Youssef SEDDIK: "Des siècles de tromperie sur l'Islam"

[annabideparis]

Mais non, je ne faisais justement allusion qu'à cette personne désireuse de notoriété. J'ai essayé de lui rappeler que l'humilité se doit plutôt d’être proportionnelle à l'intelligence

Enfin tu prend conscience que l'humilité est une vertu,chose que tu piétine a chaque intervention.
Au lieu de contredire ce libre penseur,on préfère la politique de l'autruche,celle qui consiste a ne pas voir la réalité en face.

J'aurais aimé voir ceux qui se servent de vent,de paravent,ou tout simplement obéissance aveugle,démontre point par point ses mensonges,car quand ce monsieur parle de l’après la mort du prophète,nous sortir que le prophète de son vivant.....ne tiens pas.

“C'est aux esclaves, non aux hommes libres, que l'on fait un cadeau pour les récompenser de s'être bien conduits.”

Baruch Spinoza

[said2010]

quand ce monsieur parle de l’après la mort du prophète,nous sortir que le prophète de son vivant.....ne tiens pas.

Cher annabi,
Au contraire, tout le monde comprend qu'il ne vous reste plus rien a dire a part revenir pour créer des amalgames sur les moments difficiles passés par les pieux musulmans pour asseoir définitivement la religion de l’ultime prophète, paix et salut éternels sur lui. En effet absolument tout est a leur honneur et absolument rien ne peut être retenu a leurs encontre. A titre d'échappatoire vous mêlez les litiges et les contentieux qui peuvent intervenir dans la gestion d'un état pour créer des ambiguïtés sur chaque point mais hélas pour vous, les jeux sont faits sur ce plan et rien ne va plus. Dans l'embryon de l'état musulman la solidité du pouvoir ne reposait a un certain moment que sur la légitimité religieuse du prophète, c'est a dire sa personne-même, paix et salut sur lui.. Les structures sociales traditionnelles que sont la famille et la tribu ont été bel et bien relégués au deuxième plan par le prophète lui-même concernant bien sur seulement l'exercice du pouvoir temporel. Le prophète vénéré n'a nullement désigné clairement son successeur mais il a indiqué qu'Abou Bekr dirige la prière collective après sa mort. Ce n'est que plus tard comme a leurs accoutumée que certains dissidents avec des chiites prétendront que le messager avait désigné son cousin Ali pour lui succéder salissant ainsi toute la mémoire de Ahl El Beyt qui ne seraient donc que des coureurs derrière le pouvoir.. Il est plus que clair que le califat dépend du choix de la communauté des musulmans ou a la rigueur par consultation entre un certain nombre de personnalités éminentes qui après échange de points de vues désignent un homme qui devra recevoir par la suite l'allégeance de toute la communauté. C'est tout simplement cela ce qui s'est passé puisque par la suite tout le monde a prêté allégeance aux califes. Alors pourquoi revenir en arrière sur une affaire réglée dès le début. Ce penseur essaie de jouer le double jeu, mais, malheureusement pour lui, les pieux savants musulmans n'ont rien laissé a la merci des vents.