Bienvenue sur Forum Algérie, la communauté du site algerie-dz.com, votre fenêtre sur l'Algérie et le monde!
Pour avoir un accès total au forum algerie-dz.com, vous devez vous inscrire pour un compte gratuit. En tant que membre du forum, vous pourrez participer aux discussions, communiquer avec les autres membres et rejoindre le Club des Membres.
Si vous rencontrez des difficultés à vous inscrire ou à vous identifier sur Forum Algérie, n'hésitez pas à contacter l'équipe du support algerie-dz.com.
Est d'une beauté qui fait pleurer Merci Boucle d'Or
"Entre les murs dorés par léclat du soleil,esclave de mes rêves je n' ai pas dormi..............Ce matin je nai pu tenir dans mes mains ce que portent les cendres bleutées du ciel.Soumise aux bourreaux de la réalité,je ne voyais que la cime haute du monde de ma fenêtre.....jentendais les nuages mourir quelle douce agonie qui ma étreinte.La vie semblait plus belle sous les tombes où jenterrais les peurs que je ne pouvais fuir.
Prise de soudain sanglots,l'immense largeur de la baie de Bejaia m'appelait pour la contempler............. au large le vent beugle, rugit,siffle, râle et miaule,bondit à travers le vide tout blanc de baves furieuses....l'eau blême qu'il pourchasse et dissipe en buées mord,déchire,arrache et tranche les nuées par tronçons convulsifs où saigne un brusque éclair....
Il saisit, enveloppe et culbute dans l'air un tournoiement confus d'aigres cris et de plumes qu'il secoue et qu'il traîne aux crêtes des écumes et martelant le front massif de mes chaos de mes écrits ... mêle à mes hurlements leurs monstrueux sanglots...........et les vents infinis gémissent au travers,leil....prisonnière de l'ombre infranchissable,mon aimé,tu sommeilles couché dans les replis de mon sable.....
Ta douceur encore fraiche habite mes entrailles elle trouble la neige errante aux flancs de ma montagne,fait monter en choeur mes soupirs et ma voix
qui roulent dans mon sein vénérable sans lois........
Enfermée dans mon harem despérance de te revivre............. enchaînée à cet imaginaire jusquà lâme et l'abime cela me suffit,un bonheur illusoire car je n'ai besoin de trouver un sens à la folie qui danse comme l'eau et la flamme....folie au visage de lespoir qui se reflète prude...........le tien
Seul ta présence dans l'espace et ma baie sans rivages me rassure et m encourage,tu vole contre l'assaut des rafales sauvages.De tes ailes de fer rigidement tendues tu fend le tourbillon des rauques étendues,tu me console....
Et tandis que je divage...............près de moi tu viens reviens,tu passe,disparaît et reparait majestueusement.....je t'abrite dans mon coeur écumant et l'abîme primitif ruisselle lentement tes passages qui me brûlent au milieu de mes sanglots............
Au creux de mon oreille tu murmure ....
Viens,accours, ceinte de lotus blancs l'aurore aux belles mains, toi aux pieds étincelants,lies Lala Kalthoum à fatma n'sumer,vois nos arbres divins, les érables d'argent.......
je me calmer enfin.....
mon amour ton souvenir lumineux devant lui je m'incline,revêtu d'une robe de gloire leil te salue et ouvre devant toi mondes et merveilles.......
Descends sur le mirage et te couches,mon homme mon beau rivage.........resplendissant tu marches dans mon ciel à travers l'étendue et le temps éternel,toi qui habite ma terre robuste de Saldae au fin fond des harakta,tu demeures authentique..
Le fleuve fécondant de ma mémoire auguste siégé vers midi sur les brûlants sommets de la dent du lion enneigée en été..... protégeant à jamais ceux qui te chantent au bord des terres antiques ................
L'écho d'argent de ta voix sonne ma joie....et rien n'est plus doux au monde que de te revoir même illusoire,sous les bois profonds au pic de Lala Kalthoum au fin fond de ses cavernes ancestrales.............tes yeux si beaux sous leurs cils longs,étincelaient noir comme lébène,jeunesse innocence...aube adorable qui se lève sur la médina,tu était mon premier rêve qui fleurit au fond de mon coeur...............
