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Lui
Déserteuse sentinelle, tes toiles cérébrales s’emmêlent sous le tissu froissé des souvenirs,ton cri tonne ton coffre essoufflé et bien lourd, si bien que le sommeil te quitte pour retrouver l’homme que la vie t’interdit?
Cendrillon aux lèvres nues de baisers, rentre, il se fait tard, file te coucher!!!!
Va vite rejoindre cet espace vide de lui, lieu seul où tu peux l’espérer et encore rever!!!!
Sirène de la terre, étale ta crinière entre ces filets de coton !!!!Déverses toi en ce repos et entends ce tambour sourd qui cogne.Il frappe, retentit puis ralentit, enfermé dans ta poitrine.Alors chantes à Morphée ta complainte , il apparaitra quand le marchand de sable ensemencera ton lit...........
Elle
l'histoire et l'art se retrouvent sur le cours de cœurs qui s'emballent.Le chef d’œuvre en est l'enfant, possible et insondable.
Qu'il soit ciselé d'or ou de verre mes folies inimaginables de berceaux et de voûtes, rendent la
magnificence imprenable.
Balade nocturne pour un temps d'exil,entre tous ces rinceaux et mes sonnantes bruyères,où par la suave illusion d'une voix familière,je sens son souffle réchauffer encore ma peau..........
Alors accordes au mirage encore le rêve d'une pure étreinte dans un chaste baiser de celui qui lui inspire jusqu'aux moindres sourires dans les moments blessés de toutes ses folies.Oui, je me souviens encore de lui,pourquoi mentir,étoile dulcinée, oh mon tendre aimé........et même si nos pas nous éloignent, mes pensées le retrouvent.............
Lui
il y avait quelque chose d'important un peu partout et pour tout le monde à voir, à dire, ou à entendre, mais personne vraiment ne pouvait dire en apparence où exactement, comme décrit aux raisons des communs, quand tant d'humains se divisent aux égaux de leurs liens, il était ainsi temps venu sans redire ni pourquoi ni comment, une mesure sans pourquoi ni pourtant à l'essentiel des communs qui n'avait rien de moins éternel(le?) qu'une histoire temporelle et déclarée au chemin de chacun, le plus important fut que tous eurent en connaissance des jours des nuits des minutes des secondes en abondance et surent à leurs heures nulle somme en différence d'une grande ou d'une petite importance,...le mirage est-il l'ancêtre du virtuel, est ce vraiment important ??!
Elle
Pas plus important que cette attitude sombre,rythmée par mes larmes lourdes,ni cette habitude de l’ombre,irritée par le vacarme d’âmes sourdes.Mon désespoir voile mes yeux, éteint ses quelques lueurs,mes espoirs,tel l’essieu, me tenaient avant que ne vienne le tueur,ce venin, ce chagrin persistant,cadence de ma conscience nocturne,ce veut n’importe comment fauteur de mon existence taciturne une urne ampli de cendre,tel est ce mal dans ma boîte crânienne de janvier à décembre, martèle cette cervelle qui n’est plus mienne saisi par étrangeté de l'obscurité de mon parcours...Je suis cet enfant qui construit et reconstruit son château de sable, émoussé d'attaques extérieures. Il forge à chaque pelletée, après l'étendue d'une vague, un rempart à son fort intérieur. Les obstacles s'abattent sur ces façades de grains, mais ils n'ébranlent sa volonté en rien. Déterminé il endure ces coups et s'affaire, pour atteindre son but, ce bâtisseur persévére ...Du mirage nul besoin de témoin effluve passionnelle d'interminables siestes,de tendresse bien connues du délire des amants,vas, avant que je rompe le chapelet de mes secrets,du glaive de pensées divisées qui me percent,avant que je le trompe en chaînes d’incertaines promesses,dont j’aurais à expier les flammes qui me bercent. Je ne serai pas la goutte de ton parfum fou,même si je te disais combien je tremble quand ma terre se déchire car la vie, elle, se déchire entre passion et raison.
Alors que l'une se sacrifie pour les coeurs sincères,la distance n'efface pas les sentiments, elle les anoblit,mais je l'avoue,tu es devenu mon précieux lointain,mais que l'absence et le silence sont parfois plus sains.
Lui
Vas à ton malheur qui fait le mien aussi! laisses errer ce cadavre embaumé, cet agneau vidé, soudain d'âme et d'amour sera t'il résigné ??? à se morfondre en spectre qui ne peut te retrouver,apparaissant avec un large sourire, pour mieux ses larmes cacher.
