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De la forme exacte de la Revelation du Coran au Prohete (qlpssl)

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  • #31
    Il ne s'agissait pas des non arabophones mais bel et bien des arabophones qui ne prononçaient pas de la même façon mais aussi n'en donnaient pas la même interprétation et c'est pour cela qu'Othman avait demandé à ce que tous les Coran precedents soient détruits. Mais le problème continue même aujourd'hui.
    oui, ils ne pronnonçaient pas de la même façon, c'est vrai

    ça n'est pas les "corans précédents" qui ont été détruits, se sont les annotations perso des Compagnons pour qu'il n'y ait pas d'amalgame.

    Surtout qu'une seule copie de référence existait sous Abu Bakr

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    • #32
      "pour rendre le texte plus lisible notamment aux non arabophones"

      tu vois zwina, je viens de faire une phrase en français, a priori tu n'as ni problème d'orthographe ni de grammaire, et pourtant tu viens d'en faire une mauvaise interpétation. pas toujours aisé de comprendre exactement la pensée de l'autre.
      je n'ai jamais dis que les corrections faites, l'on été uniquement pour les non arabophones, mais en grande partie pour eux, afin de leurs en faciliter la lecture.

      si divergence d'interpétation il y a, cela vient des différentes compréhensions d'un même texte, d'un même mot.

      Explique moi par exemple pour les successeurs pourquoi des savants disent que ce sont les compagnons et d'autres que c'est la descendance du Prophète ?

      puisque tu sembles insister sur ce détail je voulais juste corriger un point, l'histoire de la succession du prophéte n'a rien a voir avec le Coran ou son interpétation, les compagnons du prophéte ne se sont pas basés sur le Coran pour décider qu'Abu baker lui succéderait, mais plus sur l'attitude du prophéte qui avait une grande confiance en ce compagnon de la 1ère heure.
      d'autres on estimés que la succession devait se faire dans la famille du prophéte....
      mais là il ne s'agit pas d'interprétation de texte écrit.
      ne dépense pas deux mots, si un seul te suffit.

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      • #33
        ça n'est pas les "corans précédents" qui ont été détruits, se sont les annotations perso des Compagnons pour qu'il n'y ait pas d'amalgame.
        Faux ce sont bel et bien les précedentes version du Coran, les differents parchemins datant de l'époque du Prophète.
        Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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        • #34
          Serigina

          Pourtant la succession et surtout ceux qui sont les représentants des musulmans du monde doivent forcement avoir des versets clairs qui y sont consacrés. D'ailleurs tous les groupes musulmans s'appuient sur des versets ou hadiths pour confirmer leur bonne interprétation avec l'aval de savants exegètes du Coran qui parlent tous parfaitement l'arabe. Pourtant nous savons tous qu'il n'y a qu'un seul groupe qui a raison mais nul aujourd'hui n'est capable de dire lequel avec certitude.
          Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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          • #35
            Harrachi

            Cherche !!!!
            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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            • #36
              Zwina

              mais enfin, il n'existe qu'une seule version du Coran!!!!!!!!!!!

              cela étant on a effectué plusieurs copies d'une seule et même version.

              Il existait plusieurs versets eparpillées et on les a rassemblés (écrits sur homoplates de chameaux...) que les léttrés parmi les Compagnons ont rédigé.

              c'est Zayd Ibn Thabît qui s'en est chargé (récupérer tous ces versets, écrits et les a rassemblé avec un fil et tout et tout)

              Il y avait pas de cahier et livre comme aujourd'hui ! mais des feuillets qu'on a rassemblé

              Je donnerais inchallah + d'infos, car je parles de mémoire et je préciserais.

              On a rassemblé le Coran et détruits les annotations perso des Compagnons pour pas qu'il y ait d'amalgame.

              Quelles sont tes sources ?

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              • #37
                @zwina

                ... Cherche !!!!

                Pourquoi donc ? Tu ne peut meme pas trouver des choses que tu affirmes toi-meme ... Et dire que tu parles si souvent de mensonge de trucs du genre !!!! Quelle menteuse !!!!

                Citation de Zwina:
                La version originelle était certainement dans une langue pure mais il suffit aujourd'hui de prendre deux Coran l'un édité à la Mecque et l'autre en Egypte pour se rendre compte qu'il y a un réel problème et que l'arabe d'aujourd'hui n'a rien à voir avec la langue qu'Allah a utilisé.
                Incapabale d'illsurer une chose aussi grave ! ... Quelle "musulmane"
                Dernière modification par Harrachi78, 15 juin 2007, 13h51.
                "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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                • #38
                  Il aurait été intéressant de comparer les différentes versions si elles n'avaient pas été détruites pour savoir laquelle des deux versions orientale ( Arabie SAOUDITE ) ou occidentale ( AL-AZHAR ) se rapproche le plus de la version originelle qui avait été transmise par voie orale à Mohamed.
                  Tu ne peux pas les comparer elles ont été brulées. C'est Othmane qui s'en est chargé. D'ailleurs la version actuelle s'appelle "Al masshaf el othmani". On raconte qu'une version portant les traces de son sang est encore conservée? Ce fut un lutte sanglante pour le contrôle du pouvoir et le livre qui symbolise ce pouvoir. Le Coran.

                  cela ne change rien au caractère divin du message coranique, mais dire que la version actuelle est mot à mot ce qui a été dicté par le prophète cela me semble impossible.

