Bonjour à tous,
Belles proses que vos poêmes, le plaisir est là, le ressenti aussi et c'est dans cet esprit que je me risque à un petit essai qui pourra se lire de moult façons selon son inspiration, en vous souhaitant bonne lecture :wink:
Un grand merci à Mysterieuse pour ses encouragements et me voilà dans des vers en air
:wink:
Au plaisir de vous lire encore.
Qu'il plaise au temps....
Un jour,
Par delà les océans imbriqués aux astres
Par delà les sentiments chauds dans l'âtre
Le coeur gonflant d'amour et battre
La mesure au rythme de l'idolâtre.
Et,
Cette lumiere traversant mon coeur
Telle une lueur éclairant mon heure
D'un épais nuage, entier de bonheur
Carressant mon être de sa douceur.
Oui,
C'était elle, rien à parcourir
De ma chair, à la ressentir
De mon coeur à la découvrir
Tous en choeur, à la chérir.
Pour sûr,
Incipit de mon histoire, elle le fut
Je le savais, je l'eu reconnue
De ses doigts qui ont parcouru
Le livre de ma vie longue, à vue.
...
Elle, comment dire... si belle
Elle, dans mon coeur et fontanelle
Elle, dans l'amour, parfois rebelle
Elle, en qui resonne mon appel.
Et,
Nous prendrons nos désirs pour très purs
Nous vivrons notre histoire jusqu'à la mûre
Si la ferrure fend la robe de bure
C'est dans la soie que ses cambrures.
Combien,
Notre vie sera débattue avec hargne
Nos fruits défendus sans épargne
Notre regard couvrant de son pagne
Nos doux moments de nos montagnes.
D'autres,
Ne seront pas tendres, pas d'égard
Ni pour elle, encore moi au hasard
Tels des affamés aux yeux hagards
Achevant tout de leurs regards.
Ne voulant,
Ni faire dériver notre lit en quille
De son ombre à en dessiner la lie
Ni voir la nuit tomber sur notre lit,
Que nous deux, émergence de vie.
Admettre,
Notre bonheur, à en être ravis
En le parcourant tèl que jadis
Qu'en chaque instant de notre vie
Est un renouveau, pas un sursit
Finiront
Le temps des blessures, restera à parcourir
Un renouveau, hymne ne serait-ce bien pire.
Sur le fil de notre histoire, restera à inscrire
Notre bonheur, que les roses ne sauraient flétrir.
Loin,
Du coeur, émoi toujours en minèrve
Emane la tendance ivre et dans la verve
Fin du solipsisme, livre des verbes
Pour la vie, au delà des océans acerbes.
De tous,
Que s'élève ce lumignon tamisé
Par la couleur longtemps admirée
Et nous, toujours emerveillés
Par la clarté d'un ciel imbriqué
Bien à vous :wink:
Belles proses que vos poêmes, le plaisir est là, le ressenti aussi et c'est dans cet esprit que je me risque à un petit essai qui pourra se lire de moult façons selon son inspiration, en vous souhaitant bonne lecture :wink:
Un grand merci à Mysterieuse pour ses encouragements et me voilà dans des vers en air

Au plaisir de vous lire encore.
Qu'il plaise au temps....
Un jour,
Par delà les océans imbriqués aux astres
Par delà les sentiments chauds dans l'âtre
Le coeur gonflant d'amour et battre
La mesure au rythme de l'idolâtre.
Et,
Cette lumiere traversant mon coeur
Telle une lueur éclairant mon heure
D'un épais nuage, entier de bonheur
Carressant mon être de sa douceur.
Oui,
C'était elle, rien à parcourir
De ma chair, à la ressentir
De mon coeur à la découvrir
Tous en choeur, à la chérir.
Pour sûr,
Incipit de mon histoire, elle le fut
Je le savais, je l'eu reconnue
De ses doigts qui ont parcouru
Le livre de ma vie longue, à vue.
...
Elle, comment dire... si belle
Elle, dans mon coeur et fontanelle
Elle, dans l'amour, parfois rebelle
Elle, en qui resonne mon appel.
Et,
Nous prendrons nos désirs pour très purs
Nous vivrons notre histoire jusqu'à la mûre
Si la ferrure fend la robe de bure
C'est dans la soie que ses cambrures.
Combien,
Notre vie sera débattue avec hargne
Nos fruits défendus sans épargne
Notre regard couvrant de son pagne
Nos doux moments de nos montagnes.
D'autres,
Ne seront pas tendres, pas d'égard
Ni pour elle, encore moi au hasard
Tels des affamés aux yeux hagards
Achevant tout de leurs regards.
Ne voulant,
Ni faire dériver notre lit en quille
De son ombre à en dessiner la lie
Ni voir la nuit tomber sur notre lit,
Que nous deux, émergence de vie.
Admettre,
Notre bonheur, à en être ravis
En le parcourant tèl que jadis
Qu'en chaque instant de notre vie
Est un renouveau, pas un sursit
Finiront
Le temps des blessures, restera à parcourir
Un renouveau, hymne ne serait-ce bien pire.
Sur le fil de notre histoire, restera à inscrire
Notre bonheur, que les roses ne sauraient flétrir.
Loin,
Du coeur, émoi toujours en minèrve
Emane la tendance ivre et dans la verve
Fin du solipsisme, livre des verbes
Pour la vie, au delà des océans acerbes.
De tous,
Que s'élève ce lumignon tamisé
Par la couleur longtemps admirée
Et nous, toujours emerveillés
Par la clarté d'un ciel imbriqué
Bien à vous :wink:
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