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Graffiti poetiques

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  • Graffiti poetiques

    Chers amis poètes et poétesses
    J’entends par l’ouverture de cette discussion une invitation à vous tous , sans exception, à gravé vos Graffiti les plus intimes, les plus rebelles et les plus beaux ; dans toutes les langues qui vous viennent.

    La beauté des Graffiti poétiques, pour moi, réside dans leur capacité d’exprimer nos idées et sentiments les plus insistants ou intimes par un minimum de mots.

    Faites partager les vôtres, me amis. Faites vous dévoilé dans ce style simple-impossible.

    et n'oubliez pas , l'intelligence d'un graffiti repose sur sa spontanéité et son pouvoir de dire beaucoup en seulement quelques vers...

    Good luck

    ------------------------------------

    (Graffiti 0 ) Pour débuter la chronologie

    Nude, the time’s wall
    is just waiting for you,
    deep poets from the deep society

    The only way to testify a Graffiti
    is to add another one
    just beside it..

    Can you imagine walls
    wearing innocent clandestine claims ?!

    Doomed to disappear
    at the first coming painting,
    your Graffiti will be always in hurry!
    It doesn’t have any rule,
    spontaneity is the only one..


    === MODERATION ===
    Consacrez un topic pour chaque poème SVP : http://www.algerie-dz.com/forums/faq...edaction_topic
    Dernière modification par omar elkhiam, 07 novembre 2009, 21h57.

  • #2
    Graffiti 1

    Graffiti 1


    أحببت الكتابة عل الجدران حينا
    ثم أدمنت إحراق كل ما أكتب
    فلا تعجبوا إن وجدتموني يوما متلبسا بتهمة إحراق المدينة؟


    ( على بطاقة التعريف ، مقابل علامات خصوصية)
    Dernière modification par omar elkhiam, 08 novembre 2009, 20h45.

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    • #3
      Néant :

      Carence d'amour, Hantise du néant
      Pleuvent des tourments
      C'est dans ces soirs traînards
      Qu'on risque de s'enrhumer..




      Commentaire


      • #4
        Graffiti.

        Sans origine, sans parole et sans coeur,
        Poussière issue d’une mauvaise graine,
        Qu’une toute petite brise passagère,
        Malmène et disperse au quatre points cardinaux,
        Vers l’Asie leur origine incertaine,
        Ces êtres fonctionnent à la bière brune,
        Et, complètement, bourrés et cerveaux gelés,
        Mentir, promettre et ne pas tenir,
        C’est leur nourriture vitale d’origine,
        Gigotant leur fesses difformes,
        Par Webcam, interposé, sur l’autre rive,
        Factice étendard d’amour moribond,
        Leur « Je t’aime » faux et prolixe,
        En graffiti, jeter, pour vous éblouir.
        Yeux brides dont elles sont peu fieres
        Cachant leur intention mesquine,
        De blesser en traîtrise les âmes pures,
        Laissant les cœurs saignants,
        Et les yeux , rouges, affolés de leurs victimes,

        "C’est la rivière qui apporte dans son cours l’espoir aux chercheurs d’or…Elle n’attend jamais de ces derniers qu’ils en remettent dans le sien" (r.b)

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        • #5
          Pardonne-moi feuille

          Pardonne-moi feuille
          Je t’ai alourdi par mes mots…

          Avant tu étais blanche et vierge
          Le cœur a sombré ton image
          Et le temps décompte ton age…

          Tu as accepté mes lettres et mes messages
          Tu gardes mes vers et tu protéges son visage
          Dans le rêves tu me rappel le rivage….

          Quand j’égare par les vagues d’orages
          Dans les bras de l’océan je suis otage
          Au dessus, le ciel est escorté par les nuages…

          Pardonne-moi feuille
          Laisse ma plume pour la dernière fois
          T’encrer par mes parfums des roses
          Laisse la t’arroser par l’amour d’été
          Et te décrire son charme dans mes fées..

          Sur ton do j’orthographie les strophes mussent
          Par aubaine je l’ai trouvé sur mon chemin
          Elle tirade sur mes scènes algarades..
          Elle chante l’amour comme un oiseau-lyre..

          Au ciel son image lumineuse apparaître
          Sa lumière m’aveugle les yeux
          Par ses rayons qui propagent dans l’éther.
          La lune danse autour de la terre et
          L’homme attend l’âme sœur……

          Le cœur plein est affleuré…
          Encore de l’amour il implore
          À la revoyure feuille ainsi jour je moissonnerai
          Cet amour pur qui dans ton cœur serein..


          الجمرة لي كوتني طفت ... الدم في الجرح مازالو يسر.
          .
          Ule yuchur ivgha idusfegh
          Dh-iggeni imslaynis thuguithen tayri
          Thafatim aveghighs dh-aliw ishadaregh..
          Quand on aime, ou bien l’on n’a point de peine, ou bien l’on aime jusqu'à sa peine.
          Saint augustin

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          • #6
            Graffiti 2

            No comment” is a great saying
            if we could hear
            but the centuries took noise as language
            since the history’s dawn



            (sur une bannière publicitaire au cœur de la ville)




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            • #7
              Graffiti 54

              عذرا يا صديقي ان حدثتك طويلا دون ان اعنيك
              فاصبع الاتهام لدي مبتور
              !..رغم اني اعيش وسط بحر من الضحايا



              Sur un arbre au jardin d’essais
              Dernière modification par omar elkhiam, 07 novembre 2009, 22h55.

              Commentaire


              • #8
                …Cœur primaire…
                être de fissures…
                évolution d’usure…

                Commentaire


                • #9
                  …marathon sur boue…
                  …il bégaye sur son parcours…
                  ...au-delà du rouleau…

                  Commentaire


                  • #10
                    ...jour d’automne …
                    …pluie d'hiver…
                    …dans ma nuit…

                    Commentaire


                    • #11
                      Graffiti 5

                      Réalité

                      Voyageuse sans répit
                      Vers tes pays de merveilles
                      Dis-moi comment rejoindre
                      Les matins de tes vergers !
                      Sans parler du visa,
                      Je n'ai même pas le passeport
                      Je suis sujet de mon âpre réalité !

                      Commentaire


                      • #12
                        Graffiti 5 : Réalité

                        Voyageuse sans répit [/font]
                        Vers tes pays de merveilles
                        Dis-moi comment rejoindre
                        Les matins de tes vergers !
                        Sans parler du visa,
                        Je n'ai même pas le passeport
                        Je suis sujet de mon âpre réalité


                        ______________________________________(Sur le mure d'un clandestin)

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