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"Ils" on dit

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  • "Ils" on dit

    "Ils" on dit


    Ils ont dit que mon ombre tremblait
    Que glacé par les parois rougies
    D'un corridor d'espoir illuminé
    Par une et milles étincelles
    L'espoir s'enfuit, l'espoir est rebel

    Ils ont dit que je ne méritait pas
    Les soupes boueuses assaisonnées
    De poignards plongé dans les lendemains
    Où assassine l'envie de revivre
    Les champs d'herbes allongé et idiot

    Ils ont dit, que j'etait mort
    Le corps gisant sur l'océan orangé
    D'un soleil noyé dans les peaux terreuses
    D'un cadavre exsangue...
    La blancheur du coton me va bien
    C'est ce qu'ils dirent de moi...

    Ils ont dit, que je devrait être loin
    Des êtres humains, que je devrait
    Être mammifère taciturne et grave
    Avec une haine honorifique
    A mon âme épinglé....
    La légion d'horreur

    Ils ont dit que ma mère était
    Un accessoire servant a allaité
    Le monstre que je devait devenir
    Mais veuillez pardonner mes envies de fuir

    Ceux la sont les camarades d'enfance
    Ceux qui noyé dans l'intolérance
    M'ont transformé en une laideur invincible
    Mes visages troublés dans les brouillards
    Je serait tout ce que vous avez prédît

    Mais aussi tout a fait vos contraire...

    A mes ennemis, que dieu vous garde
    Et que le diable vous garde encore plus prés


    Je dit "Dans les poitrine où pousse l'automne,
    L'enfer ne fait pas long feu"

    Chaarar,
    Je n'ai que mes mots pour pleurer...

  • #2
    Beau, sombre et dur tels les amis devenus "ennemis"
    Merci Chaarar

    .
    **Souvent imitée jamais égalée **
    Mi ange - Mi démon

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    • #3
      Ils n'ont pas tout dit...
      Et moi je dis,que j'ai été surpris par la force des mots et la colère qui domine dans ton texte et qui est ressentie dès les premiers vers.
      Merci pour ce partage.
      Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

      Commentaire


      • #4

        ils disent tout ce qu'ils veulent
        mais ton âme personne ne la vole!
        que leurs cœurs comblaient de haine
        qu'ils sèment à en faire peine!
        quel malheur ! ont jamais connus l'amour sur terre
        Qu’à l’éternelle leurs haine les brulera en enfer!

        merci chaarar pour cet écrit, très parlant!
        une chose n'a pas de valeur parce qu'elle est chère, mais elle est chère parce qu'elle a une valeur!

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        • #5
          Angéle Oui chaque ami est un ennemi potentiel, et chaque ennemi est un potentiel ami...il faut donc se méfier de leurs mots blessant a notre égart, merci d'être passer par la


          Zacmako La force était nécessaire, pour propulsé cela au dehors, mais je sais qu'il y a ici d'authentiques poète pour recevoir cela

          Mirages Merci de ton soutien par ces jolis vers, que j'apprécie a leurs juste valeur. merci de ton passage par ici
          Je n'ai que mes mots pour pleurer...

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          • #6
            Bonjour,
            je n'ai rien d'un poéte meme pas apprenti mais je crois entrevoir que cette force s'apparente plus à une "boule de force" qui grandit, nourrie par les "autres", et elle est plus subtile dans le sens qu'à son intensité n'est égale que sa froideur et son calme... comme d'un trou noir dans l'univers qui n'est détectable qu'indirectement tellement il est ne laisse rien paraître de lui... même pas un rayon de lumière qui trahirait son énergie...

            pardonnez mon intrusion, j'éspere que je ne pollue pas le topic, j'essaie de m'habituer à comprendre ces écrits, et rien de tel que d'essayer de décrir comment je perçoit l'idée qui en émane. . c'est nouveau pour moi.

            tes mots sont agréablement arrangés, espérant découvrir d'autres et d'autres "arrangeurs" bon courage... salut ^^
            ----| GLP © production 1886 - 2016 . All rights reserved |----

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            • #7
              Pas de problèmes GLP, laisse toi aussi tes mots vogué...analyse, puise, la poésie est un puits sans fond...et cela ne me déplait pas, au contraire

              Quant a ce que tu écrit
              "boule de force" qui grandit, nourrie par les "autres", et elle est plus subtile dans le sens qu'à son intensité n'est égale que sa froideur et son calme...
              C'est absolument vrai, mon écriture est souvent machinale comme une séance d'exorcisme...j'évacue...
              Je n'ai que mes mots pour pleurer...

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