Pendule !
Rythmes cette nuit blanche
Désertée par le sommeil
Je tends les bras je fais la manche
Mes yeux ardents guettent son réveil
Ma main posée sur sa hanche
Sa douce halène sur mon front
Même clos ses yeux pervenches
Illuminent le firmament
Mes yeux avalent sa présence
Mon cœur se frotte à son âme
Ils ont si peur de son absence
Elle est leurs lumière ; et leur flamme
Pendule !
Gardien de l’aquarelle
Qui se dessine sur ces draps blancs
Que cette beauté soit éternelle
Que nulle ride ne touche son front
Amen.
Rythmes cette nuit blanche
Désertée par le sommeil
Je tends les bras je fais la manche
Mes yeux ardents guettent son réveil
Ma main posée sur sa hanche
Sa douce halène sur mon front
Même clos ses yeux pervenches
Illuminent le firmament
Mes yeux avalent sa présence
Mon cœur se frotte à son âme
Ils ont si peur de son absence
Elle est leurs lumière ; et leur flamme
Pendule !
Gardien de l’aquarelle
Qui se dessine sur ces draps blancs
Que cette beauté soit éternelle
Que nulle ride ne touche son front
Amen.
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