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  • Kais wa laila !

    @Boucle d'Or

    Je ne trouve pas les mots qu'il faut pour te dire ma sympathie, mon respect, mon admiration, mon estime pour une femme qui combat contre l'oubli de son bien aimé et époux, un chahid mérite bien cela...

    Bravo ma chère et que Dieu te vienne en aide. Tes amies (is ) aussi, je constate que tu en a plein dans ce FA ou famille algérienne...

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    • l'absente tu me manques,mais alah gualeb mon amie....

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      • Aloha

        ......................

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        • Tu as raison oui à l'ombre c'est mieux au Désert ... l'absence d'humidité dans l'air fait que rapidement et parfois à partir de 10 h du matin la chaleur du soleil devient réellement insupportable toute la faune et la flore du désert le sait elle s'est adaptée en conséquence
          Mais c'est tellement beau ce que tu es capable de créer ...

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          • Merci à toi et aux autres !!!!!!!!!!!!!!!!!!!

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            • Bonsoir,

              Kais wa laila !
              waouu, le conte principal qui a bercé mes nuits de jeune enfant, qui pourrait nous le conter, nous le rappeler ?

              J'aime bien ce topic que je tente de suivre autant que possible.

              Je rejoins Aloha pour confirmer le talent innée de boucle d'or dans l'écrit. Style bien imagé, style coulant, ça coule de source.

              Puis les musiques choisies sont aussi de qualité.

              Merci à vous pour ce topic.
              Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
              L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants. Thomas Mann

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              • .........................

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                • Bonsoir Adhrhar Bonsoir Makahina

                  De plus vous êtes mieux que moi et j'ai oublié Nedjmala techniquement dans les question de mots ...
                  moi je ne peux que sentir et me régaler

                  Bonne soirée à toutes et à tous ...

                  Commentaire


                  • et incarnatus est " Mozart

                    Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
                    L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants. Thomas Mann

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                    • Douce nuit à toutes et à tous
                      Encore merci pour cette gaada

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                      • discu(ss)ion nocturne

                        Quelle declaration je reste sans voix et d'une pudeur
                        Merci de nous faire partager
                        Ces emotions que l'on ressent tres fort....

                        Merci encor ....
                        Matrix...

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                        • Merci d'avoir apprécié Matrix

                          Commentaire


                          • ......................

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                            • Boucle d'or

                              Bonjour insomnie....et ça repart pour une autre nuit blanche et compagnie.....
                              Ah Insomnie quand tu nous viens
                              les nuits sont longues, j'usqu'au matin
                              en attendant l'aube , que de noir dessins
                              que d'espoirs et de reves dechu dans le grand declin
                              que l'on appelle le destin ....
                              Et au petit matins tous les tristes dessins
                              sont chassés par la venue de la lumiere
                              comme une lumiere divine ...
                              Merci clarté de d"avoir chassée nos peurs de la nuit

                              Matrix



                              Insomnie



                              Quand une lueur pâle à l'orient se lève,
                              Quand la porte du jour, vague et pareille au rêve,
                              Commence à s'entr'ouvrir et blanchit à l'horizon,
                              Comme l'espoir blanchit le seuil d'une prison,
                              Se réveiller, c'est bien, et travailler, c'est juste.
                              Quand le matin à Dieu chante son hymne auguste,
                              Le travail, saint tribut dû par l'homme mortel,
                              Est la strophe sacrée au pied du sombre autel ;
                              Le soc murmure un psaume ; et c'est un chant sublime
                              Qui, dès l'aurore, au fond des forêts, sur l'abîme,
                              Au bruit de la cognée, au choc des avirons,
                              Sort des durs matelots et des noirs bûcherons.