Vas!!!!libre et sans savoir, que déjà, tu es bien trop aimé!Même si tu as commis tous les crimes possibles,tout ceux que tu me contes ou caches de honte je garderais toujours la même confiance en toi ...Car je sais bien que cette peur d'offenses n'est qu'une goutte d'eau mensongère dans un brasier ardent.Oui, j'ai besoin de ton cœur, tout brûlant de tendresse qui reste mon appui et sans aucun retour ni détour.Oui j'aime tout en toi et même ma faiblesse,ne me quittes pas, ni la nuit ni le jour
Elle Toi qui veux tout,rien que le tout....pourtant il ya mille et un mirage du desert,chases et pourchasses,je ne suis pas unique !!!
Lui
On est tous unique !!! unique tu l'es,ta vie t’appartient.Tu as et es ce trésor qui t’est offert. En cherchant ta source, j’en ai trouvé un mirage où je me suis baignée,et j’aspire à m’y jeter et m’y perdre pour t’y retrouver.Mais il n’est plus d’heures et le rêve s’incarne,prends en soin, pour le faire fructifier, malgré les chutes et les chocs dont tu te relèveras, dans la direction où tu le rêves et le souhaites............
Le voile amer de cette meurtrissure ou ton cœur s'est recouvert d'un linceul d'illusions,laisses éclater colère,cette pluie éparses caresses ,nous sommes si en retard sur la vie qui nous pousse,provoque et propulse excès de passion,passionnante belle et insolente dans ses victoires ou défaites ,épineuse épieuse moelleuse couche,dans la clarté de la nuit, bat et résonne encore la caresse d’un souffle dans un corps en repos ???où se répand une douce chaleur le voile de miel des délices du cœur souvent au prix de ton sang,tu offres ta vie,sois le vrai ,eux le faux !!!
mirage point de silence!!!!!vomis tes mots et tes maux !!!!!brises les murs qui se sont dressés pour cacher la blessure,du lointain souvenirs d'effarantes visions cela suffit, vomis tes maux ma douce,que tes mots trahissent ton silence...
Elle
Les sillons de mon cœur ne laissent pousser de fleurs,seuls les fruits d’un labeur inspirant l’effroi et la peur,funestes graines nées de nausées et migraines d’amours perdus et de haine,de tristes mises en scène de chaque sourire voulue par cette âme transpercée par la vie qu’elle a traversé.Ces drames qui l’ont bouleversée...Mes entrailles ulcérées de ce passé d’incarcéré dans ce pays trop serré pour cet esprit si acéré.Prison libérale aux vertus immorales aux couleurs florales aux prétentions sidérales Horreurs boréales au pôle d’un modèle affiché sur une façade
de droits et de dignité ???..........Monde de bruit, d’images,de jeunisme et d'immaturité.
Monde de matière, commerciale, de pulsions et d’instincts.
Monde du jetable, consommable, inéquitable, primitive,vantant les faiblesses de l’homme, pour vendre à tout prix,même ce qui ne s’achète pas !!!
Monde déresponsabilisée, déresponsabilisante, grisée par la rentabilité immédiate, la facilité, des veaux d'or de tentations qui se voue corps et âme à la part animale de l’être et qui se détache du reste.
Monde aux œillères intérieures, au vide d’essentiel. Rares sont les Hommes..... du désert urbain dont les voix invitent à connaitre, regarder et introspecter les joyaux de profondeurs qu’elle enfouit et dont elle recèle, invitation à se reconnecter à l'interrelationnelle, de ses actes.
Monde sans perspective, aux bannières suggestives d’éphémérité, d’instantané, volatiles, incitatives, inversant les valeurs et promouvant les vices jusqu’à l'oisiveté, dans un intérêt individuel.
Monde à but lucratif, anonyme,où la personne est bestialisée, abrutie de loisirs et de passivité, dénaturée, où l’on (qui est le -c-on ?) pense pour elle,où on la laisse !!!
Peu l’éduquent et lui ordonnent de se taire, de se mettre sur pause pour réfléchir et mieux faire. Non pour concurrencer, mais pour exister et devenir ce qu’elle veut être. Ce qu’elle veut être en vérité, en liberté de connaissance et de choix.Non cette liberté de penser comme tout le monde, liberté de suivre l'opinion, liberté de pensée falsifiée, conditionnée, commune, intéressée, influencée par la donne médiatique, populaire, mal, bien, confondus, inversés, aux courants variables, changeants, de modes du politiquement correcte et incorrecte !!!
