était donc aisé de se consacrer à la mémorisation de Coran d’autant plus qu’il a été révélé progressivement par groupe de versets et petites sourates, qu’il était facile et motivant pour eux de retenir par coeur. Si la sunnah avait été inscrite au même titre que le Coran, alors qu’elle est vaste et diversifiée et englobe les actions législatives du Prophète et ses paroles depuis le début de sa mission jusqu’à son retour à Son Seigneur, ils auraient été tenus d’apprendre la sunnah en plus du Coran avec ce que cela comporte comme difficulté. En plus, on pouvait craindre que certaines paroles concises et sages du Prophète soient confondues avec le Coran par inadvertance, ce qui constitue un danger pour le Livre d’Allâh ouvrant la voie du doute devant les ennemis de l’islam et une brèche par laquelle ils s’infiltrent et incitent les musulmans à se défaire des commandements de l’islam et se dégager de son autorité. Ces raisons ainsi que tout ce que les savants ont amplement détaillé comme raisons de la non inscription de la sunnah du temps du Prophète expliquent l’interdiction d’écrire la sunnah, interdiction mentionnée dans Sahîh Muslim : selon Abû Sa`îd Al-Khudrî que le Messager d’Allâh - paix et bénédictions sur lui - a dit : "N’inscrivez rien de ma part et que celui qui a écrit de ma part autre chose que le Coran qu’il l’efface"[2].
                        se que tu dit ne veut rien dire si zayd et un scribe et quil existe des gens qui savent ecrire si linterdit netait pas valide
                        les gens aurait ecrit des livre en plus que le coran et cela naurait pas embrouillez les gens il suffit de voir aujourdhui il existe des batiment
                        de hadith pourtant les gens ne recite pas les hadith lors des priere

                        Ceci n’empêche pas que l’on ait inscrit quelques parties de la sunnah mais de façon non officielle contrairement au Coran
                        de facon non officiel c a dire clandestienement donc c interdit car il ya nombre de hadith ou dapres les hadith mouhamed as aurait attraper des gens ecrire pas devant lui et il les as obliger deffacer


                        Selon Abou Hourayra(r) : « le prophète(s) est sortie une
                        fois, car il avait entendu qu’on écrivait ses hadiths ; il nous
                        dit : vous écrivez autre chose que le Coran !? Saviez-vous
                        qu’est ce qui a égaré les peuples avant vous si ce n’est de
                        rajouter d’autres écritures à leur livre saint ? (allusion aux
                        gens du Livre)

                        8- Omar(r) a dit à Abou Hourayra(r) : arrêtes de rapporter
                        des Hadiths sur le prophète(s) si non je te renvoie à la terre
                        de « Daous » (ville d’origine d’Abou Hourayra)

                        Omar(r) a dit Ka’ab Al Ahbar (Juif converti) : que tu
                        arrêtes toi aussi de propager des Hadiths sur Abou Hourayra
                        si non je t‘exilerais comme lui.

                        Deux sources relatant que le deuxième calife Omar(s)
                        aurait emprisonné trois compagnons Abou Darâda’ , Abou
                        Ther et Ibn Massou’ad pour le délit de propagation abusive
                        des hadiths prophétiques !!!

                        Deux sources affirmant que le premier Calife Abou
                        Bakr aurait interdit de propager des Hadiths et selon sa
                        fille Aïcha(s) il aurait même brulé 5OO hadiths en sa possesion





                        Il est également établi que les Compagnons possédaient des parchemins sur lesquels ils inscrivaient une partie de ce qu’ils entendaient de la part du Messager d’Allâh - paix et bénédictions sur lui - comme le parchemin de `Amr Ibn Al-`Âs qu’il appelait as-sâdiqah ("le [parchemin] véridique"). Ahmad, Al-Bayhaqî dans Al-Mudkhal narrent qu’Abû Hurayrah -
                        on voit avec se hadith que abu huraira a desobeit au prophete et quil a meme desobeit au calife omar
                        et que si son recit nous est parvenu jusqua aujourdhui alor que des hadith mentionnent que mouhamed as a interdit decrit que omar a menancer abou huraira de ne rien dire et que zayid 30 ans apres la mort de mouhamed as a interdit
                        c quila desobeit


                        Selon ibn Abbas(r) et ibn Omar(r) : Une fois le prophète(s)
                        est sorti et avait l’air migraineux, disant sur la chair de son
                        Minbar : Pourquoi vous écrivez à côté du Livre du Dieu ? je
                        vois venir la colère de Dieu qui effacera, par une nuit Son
                        Coran des parchemins et de vos mémoires, les compagnons
                        on été terrifiés à entendre ses propos disant qu’est ce qu’il va
                        nous rester à ce moment là !, le prophète(s) a répondu : Celui
                        que Dieu lui veut encore du bien, il lui garde en mémoire la
                        Shahada : il n’ya de Dieu qu’Allah . Relaté dans Tabarani