                              Mais, au milieu des nuits, s'éveiller ! quel mystère !
                              Songer, sinistre et seul, quand tout dort sur la terre !
                              Quand pas un oeil vivant ne veille, pas un feu ;
                              Quand les sept chevaux d'or du grand chariot bleu
                              Rentrent à l'écurie et descendent au pôle,
                              Se sentir dans son lit soudain toucher l'épaule
                              Par quelqu'un d'inconnu qui dit : Allons ! c'est moi !
                              Travaillons ! - La chair gronde et demande pourquoi.
                              - Je dors. Je suis très las de la course dernière ;
                              Ma paupière est encor du somme prisonnière ;
                              Maître mystérieux, grâce ! que me veux-tu ?
                              Certes, il faut que tu sois un démon bien têtu
                              De venir m'éveiller toujours quand tout repose !
                              Aie un peu de raison. Il est encor nuit close ;
                              Regarde, j'ouvre l'oeil puisque cela te plaît ;
                              Pas la moindre lueur aux fentes du volet ;
                              Va-t'en ! je dors, j'ai chaud, je rêve de ma maîtresse.
                              Elle faisait flotter sur moi sa longue tresse,
                              D'où pleuvaient sur mon front des astres et des fleurs.
                              Va-t'en, tu reviendras demain, au jour, ailleurs.
                              Je te tourne le dos, je ne veux pas ! décampe !
                              Ne pose pas ton doigt de braise sur ma tempe.
                              La biche illusion me mangeait dans le creux
                              De la main ; tu l'as fait enfuir. J'étais heureux,
                              Je ronflais comme un boeuf ; laisse-moi. C'est stupide.
                              Ciel ! déjà ma pensée, inquiète et rapide,
                              Fil sans bout, se dévide et tourne à ton fuseau.
                              Tu m'apportes un vers, étrange et fauve oiseau
                              Que tu viens de saisir dans les pâles nuées.
                              Je n'en veux pas. Le vent, des ses tristes huées,
                              Emplit l'antre des cieux ; les souffles, noirs dragons,
                              Passent en secouant ma porte sur ses gonds.
                              - Paix là ! va-t'en, bourreau ! quant au vers, je le lâche.
                              Je veux toute la nuit dormir comme un vieux lâche ;
                              Voyons, ménage un peu ton pauvre compagnon.
                              Je suis las, je suis mort, laisse-moi dormir !

                              - Non !
                              Est-ce que je dors, moi ? dit l'idée implacable.
                              Penseur, subis ta loi ; forçat, tire ton câble.
                              Quoi ! cette bête a goût au vil foin du sommeil !
                              L'orient est pour moi toujours clair et vermeil.
                              Que m'importe le corps ! qu'il marche, souffre et meure !
                              Horrible esclave, allons, travaille ! c'est mon heure.

                              Et l'ange étreint Jacob, et l'âme tient le corps ;
                              Nul moyen de lutter ; et tout revient alors,
                              Le drame commencé dont l'ébauche frissonne,
                              Ruy-Blas, Marion, Job, Sylva, son cor qui sonne,
                              Ou le roman pleurant avec des yeux humains,
                              Ou l'ode qui s'enfonce en deux profonds chemins,
                              Dans l'azur près d'Horace et dans l'ombre avec Dante :
                              Il faut dans ces labeurs rentrer la tête ardente ;
                              Dans ces grands horizons subitement rouverts,
                              Il faut de strophe en strophe, il faut de vers en vers,
                              S'en aller devant soi, pensif, ivre de l'ombre ;
                              Il faut, rêveur nocturne en proie à l'esprit sombre,
                              Gravir le dur sentier de l'inspiration ;
                              Poursuivre la lointaine et blanche vision,
                              Traverser, effaré, les clairières désertes,
                              Le champ plein de tombeaux, les eaux, les herbes vertes,
                              Et franchir la forêt, le torrent, le hallier,
                              Noir cheval galopant sous le noir cavalier.

                              Victor Hugo...

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                              • Bonjour à toutes et à tous je lirais tout ce soir
                                passez une bonne journée

                                Commentaire

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