Alors sortir de ces prêts-à-penser, s’affranchir des courants, contrecourants, chercher, douter. Ne pas tout essayer pour faire comme tout le monde et se perdre dans la masse d’une pensée unique, préfabriquée et formatée. Ne pas refuser la difficulté, retrouver le goût de l’effort et le sens du courage. Ne pas croire que l’on sait, que l’on est arrivé, car la vie surprend, la vie est en mouvement. Alors ne pas juger, sinon soi-même, pour comprendre, pour apprendre, pour avancer, pour trouver sa voie, propre, sa liberté d'être, de penser, de vivre différemment, ou non..........................
Dans le monde il y a ceux qui parlent sans savoir, ceux qui disent sans faire,ceux qui ne parlent pas,ceux qui feraient mieux de se taire
Dans le monde il y a ceux qui ne font pas, par peur de mal faire,ceux qui font, et ne pensent pas,ceux qui pensent et n’osent faire
Dans le monde il y a ceux qui croient savoir et ceux défont ce que les autres essayent de faire...............
On ne peut apprendre que si l’on ne croit pas savoir et si l’on sait douter.
Une voie de progrès Socrate l’a énoncée : je sais que je ne sais rien, alors sachons écouter.
Le doute est salvateur Raison pourquoi m’as-tu abandonné ?!!!!!!!!!!!!!
ceux qui ne disent pas ce qu’eux ou les autres savent peut-être faire.Mais au fond, si l’on osait faire savoir ce que l’on ne sait pas faire,au lieu de faire croire que l’on sait tout et sait tout faire,on saurait au moins sûr d’être sincère !!!
Il ne sert à rien ni à personne , dans cette déferlante de massacres et de simulacres en tous genres.je me sais vulnérable, sans aile amie où se réfugier.J'ai toujours combattue seule pour ma survie ,tant bien que mal,contrainte à cette loi que l'on découvre souvent jeune.je ne dois rien à personne ,si ce n’est à celui qui m'a formé et insufflé la vie dans tes poumons fragiles. Mais j'ai tant de balafres sur ma carcasse osseuse, emmitouflée dans mon plumetis de neige endeuillée...que je ne pardonne !!!
Alors à la fois jeune et vieille, peut-être adulte, aujourd'hui encore je contemples, aussi effrayé qu’impuissante, à demi debout,cette contagion de malheurs et de tristesses, ces pandémies meurtrières aux vengeances épidémiques , les folies et carnages , l'ignominie virale de tortures fratricides, et ces blocs et alliances qui dessinent de mauvais présages. Et, seule,de tant de barbarie et de victimes innocentes, invisible aux autres, pour qui je refuses d'exister!!!
Intangible, je suis née, indisciplinée, et je passe, passe, passe-muraille, m'immisce, me glisse, tactile, sans code, pass. Comme neige, blanche, sans carte de visite, ni carton d’invitation, et alors ? Carton rouge ? Rouge passion, goûte au fruit, mais défendu, pourtant je déraille, transportée en mille lieues, lieu d’habitation et franchis, en rêve, en vrai, qui sait, franchis ta porte et t’apporte au porte à porte un porte-bonheur…Heure de gloire, gloire à toi, toi et moi ,émoi chimique, biologique, physiologique, épidermique, psychologique, pathologique, logiquement… inévitable, inaliénable, irresponsable, déraisonnable, préjudiciable, dommage ! Dommages collatéraux, tu colles à ma peau, possession, résolution, pour le meilleur ou pour le pire ? Alors ? J' assume, j'assume mes maux, émotive, motivée, pour t'aimer ? Quoi ?…Peut-être…mot, chaque lettre, chaque silence est un pétale,de janvier à decembre qui, recueilli dans la somme des jours, forme la fleur du temps,épanouie depuis l'instant de la rencontre,et dont la profondeur se creuse en un foyer de braises,cette patine flamboyante, sous les apparentes cendres froides et grises.Et rien n'effeuille cette fleur de feu,sauf...........
Comprends ce qu’elle ne dit pas de rimes et de prose !!!
j'enlumine les plaies et du pus puise la sève bouillante
Transcendé en élixir, baume alchimique.cachée ?? savante ??ne trahis les fards, les masques enchantés et les signes !!!
