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etre arabe c'est un plaisir hahaha

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  • #46
    pour d’autres, plus rageur et nerveux , si on défend ses convictions,
    être arabe est devenu une affaire de conviction? elle est bien bonne celle la.
    Tiens demain je vais me trouver une certaine conviction pour devenir arabe et gouter à la plus belle décadence qui dure depuis que les Mongols ont mis fin au XIII ième siècle à l'épopée de ces arabes dont le seul moto était d'envahir piller saccager réduire en esclavage pour alimenter les souks à esclaves.
    Hulagu ne savait plus quoi faire de tout l'or que le khabith calife Moustansir lui a légué croyant avoir la vie sauve.
    D’où venait tout cet or? du dur labeur des arabes et leur civilisation génératrice de richesses basée sur les massacres?

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    • #47
      En En Algérie le problème de la langue arabe ne devrait pas se poser. c'est les berberistes qui en font un problème. la langue arabe (derja ou classique) est la langue de notre identité (en tous cas de la majorité du peuple algérien) et cela ne plait pas aux berberistes. c'est aussi la langue maternelle de plus de 85% des algériens, c'est un facteur d'union, un dénominateur commun et un facteur de cohésion et de rassemblement (mais les berberistes ne reconnaissent pas çà). les berberistes considèrent que c'est une langue étrangère imposée alors que 85% des algériens l'utilisent depuis bientôt 1400 ans. quant à l'enseignement de la langue arabe, c'est faux de dire que c'est de l'arabisation, c'est tout simplement de l'application et le recouvrement de la langue nationale et officielle qui existait avant 1830. quant à la mauvaise utilisation et les détournements de la langue arabe à des fins politiques et islamistes, on peut aussi dire que les gens là-haut dans le pouvoir le font exprès pour saboter l'application de la langue dans la vie quotidienne et dans les rouages de l'état et l'administration. ils veulent perpétuer l'usage du français car c'est dans leur intérêt. l'enseignement est prodigué en langue arabe du primaire à l'universitaire depuis plus de 40 ans mais l'administration et les rouages de l'état fonctionnent avec la langue française. c'est là le hic. les gens qui ont fait leurs études en arabe se retrouvent sans emploi ou sans possibilités de promotion ou d'affectation dans des postes de responsabilité. ce problème est vaste et profond, on passera la nuit avec. mais en gros l'usage de la langue arabe en Algérie fait face à des sabotages et des actions de sape pour conserver la langue française et ceux qui font çà ne sont pas étrangers au berberisme .

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      • #48
        si tu peux être arabe de façon différente des arabes, c que t autre chose que ce qu'ils sont.
        et en quoi cela gêne-t-il, ce tazouza ? il se prend pour un consultant en sociologie et en linguistique ? et qui l'a consulté ?

        Qu'il cause toujours, le taztouze, il m’indiffère.

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        • #49
          les berberistes considèrent que c'est une langue étrangère imposée alors que 85% des algériens l'utilisent depuis bientôt 1400 ans.
          certains ont la mémoire courte.
          L'arabisation à pas forcés imposée par le dictateur Boumedienne avec l'aide des cordonniers égyptiens c'est certainement une vue de l'esprit?
          Faire de l'amalgame en confondant la derja langue maternelle des Algériens avec la langue arabe relève du plus grand mensonge. Ceux qui colportent ce mensonge se voient plus arabe que les arabes.
          Mais bon avec ce genre de personnage on n'est pas à un traficotage de mensonges près.
          On se demande quelles sont leurs motivations. Ils feraient mieux d'aller vivre en Arabie que de polluer et travestir l'histoire avec leurs mensonges.
          Dernière modification par banzai, 01 mai 2019, 17h10.

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          • #50
            Depuis plus de cinq ans, ces berberistes, laïco-communistes nous écorchent les oreilles avec leur rengaine répétée, répétée en boucle plus qu'à saturation, de la génétique, du projet génographique qui a tranché (sic), que les arabes au gène J ne sont que 1% en Algérie et que les 99% restants sont berberes, que patati patata. Avec le hirak et les slogans et panneaux levés dans les marches, tous leur édifice propagandiste est tombé en ruines et la marche de djelfa aujourd'hui va finir de leur porter le coup de boutoir.

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            • #51
              dire: نُباح كلابٍ. La phrase est correcte.
              pas dans le contexte de ce zigoto...

              Un fainéant qui a copié la même phrase plusieurs fois
              Dernière modification par tawenza, 01 mai 2019, 21h36.

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              • #52
                les arabes ne sont pas strictement et uniquement en péninsule arabique. Les arabes sont, dominateurs, prévalents, maitres et majoritaires sur un espace allant du golfe persique à l’atlantique. Bédouin ?! J’en aurais été fier, heureux et glorieux. Les bédouins ont transporté et transmis des civilisations et des cultures, ils ont conquis des espaces et des territoires allant de l’atlantique au pacifique sur les trois continents. Les bédouins ont bougé et ont fait parler d’eux, pas comme les casaniers, enclavés et reclus qui sont restés cloitrés en hibernation pendant des millénaires l’historien al-ya3kubi, fonctionnaire abbasside et voyageur arabe contemporain de l’emir aghlabide ibrahim al-tamimi, visitant l’ifriqia (constantinois et tunisie et tripolitaine), il écrivait 2 siècles avant l’invasion arabe des banu hilal et banu sulaym : « les populations de l’ifriqia se composent : « d’arabes, de perses et d’autochtones composés de berbères, roum et afariq. Les berbères constituent la grande majorité de la population et parlent leur langue ; ils sont groupés en tribus indépendantes les unes des autres. Les descendants de byzantins « constituent des îlots aux flancs des aurès et dans la plaine de l’ifriqia. Les afariq reste des berbères romanisés, qui n’avaient pas encore embrassé l’islam, résident dans les anciennes places fortes byzantines souvent aux côtés des roums, et parlent un « berbère latinisé … ».