                        Selon Abou Hourayara(r) : Nous étions interdits de
                        rapporter des Hadiths du prophète(s) jusqu'à la mort du
                        Calife Omar(r) (7)
                        8- Omar(r) a dit à Abou Hourayra(r) : arrêtes de rapporter
                        des Hadiths sur le prophète(s) si non je te renvoie à la terre
                        de « Daous » (ville d’origine d’Abou Hourayra) (8)

                        Omar(r) a dit Ka’ab Al Ahbar (Juif converti) : que tu
                        arrêtes toi aussi de propager des Hadiths sur Abou Hourayra
                        si non je t‘exilerais comme lui. (9)

                        Deux sources relatant que le deuxième calife Omar(s)
                        aurait emprisonné trois compagnons Abou Darâda’ , Abou
                        Ther et Ibn Massou’ad pour le délit de propagation abusive
                        des hadiths prophétiques !!! (10) (11)

                        Deux sources affirmant que le premier Calife Abou
                        Bakr aurait interdit de propager des Hadiths et selon sa
                        fille Aïcha(s) il aurait même brulé 5OO hadiths en sa possesion

                        "Zayd Ibn Thabit (le scribe de la révélation ) visita le Calife Mu’aawiya (plus de 30 ans après la mort du prophète) et lui raconta une histoire sur le prophète. Mu’aawiya apprécia l’histoire et ordonna que quelqu’un l’écrive. Mais Zayd dit: « Le messager de Dieu nous a ordonné de ne jamais rien écrire de ses Hadiths. » (Rapporté par Ibn Hanbal)"

                        Par ailleurs, il est établi que le Messager d’Allâh - paix et bénédictions sur lui - envoya des courriers aux Rois de son temps et aux Princes de la péninsule arabique pour les inviter à l’islam et qu’il envoyait avec certains chefs d’expéditions des courriers qu’il leur ordonnait de ne lire qu’une fois qu’ils avaient atteint un lieu donné.
                        tu conviendra que la on parles des hadith en tant que loi on parle pas de lettre ou du sabre ou du bol du prphete ......

                        Les savants ont divergé dans la conciliation des hadîths interdisant l’écriture [de la sunnah] et ceux cités ici indiquant la permission de le faire.La plupart est d’avis que la permission abroge l’interdiction.
                        je les demontrer c faux linterdiction dapres les hadith etait de vigeur apres la mort de mouhamed as
                        et aucun hadith ne dit se que tu dit c une deduction de lauteur pour legalisez les hadith
                        L’autorisation d’inscrire la sunnah est confirmée par la narration citée dans Al-Bukhârî selon Ibn `Abbâs que quand les dernières douleurs du Prophète se renforcèrent, il dit : "Apportez-moi de quoi vous écrire un testament après lequel vous ne serez jamais égarés"[5], mais `Umar s’y opposa disant que la douleur du Messager - paix et bénédictions sur lui - était devenue trop forte. Ce récit appuie l’opinion selon laquelle l’autorisation avait eu lieu en dernier contrairement à l’opinion de Rashîd Ridâ - qu’Allâh lui fasse miséricorde - qui soutenait que l’autorisation était en vigueur en premier, puis qu’elle fut abrogée par l’interdiction.
                        la tu melange tout ici on parle dun testemant avant de mourir
                        un testament na rien a voir avec le fait quil yest une loi dedan
                        rien nempeche decrire son testament avec deux temoin

                        pour finir il est dit escplicitement que dapres les hadith mouhamed as
                        ne parle pas sous la passion
                        donc quand il interdit decrire des hadith par se que ca attire la colere de dieu et que ca egare
                        ont voit que linterdiction et superieur a mouhamed as puisque dieu lui est superieur


                        Selon Abou Hourayra(r) : « le prophète(s) est sortie une
                        fois, car il avait entendu qu’on écrivait ses hadiths ; il nous
                        dit : vous écrivez autre chose que le Coran !? Saviez-vous
                        qu’est ce qui a égaré les peuples avant vous si ce n’est de
                        rajouter d’autres écritures à leur livre saint ? (allusion aux
                        gens du Livre)

                        Selon ibn Abbas(r) et ibn Omar(r) : Une fois le prophète(s)
                        est sorti et avait l’air migraineux, disant sur la chair de son
                        Minbar : Pourquoi vous écrivez à côté du Livre du Dieu ? je
                        vois venir la colère de Dieu qui effacera, par une nuit Son
                        Coran des parchemins et de vos mémoires, les compagnons
                        on été terrifiés à entendre ses propos disant qu’est ce qu’il va
                        nous rester à ce moment là !, le prophète(s) a répondu : Celui
                        que Dieu lui veut encore du bien, il lui garde en mémoire la
                        Shahada : il n’ya de Dieu qu’Allah . Relaté dans Tabarani





                        donc cetai long et je suis pas specialiste mais se qui est sur si les hadith sur linterdiction etait valide que au temp du vivant de mouhamed et pas apres
                        je vous invite de meme avec les hadith de la barbe de la burqa ..................
                        car se que vous dite contredit les hadith meme
                        et contredit donc lensemble des hadith
                        Dernière modification par momo84, 16 mai 2012, 07h43.