Lui
De mon édifice, tu es la clé de voûte, quand je crois l’espoir perdu, au-delà de mes doutes.Si souvent, on se pique, dans ce rosier sociétal,couvert et couvrant de ronces, fleur de bien et de mal.Que de questions, divisions et incompréhensions dans ce globe bleu et sous ces cheveux en fission!
Elle
Même en ces terres de vertiges où l'on voudrait tomber,contre l'ourlé d'une lèvre, contre l'autre convoit,il est tant de sujets de trébuchements,que le premier mot,la premiere faute,serait le jugement !!! De l’esplanade aux soldats d’affaires.De ces cerveaux en chiffres, sans air,je ne comprends les lois, ni veux les comprendre armes bancaires et de ce bagne, auquel ils s’accrochent,je me fais petite et invisible quand "eux" se font si grand,si flagrants !!!!
Lui
Mais Toi, tu ne commets la faute ??? la faute tu l'as connais et ne juges,tu trepasses mais ne condamnes !!!
malgré ces mois de nuances, ou on écorchait ton image,ou on te blessait et te chassait,c'etait toi qui soignais et malgré tes mille brisures,vois tu je redessines encore ton visage ton corps et ton ame alors je te retrouve même quand tu saignes encore.Il est de beaux mystères, qui restent intactes.Grâces ! Tout est terreau pour ton lierre grimpant persistant et resistant,ou chaque feuille qui chute préfigure ton prochain printemps!!!
Elle
Geologie charnelle aux paysages de l'âme,conscience, psychologie aux reliefs innombrables,de luttes, fusions, confusions,acceptations ou negations que tu ne blâmes,moi sainte, pécheresse, repentie ou coupables mais ne chatie !!!
Ce n’est pas"eux" qui me chasse,c’est moi qui me chasses de leur face,par les tentations, leurs culpabilités ou mon souhait de perfection qui refuse ma dualité et complémentaire condition.
Lui
Le glas sonne midi à la lumiere de ton soir, au bord de tes lèvres d’un lys, une annonciation ???
Picotements d’un rire entrelacé de confusions,palpitant d’aveux remplacés par de fausses banalités,
les sentiments transposent, transportent, transpirent d’actualités.
Elle
Méfie-toi, si tu m' enflammes et que je t'adore à tort, tu risques de bruler,toi l'etranger car
entre les lacs d'un secret volcan où je pourrais encore te surprendre ne me provoques!que mes mots restent jetons des sages !!!
Je suis peut-être un féminin de gavroche mais à ce manège ne clame aucune approche,car je n’ai pas à abattre de solutions.
De ces coups de poker, engrenage de pions,que celui qui condamne donne le change,une carte de possible pour qu’enfin tous mange !
Aux tours hautes et aux murs en verre,s’affichent des agendas et portefeuilles complets,des déplacements virtuels et monétaire
Alors, pendant qu’ils le font et que d’autres le refont,avec la fortune des pauvres, riches de liberté,je découvre, à ma façon, un monde sans marché,amante des arts, aux noces clandestines,dans ces paysages, que le beau fascine.
Mais tout ce que je n’écris pas, sous pli, publie ou pas toi tu le devines deja comme mes silences Comme mes présences dans mes absences,pourtant Je suis celle que tu sais et ne connais pas , je suis celle qui se devoile et ne vois pas Peut-être liras-tu entre les lignes le passage d’un ange ou d'un demon dans mes chemins de croix !!!
Mais ne t’y trompe pas, la poésie ne conte pas le vrai du faux, ses métaphores et métamorphoses.
Lui
Le hasard des rencontres n'est jamais fortuit,des apparitions se cachent, s'enfuient et rejaillissent,entre des coups de poignard, en de pures éclaircies .Des griffes s'enfoncent et tracent des rayons de magie où opposés, contraires et paradoxes se marient sous des tentures d'huiles et lames de couleurs,où des synonymes se fondent, en rendez-vous sans heure.
Elle
Mais combien de fantômes entre ces peintures ?combien de secrets résistent à l'usure?en offrande et en deuil,l'encens se pourfend,quand l'inéluctable pendule nous pend. !!! il est des marques indélébiles que l'on voudrait reprendre,recoudre un scénario, rejouer ou suspendre,
Lui
Que cele ne t'inquiete,viens m’y rejoindre,nous dormirons, là où l’on ne peut compter les strass seulement quelques etoiles fugaces.sous le drap d’une jetée à l'ombre des regards indiscrets
et je passerais ma vie contre ton contrefort,ton sein chaud battant, sous-dosé, avare d’un seul trésor toi, que je ne peux posséder,pourtant j'insiste,tu m'etonne,tu m'eblouie Marches!!!!!!...Marches jusqu’à ma vigne d’eau pourpre,laves tes écailles s’effeuillent et parait à toi alors le fruit caché.Il est le goût et la force pour reprendre ta route, nouvelle,tu le sera,dans ta lumière,nourrie et
aimée.Approches n'aies crainte,ceux qui sacrifient tout,ne craignent rien.......approches,je serais te contenir,je serais comment t'aimer
Elle
plus pure que tu crois dans ce torrent de mots que tu engendres,s'il t'étonnent,de tels aveux deferlent.....saches qu'il se cache,encore,d'autres maux auxquels tu peux prétendre !!!