                notes et sources : Le mot « roum » désignait sans distinction, romains, vandales et grecs byzantins….les afariq sont en fait des libyco-phénicien, berbéro-puniques, les descendants des carthaginois christianisés …. Abou el abbas ahmed ibn yacoub dit al-ya3kubi de son « kitab el buldan ». Il mourut en 284 (897. J.c)

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                • #53
                  dans son ouvrage ‘’la civilisation des arabes’’, gustave le bon, estimait qu’il suffit d’un coup d'oeil sur un monument appartenant à une époque avancée de la civilisation arabe (palais, mosquée, objet quelconque, encrier, poignard, reliure d'un coran) pour constater que ces oeuvres sont tellement caractéristiques, qu'il n'y a jamais d'erreurs possible sur leur origine. Il peut y avoir une parenté avec l’art de byzance et de la perse, notamment si l’œuvre date de la deuxième période du califat de baghdad. Mais l’influence arabe reste très forte. L’art arabe des débuts de l’islam a été développé par les omeyades réfugiés en andalousie où ‘’un palais arabe, comme l'alhambra, avec son extérieur sans décoration, son intérieur brillant mais fragile, nous dit l'existence d'un peuple galant, ingénieux, superficiel, aimant la vie intérieure, ne songeant qu'à l'heure présente et abandonnant l'avenir à dieu. ...rien n'est plus clairement écrit que ce qui est écrit en pierre’’. Mais dans les oeuvres d'art, il n'y pas que la pierre qui parle : Toute oeuvre plastique parle également à qui sait l'entendre. Les oeuvres d'art de détail aussi humbles soient-elles : Vase à puiser de l'eau, poignard, meuble et tous ces mille objets où l'art se mélange à l'industrie peuvent figurer parmi les plus sûrs documents que puissent utiliser les historiens qui ne se contentent pas d’une banale énumération de batailles, de généalogies et d'intrigues diplomatiques. Au maghreb, le développement de l’art sous les dynasties berbères confirme les conclusions fournies par l’étude des mosquées, madrassa et citadelles en orient. A priori les almoravides, nomades berbères, rustres, dans l’évolution de l’art musulman d’occident n’étaient pas disposés à laisser des traces durables dans la pierre. Et pourtant il y a 1’art typique almoravide qui a commencé à se développer dès leur arrivée au pouvoir au 11° s. A cette période, l’art andalou se résumait à l’aljaféria de saragosse. Les recherches à murcie et à malaga permettent de saisir la beauté de cet art et d’en soupçonner la profonde unité. En afrique du nord, l’art almoravide n’était connu que par la grande mosquée de tlemcen, et celle d’alger. Il y eut par la suite la découverte à marrakech de la koubba d’ali b. Youssef, et l’étude de forteresses inédites ou mal connues, et l’attribution du minbar de la koutoubiya aux émirs almoravide. La révélation de tous les trésors décoratifs de la mosquée d’al qaraouiyn de fès permettent de juger de l’art des almoravides d’après des œuvres égales et parfois supérieures, en quantité comme en qualité, à celles qui avaient été révélées sur l’art des califes almohades qui leur succédèrent au xiie siècle. Les sanhaja au voile (lemtouna, goddala, messoufa) héritaient des traditions artistiques des berbères sahariens, restées à l’écart de toute influence arabe après l’islamisation des berbères. Selon henri terrasse, «les architectures sommaires (pisé et pierre sèche) étaient fort inférieures à celles du maghreb et a fortiori de l’espagne. Leur décor consistait en un ornement géométrique rectiligne des arts familiaux berbères. Le décor monumental de l’islam n’avait pas dû les toucher. C’est d’espagne qu’on fit venir toutes sculptées les stèles destinées à marquer, au sénégal, la tombe des grands chefs, faute d’ateliers locaux capables de tailler et de décorer la pierre. Les almoravides n’apportèrent avec eux que leurs goûts et leurs aptitudes artistiques, sans traditions architecturales et décoratives capables de former le fond premier de leur art dynastique et impérial».
                  ces réformateurs religieux sont arrivés du sud en champions de l’orthodoxie malékite, dans un maghreb où le sunnisme malékite triomphaient, puis dans une espagne qui avait depuis longtemps rejeté toute hérésie et qui ne comprenait guère que des malékites. Aucune raison spirituelle, aucun scrupule religieux ne pouvaient les empêcher d’adopter les formes de vie et la civilisation musulmane que leurs conquêtes allaient leur faire découvrir. Les forteresses et mosquées des almoravides mêlent des formes et des techniques venues d’andalousie à des traditions proprement africaines, souvent venues de l’ifriqiya des zirides et des hammadides… dès que l’espagne musulmane sera incorporée à l’empire almoravide, l’art de la péninsule va se répandre au maghreb, dans les architectures civile et militaire.
                  . Aucun peuple n'a dépassé, à ce point de vue, les arabes."
                  dans toute civilisation la vocation de l’homme est de participer à la création, notamment dans le domaine de l’art, grâce à son imagination créatrice, qualifiée de faculté de « surhumanité ». A cet égard, l’homme se définit par l’ensemble des tendances ki l poussent à dépasser l’humaine condition. On dit que l’homme est homme dans la proportion où il est surhomme.

                  Cela est valable pour l’art arabo-musulman où la dimension religieuse est prégnante.
                  Extraits de "la civilisation des arabes par gustave le bon.

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                  • #54
                    Ya djma3a ,il n ya pas de projet politique viable dans la haine de soi et dans la haine de l'autre.
                    Dernière modification par xenon, 02 mai 2019, 00h19.
                    ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
                    On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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