                        Commentaire


                        • #27
                          Abrogeant / abroge

                          si au depart le prophete a interdit de receuillir ses propos, c'etait pour ne pas melanger ses dires avec La parole d'Allah.Il y avait beaucoups d'analphabetes parmis les compagnons.
                          par la suite je te laisse lire c'est assez explicite

                          Il est également établi que les Compagnons possédaient des parchemins sur lesquels ils inscrivaient une partie de ce qu’ils entendaient de la part du Messager d’Allâh - paix et bénédictions sur lui - comme le parchemin de `Amr Ibn Al-`Âs qu’il appelait as-sâdiqah ("le [parchemin] véridique"). Ahmad, Al-Bayhaqî dans Al-Mudkhal narrent qu’Abû Hurayrah - qu’Allâh l’agrée - dit : "Personne ne connaît le hadîth du Messager d’Allâh - paix et bénédictions sur lui - mieux que moi exception faite de `Abdullâh Ibn `Amr car il écrivait et moi je n’écrivais pas." [4] L’écriture de `Abdullâh Ibn `Amr attira l’attention de certains Compagnons qui lui dirent : "Tu inscris tout ce que le Messager d’Allâh dit. Il se peut que le Messager d’Allâh soit fâché et dise une chose qui ne peut être prise comme une législation à portée générale" Alors `Amr alla voir le Messager d’Allâh - paix et bénédictions d’Allâh sur lui - qui lui dit : "Inscris ce que je dis car par Celui Qui détient mon âme il n’y a que la vérité qui sort de ma bouche" [Narré par Ibn `Abd Al-Barr dans Jâmi` Bayân Al-`Ilm wa Fadlih 1/76]

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                          • #28
                            Est ce que ce hadith apporte repond a tes ambiguites?

                            Commentaire


                            • #29
                              salam

                              soi ta une memoir selective soit ta une vision selective puisque jen parle mais que jai seulemnt racourcit le texte

                              et je te remet se que jai mit


                              on voit avec se hadith que abu huraira a desobeit au prophete et quil a meme desobeit au calife omar

                              si son recit nous est parvenu jusqua aujourdhui alor que des hadith mentionnent que mouhamed as a interdit decrire car dieu va etre en colere et que le calif omar la menanacer

                              c que abou huraira a desobeit et dautre avec lui


                              Selon ibn Abbas(r) et ibn Omar(r) : Une fois le prophète(s)
                              est sorti et avait l’air migraineux, disant sur la chair de son
                              Minbar : Pourquoi vous écrivez à côté du Livre du Dieu ? je
                              vois venir la colère de Dieu qui effacera, par une nuit Son
                              Coran des parchemins et de vos mémoires, les compagnons
                              on été terrifiés à entendre ses propos disant qu’est ce qu’il va
                              nous rester à ce moment là !, le prophète(s) a répondu : Celui
                              que Dieu lui veut encore du bien, il lui garde en mémoire la
                              Shahada : il n’ya de Dieu qu’Allah . Relaté dans Tabarani


                              Selon Abou Hourayara(r) : Nous étions interdits de
                              rapporter des Hadiths du prophète(s) jusqu'à la mort du
                              Calife Omar(r) (7)
                              8- Omar(r) a dit à Abou Hourayra(r) : arrêtes de rapporter
                              des Hadiths sur le prophète(s) si non je te renvoie à la terre
                              de « Daous » (ville d’origine d’Abou Hourayra) (8)

                              Omar(r) a dit Ka’ab Al Ahbar (Juif converti) : que tu
                              arrêtes toi aussi de propager des Hadiths sur Abou Hourayra
                              si non je t‘exilerais comme lui. (9)

                              Deux sources relatant que le deuxième calife Omar(s)
                              aurait emprisonné trois compagnons Abou Darâda’ , Abou
                              Ther et Ibn Massou’ad pour le délit de propagation abusive
                              des hadiths prophétiques !!! (10) (11)

                              Deux sources affirmant que le premier Calife Abou
                              Bakr aurait interdit de propager des Hadiths et selon sa
                              fille Aïcha(s) il aurait même brulé 5OO hadiths en sa possesion

                              "Zayd Ibn Thabit (le scribe de la révélation ) visita le Calife Mu’aawiya (plus de 30 ans après la mort du prophète) et lui raconta une histoire sur le prophète. Mu’aawiya apprécia l’histoire et ordonna que quelqu’un l’écrive. Mais Zayd dit: « Le messager de Dieu nous a ordonné de ne jamais rien écrire de ses Hadiths. » (Rapporté par Ibn Hanbal)"
                              Dernière modification par momo84, 16 mai 2012, 08h09.

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                              • #30
                                de quoi tu parles ?????
                                on parle du hadits d Abdullâh Ibn `Amr et de l'autorisation du prophete d'ecrire !!!!

                                je n'ai vu a aucun endroit dans tes" ecrits" ce hadit d Abdullâh Ibn `Amr
                                montre moi ce que tu as ecris concernant CE hadit
                                merci

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