et si le refuge d'une étreinte te parle,prends garde que l'agneau ne saigne le loup ! Sauvage apprivoisée,qui déborde de confiance par ce gage trahit le sentiment qui m'habite.A l’aube du crépuscule, merveilles d’innocence,ou graines de demence,de mélodieuses notes au chant ghotique,ravivent un clavier.
Des doigts à la fois habiles et ingénieux,pourtant brisés,ils s'invitent, telle une symphonie, brève,inachevée.
Un revers de satin à ta joue porté, si près de mes levres, mais si loin d'un baiser,elles s'épancheraient aux tiennes, jusqu'à s'étendre à ton cou,au risque de le mordre et te blesser....
Lui
Saches que la raison a des raisons que la passion n'entend pas.
pourtant je serais et resterais à prendre soin de toi, et lisser les traits que la fatigue te donne.Il est des remèdes cachés sous ce lac de tissu blanc, imbibé de tant de désir, accroché à tes lèvres insoumises
On ne tombe pas amoureux, on s’envole, entre attraction et apesanteur.
Je ne sais où il m’emmène,au paradis ou en enfer,mais si c’est avec toi, la route sera belle.
Ton teint ténébreux d'Orient, proche, trouble tes yeux bleus d’autres mers. Abstraction lyrique, flou artistique, confusion romantique, d'une poupée pétrie de sentiments,et en mentor en tord le cœur en chiffon et fond ainsi fond de tendresse…
Mais, cesses ! M’aimes-tu ? Tu mens! J’m'en fous, je, tu, vous, je, tu, nous, je te veux ! ca si j'ai semé l’amour dans le mirage, dans tes aires de jeux, je te rencontre,je suis vainqueur, vainqueur de tes jeux, de tes jeux de mots, aux mots justes et mots qui tuent …
que t’importe mirage, fille du sacrifice et calvaire,que t'emporte,métropolitaine,que tu connaisse d’autres lieux, ailleurs martyrs, d’un même quotidien. .......qu’importe pour l’heure, l’heure tardive de tes refus!!
Souterraine, bohème, ce soir gris, sourit, sourit à la chance qui balance et déraille d'un quai à ta porte, d'immeubles en périph, extérieur, intérieur, transportée sous ton porche, où je vibre, vis et visite, à la carte bleue nuit, d'une nuit blanche, noctambule, car d’un je sans tu, tu me tues, tu me manques !
Elle
Fou, romantique ou amoureux ? Fin pathétique ou heureuse ?
Je confie cette romance à la providence, qu’histoire ou conte, ces lignes racontent.
Écrivains, vos veines mortes ont-elles bouillonnées !!!!!!!!!!
pour de fantasques rencontres ou fantasmes inventés ?
Je ne sais, mais la dualité est dans la nature, et les vers savent mentir, surtout à l’usure.
Qu’est ce qui est vrai ? Qu’est-ce qui est sûr ?? le réel ou le virtuel !!!
Lui
sauvage câline , féline docile , partagée entre coeur et raison haine et passion s'empare des deux,le concret et l'abstrait,libre vas!!!! confiante au large de l’inconnu qui t’attend devant toi s'éttend.....et si le souvenir t'emprisonne au détroit de tes deux mondes,aujourd'hui entrelacés , ne crains de t'y perdre, à toujours, amoureusement Il y aura,encore un parfum de désir,l'envie d'une femme sous les ailes de ta croix des rayons de lumière dans ta petite cage dorée,tournée vers le ciel où doucement tu médite et veilles y croire ; heureux celui combat les maux sans condamner, car les "défauts" sont dans la nature.Heureux celui accepte la sienne et supporte ses ecchymoses,car la chute donne un nouvel élan pour s’élever et le souvenir fait mal, mais fait aussi progresser.