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                  • #39
                    zwina

                    tu sembles un peu mélanger les choses.

                    il n y a pas de verset explicite concernant la succession du prophéte, pas plus qu'il n'y a de hadith réglant le problème entrainé par la disparition du prophéte.

                    certains comme les ansars, à l'époque s'étaient certes appuyés sur des versets du coran, mais uniquement pour tirer des arguments qui auraient pu légitimer une éventuelle succession dans leur clan.

                    mais encore une fois là, on est loin de considération linguistique.
                    ne dépense pas deux mots, si un seul te suffit.

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                    • #40
                      Sharize

                      C'est justement Zayd Ibn Thabît l'un des auteur de ces precedents parchemins qu'il a rédigé à l'époque du prophète et c'est pour cette raison qu'Othman lui avait demandé de participer à cette commission. Ce n'était pas seulement les annotations des compagnons mais bel et bien les paroles du Prophète.
                      Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                      • #41
                        Harrachi

                        Prend tes billes et va jouer ailleurs et met à la poubelle ce que tu as sur ton bureau
                        Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

                        Commentaire


                        • #42
                          c'est de pire en pire

                          t'es-sûre que tu es musulmane ?

                          Commentaire


                          • #43
                            Sharize

                            Certainement au moins autant que toi car si tu ne sais même pas que c'est Zayd Ibn Thabît qui était l'un des scribes du Prophète je ne peux pas grand chose pour toi.....

                            On rapporte qu’Ibn `Abbâs dit : "Lorsqu’une sourate était révélée, le Messager d’Allâh — paix et bénédictions d’Allâh sur lui — faisait venir quelque scribe et disait : placez cette sourate à l’endroit où l’on dit telle et telle chose." On rapporte que Zayd Ibn Thâbit dit : "Nous avions pour habitude de colliger le Coran à partir des feuillets chez le Messager d’Allâh — paix et bénédictions d’Allâh sur lui". Colliger le Coran à partir des feuillets c’est le fait de mettre chaque verset dans l’ordre dans la sourate correspondante sur les consignes du Prophète — paix et bénédictions d’Allâh sur lui. Cet ordre était arrêté par Gabriel — paix sur lui. En effet, on rapporte que Gabriel — paix sur lui — disait : "mettez tel verset à tel emplacement". Sans aucun doute, Gabriel ne s’exprimait dans ce domaine que sur les ordres d’Allâh — Glorifié soit-Il — car il est le dépositaire de la révélation céleste. Le Très Haut dit : "L’Esprit fidèle est descendu avec lui sur ton coeur afin que tu sois du nombre des avertisseurs" [verset 26:193:194].
                            Dernière modification par zwina, 15 juin 2007, 14h28.
                            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

                            Commentaire


                            • #44
                              Certainement au moins autant que toi car si tu ne sais même pas que c'est Zayd Ibn Thabît qui était l'un des scribes du Prophète je ne peux pas grand chose pour toi.....Aujourd'hui 15h11
                              où tu vois que je connais pas Zayd Ibn Thabît ?

                              c'est de pire en pire,

                              quand on a pas d'argument sort tes sources d'abord

                              Commentaire


                              • #45
                                Le Coran à l’époque de `Uthmân

                                L’expansion des conquêtes
                                Les conquêtes s’étendirent pendant le caliphat de `Uthmân - que Dieu l’agrée. Ce dernier autorisa les qurayshites à s’installer dans les diverses contrées musulmanes, chose que `Umar leur avait interdite leur demandant de rester auprès de lui à Médine. Ainsi les habitants de chaque contrée s’instruisirent-ils auprès d’un maître-récitateur : Les habitants de la Syrie et de Hims s’instruisirent auprès d’Al-Miqdâd Ibn Al-Aswad, les habitants de Kûfah s’instruisirent auprès d’Ibn Mas`ûd, ceux de Basora auprès d’Abû Musâ Al-Ash`arî - dont ils appelaient le mushaf [1] lubâb al-qulûb [2]- et de nombreux habitants de la Syrie récitèrent à la façon de Ubayy Ibn Ka`b. [3]

                                Ils avaient alors diverses manières de réciter le Coran selon les différents modes dans lesquels il avait été révélé. Les gens différèrent alors dans la récitation et leurs divergences grandirent au point que l’un dise à son compagnon : "Ma récitation est meilleure que la tienne." La discorde n’était pas loin : "Ils divergèrent et se disputèrent, les uns reniant les autres, les désavouant et les damnant."
                                Al-Hâfidh [Ibn Hajar] rapporte : "En Irak, lorsque certaines personnes entendaient une récitation différente de la leur disaient : ’Je renie celle-là.’ et ceci se répandit si bien qu’on en référa à `Uthmân."

