"Ils" on dit
Ils ont dit que mon ombre tremblait
Que glacé par les parois rougies
D'un corridor d'espoir illuminé
Par une et milles étincelles
L'espoir s'enfuit, l'espoir est rebel
Ils ont dit que je ne méritait pas
Les soupes boueuses assaisonnées
De poignards plongé dans les lendemains
Où assassine l'envie de revivre
Les champs d'herbes allongé et idiot
Ils ont dit, que j'etait mort
Le corps gisant sur l'océan orangé
D'un soleil noyé dans les peaux terreuses
D'un cadavre exsangue...
La blancheur du coton me va bien
C'est ce qu'ils dirent de moi...
Ils ont dit, que je devrait être loin
Des êtres humains, que je devrait
Être mammifère taciturne et grave
Avec une haine honorifique
A mon âme épinglé....
La légion d'horreur
Ils ont dit que ma mère était
Un accessoire servant a allaité
Le monstre que je devait devenir
Mais veuillez pardonner mes envies de fuir
Ceux la sont les camarades d'enfance
Ceux qui noyé dans l'intolérance
M'ont transformé en une laideur invincible
Mes visages troublés dans les brouillards
Je serait tout ce que vous avez prédît
Mais aussi tout a fait vos contraire...
A mes ennemis, que dieu vous garde
Et que le diable vous garde encore plus prés
Je dit "Dans les poitrine où pousse l'automne,
L'enfer ne fait pas long feu"
Chaarar,
Ils ont dit que mon ombre tremblait
Que glacé par les parois rougies
D'un corridor d'espoir illuminé
Par une et milles étincelles
L'espoir s'enfuit, l'espoir est rebel
Ils ont dit que je ne méritait pas
Les soupes boueuses assaisonnées
De poignards plongé dans les lendemains
Où assassine l'envie de revivre
Les champs d'herbes allongé et idiot
Ils ont dit, que j'etait mort
Le corps gisant sur l'océan orangé
D'un soleil noyé dans les peaux terreuses
D'un cadavre exsangue...
La blancheur du coton me va bien
C'est ce qu'ils dirent de moi...
Ils ont dit, que je devrait être loin
Des êtres humains, que je devrait
Être mammifère taciturne et grave
Avec une haine honorifique
A mon âme épinglé....
La légion d'horreur
Ils ont dit que ma mère était
Un accessoire servant a allaité
Le monstre que je devait devenir
Mais veuillez pardonner mes envies de fuir
Ceux la sont les camarades d'enfance
Ceux qui noyé dans l'intolérance
M'ont transformé en une laideur invincible
Mes visages troublés dans les brouillards
Je serait tout ce que vous avez prédît
Mais aussi tout a fait vos contraire...
A mes ennemis, que dieu vous garde
Et que le diable vous garde encore plus prés
Je dit "Dans les poitrine où pousse l'automne,
L'enfer ne fait pas long feu"
Chaarar,
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