Le souffle des tièdes nuées,effleurait, pour s'y parfumer,mes blondes tresses dénouées...et déjà tu reconnaissait à la grâce de mes mots...l'étoile du soir, blanche et délicate que tu éveillait au fond de ma Kabylie
tu m aspirais jusqu'a tes plus intimes désires,jusqu'au profondeurs de ton être devenu limpide.....j étais ta muse, et le reste me nourrissais de ta poésie,vivais de ta passion de ton amour.La magie des écrits dans ton être je m'y baignais,tu me redécouvrais d'une saveur inconnue,beauté reflétée par ton sourire le mien aussi...ta douceur aux milles caresses au frissons enivrantes du moindre de tes gestes,ton amour était une maladive attirance à la soif et à l'inconditionnelle envie un sentiment réciproque menant à la folie ....
aujourdhui dans les yeux qui ne savent plus rire,dans la prison dorée de mes bourreaux Je ne pourrais plus vivre des sentiments,loin de la chaleur loin de ton affection,je ne sens plus lamour sur ma peau et les rêves me montrent la couleur du sang.....et me remémore que par une nuit claire .... est devenue rouge,mille braves sont là qui dorment sans tombeaux courage au poing, les yeux vidés Pas un ne bouge....
Au-dessus me tourne et crie un vol de noir corbeaux surgissant de nul part......................le soleil froide verse au loin sa pâle flamme.leil se soulève entre les morts erre aucun sanglots...............
Appuyé des deux mains à tes tronçons..............la pourpre du massacre ruisselle dans les âmes......Parmi tant de joyeux et robustes garçons
qui ce matin riaient et chantaient à voix pleine dans l'épaisseur des buissons il
n'en reste aucun même pas toi....................
Tous sont muets maintenant..........je saigne comme eux mais encore vainement vivante...
Viens par ici, corbeau,ouvre-moi la poitrine de bec de tranchant..................Portes mon coeur tout chaud au fils des Auress ou les Harakta le pleurent encore..............Cherche mon mirage et porte-lui mon message au sommet d'El beida hanté par les corneilles
Tu le verras debout, fier au long burnous de soie deux anneaux d'argent fin lui encerclent le doigt,tu le reconnaitra a ses yeux plus clairs que l'astre des beaux soirs.........Vas, sombre corbeau,dis-lui bien que je l' aime,et que voici mon coeur...........qu' il est rouge et solide et non tremblant ou faible.......
Dis lui je vis, au plus haut de ma montagne, silencieuse impassible,plus froide que la neige éternelle,un spectre qui couve une inerte prunelle........
L'univers mort couché sous le désert majestueux et beau, son spectre bienveillant,image d autre fois........des rois berbères enfants des siècles d'or,Se dresse,tel qu'au temps où l' homme heureux encore Saluait leurs passage..... d'un libre et fier hommage.
Dis lui que ses flots brûlants et doux,volupté première qui portent nos baisers désirs immortelles,de la bouche d'un roi aux lèvres de sa bergère gardent encore leur parfum initial..........
le charme et l'horreur, le souvenir amer des pleurs sanglants après les heures de délice,tous les enivrements du céleste supplice que j ai connus resterons préservés,gardiens du premier et dernier élu le plus cher des amours, l'antique lauthentique par qui tout vit sans qui tout est mort.....
Dis lui que l'homme bêtes,bêtise humaine......par lui tout cela à été...qu il meurt ou se métamorphoses dans les siècles, qu'il fait naître et décompose ce qui n'est plus n'est tel que pour avoir été......À travers tous les temps splendides ou moroses, l'esprit rapide éclair en leur vol emporté,conçoit fatalement sa propre mort et se condamne au néant fatal des êtres et des choses.....qu'il a engendré
Dis lui mourir afin d'avoir été hors du tourbillon mystérieux des choses,j ai cherché au fond de sa tombe ma seule réalité...........sans lui qui n'est plus,rien n' aurait existé........
Dis lui que maintenant je comprends d'où lui vient l'or de ses vêtements,que joublierais mes craintes,mes cicatrices seront celles de ses résurrections revenu sous les traits deux petits êtres aux ailes toutes blanches,qui dans mon âme me rendent heureuse
Enrichie dun savoir nouveau,que les cactus fleurissent les nuits du désert là-bas dans son immensité......finalement,cette nuit blanche ne fut pas si désagréable." Boucle d'Or
19.09.2012
oui il faut laisser comme ça ... d'autant plus que si on corrige on commet des fautes graves et non des erreurs ... je me suis aperçu l'autre jour je n'avais pas bien lu et je pensais Leila alors que c'est Leil
Somewhere, one day the fates crossed themselves, we do not still emerge unscathed,Thank you for your kindness.It is an honor to discuss with you Aloha @+ inchalah
Très belle chanson ... Cela m'a fait couler des larmes personne n'a rien vu autour de moi ... qui es tu mon ami Boucle d'Or ? rassure moi tu n'es pas un mirage ? tu existe réellement ... je vie en ce moment des choses qui font pleurer souvent aussi ce n'est seulement la chanson qui m'a fait pleurer
Commentaire