                                Les raisons de la compilation du mushaf par `Uthmân
                                Diverses narrations exposent les raisons qui poussèrent `Uthmân à compiler le mushaf :

                                Certaines narrations indiquent que `Uthmân prit cette décision en voyant les divergences entre les instituteurs du Coran et leur sectarisme pour la récitation qu’ils avaient apprise et leur désapprobation des autres formes.

                                Ainsi, Ibn Abî Dâwûd rapporte dans Al-Masâhif qu’après l’avènement du caliphat de `Uthmân, tel instituteur enseignait la récitation de tel maître et tel autre instituteur enseignait la récitation de tel autre maître, si bien que les enfants se rencontraient et se disputaient. L’affaire arriva au niveau des musulmans qui commencèrent à s’anathémiser mutuellement. Lorsque `Uthmân fut informé de la situation, il dit dans un sermon : "Si, à mes côtés, vous divergez, alors a fortiori les habitants des autres contrées divergent encore plus."


                                Certaines narrations indiquent que le Coran fut compilé sur le conseil de Hudhayfah Ibn Al-Yamân lorsqu’il vit le désaccord des gens en Irak.

                                Selon une narration, Hudhayfah fut témoin de ce sectarisme dans la Mosquée de Kûfah, une province de l’Irak.

                                Ibn Abî Dâwûd rapporte que, de passage dans l’une des mosquées de Kûfah, du temps du gouvernorat d’Al-Walîd Ibn `Uqbah Ibn Abî Mu`ayt, Hudhayfah entendit un homme parler de la récitation d’Ibn Mas`ûd et un autre parler de celle d’Abû Mûsâ. Il se leva alors et donna un prêche : "C’est de cette manière que les nations passées ont divergé. Par Allâh, je m’en vais voir le Prince des Croyants."

                                Al-Hâfidh [Ibn Hajar] rapporte dans une narration que `Uthmân dit : "Vous doutez du Coran et dîtes : ’la récitation de Ubayy, la récitation de `Abdullâh’, et d’autres disent à autrui : ’Par Allâh, nous ne considérons pas ta récitation.’"


                                D’autres narrations encore indiquent que la raison de la compilation est la rencontre de groupes de différentes contrées à l’occasion des conquêtes et du jihâd et leur découverte de diverses récitations, leur étonnement à leur sujet et leur désapprobation des variations des styles de récitation du Coran, l’étonnement se transformant en suspicion, puis en accusation et en dispute. La nouvelle arriva à `Uthmân qui décida alors de compiler le Coran.

                                Al-Bukhârî rapporte dans son Sahîh selon une chaîne de transmission remontant à Ibn Shihâb que Anas Ibn Mâlik lui dit que Hudhayfah Ibn Al-Yamân, en provenance du front d’Arménie et d’Azerbaïdjan où il combattait avec les troupes d’Irak, inquiété par leurs différends à propos de la récitation, alla voir `Uthmân et lui dit : "Ô Prince des Croyants ! Fais quelque chose avant que cette oummah ne se divise au sujet du Livre comme les juifs et les chrétiens !" `Uthmân envoya un émissaire à Hafsah avec pour message : "Envoie-nous les parchemins afin que nous les recopiions dans les codex, puis ils te seront restitués." Hafsah envoya les parchemins à `Uthmân qui ordonna à Zayd Ibn Thâbit, `Abdullâh Ibn Az-Zubayr, Sa`îd Ibn Al-`Âs et `Abd Ar-Rahmân Ibn Al-Hârith Ibn Hishâm de les recopier dans les codex. Il dit aux trois qurayshites : "Si vous divergez avec Zayd Ibn Thâbit sur quelque chose dans le Coran, inscrivez-le selon la langue de Quraysh car il a été révélé dans cette langue. Lorsqu’ils eurent achevé la copie des parchemins dans les codex, `Uthmân restitua les parchemins à Hafsah et envoya dans chacune des grandes régions l’un des codex ainsi copiés et ordonna que soit brûlé tout autre support du Coran que ce soit un parchemin ou un codex. [5]

                                source : islamophile
                                Dernière modification par zwina, 15 juin 2007, 14h23.
                                Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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