Heureux celui qui ne cherche pas l’épreuve mais ne la refuse pas,
car chaque point de suture, sur cet itinéraire sinueux, métamorphose pour survivre.
Chaque nouvelle intempérie balaye, harasse et moud le grain en germe plus fort,et chaque obstacle recèle un tremplin pour devenir soi même
Embrasses flammes océanes mon moi de toi s'est rempli...............Brûles,délicate âme,de tes rayons illumines,Un cygne esseulé se dégage dans mes bras s'engage et affirme pour l'heure ne s'incline,nul peur nul mépris!!viens ne me fuis
Elle
Presente ou se bat la vie .........Je n’ai pas su accueillir ceux qui portait mon pas dans le doute et la souffrance,ni même vu leur insistante présence,quand je partais au loin derrière mes absences,dans ma solitude aveugle et sourde à la raison,et détournée mon regard de la source de sentiments,fausse à mon non sens,alors qu'il m’attendaient,à chaque carrefour avec la discrétion de l’amour et de la reconnaissance.Aujourd'hui, j’apprends à reconnaitre en toi celui qui,patient,vient toujours à la rencontre,a qui je confie,mes peines,ma souffrance dans cette salle tourmente et comme une porte à mes attentes secrètes,ta voix un massage cérébral,tu as l’air si serein,moi enfin confiante,je cesses de fuire car cela suffit,ta patience, anti-douleur meme au compte-gouttes deferle,paracétamol en phrases génériques,tes paroles en anti-stress, soulagement de mon esprit, Prozac de mes tourments. tes mots-compresses qui calment mes brûlures, ta douceur qui panse les plus profondes blessures,tu es médecin de mon âme,médecin malgré moi merci.....pour les fleurs............
Lui
Alors au diable ceux qui pensent que je suis un cœur d'artichaut avec mille et une inflorescences ... ces fleurs,je rappelle que je ne les vends pas, sont à leur places avec toi,leur organisation géométrique en fait leur beauté irrésistible elles parlent toutes le langage universel,l'amour....et vibrent comme des cordes en esquissant des notes musicales secrètes,douces et amères en parfaite harmonie avec le bonheur de vivre tout simplement même aux urgences !!!
Elle
Cœur d'artichaut avec mille et une inflorescences !!!le suis je aussi ??? comme toi cela peut m'importe des chiffres ou des lettres,du médecin ou du poète,aucune différence c'est un seul langage universel pour semer une seule graine........
Presente aux urgences,seule sans urgences aucunes,un de ces moments ou on laisse flotter tout,tout simplement avant l'arrivée du prochain "convoi",vies en sursis,temporairement vivantes,un de ces moments ou l'on oublie,on s'oublie on oublie ou l'on est et on oublie ce qu'on était venu faire ici bas.Des morgues chaotiques,aux surprenantes naissances pourtant identiques,morts et vies s’entremêlent dans un chant d’épines et de fleurs...
Discussions ou discutions nocturne ?? internat ou externat,de Ça,de moi au Surmoi...quel différence ?
On est très loin de savoir combien de temps s'écoule dans une telle lucidité passagère !! il semble que le temps n'existe pas,n'existe plus,comme sur une photo en noir et blanc et qu'il soit infini en même temps.On est plus ce que l'on voit,ressent et fait durant ce tres court instant de repis !!!
Petite dérive existentielle en filigrane dans cette complainte,dans cette salle d'attente pourrie ???? j'adore !!! en plein délire? Peut-être pas d'un point de vue microscopique,puisque l'infiniment petit ne répond plus à la physique classique... mais quantique!!!
ELLE
L'art reste un refuge, sur cette terre d'exil,qui préfère l'ermite et les félins repos,des chandelles et bouquets pour tables et tableaux,des draps comme nappes pour des mets de mots,des pinceaux aux couleurs du printemps,au scalpel rouge tranchant............à ton être seul,tu as su réveiller et enfouir tous les êtres dansants dans ma tete rebelle pensante....parcours existeil bien etrange pour un petite mirage en errance!!!Mon nom est MOI...au revoir et merci à toi l'etranger.
LUI
L'art est un prélude,liberté d'expressions,reves et realités en fusions,aux féroces passions,aux déserts sans asile,évasions,pour ceux qui toile est peau, suivent le même phare que nous,sont sur un même radeau,et qui souvent divaguent dans les profondes eaux,du coeur et de le l'esprit, de l'amour et du beau.C'est moi qui te remercie ....Je ne suis pas un etranger,je suis TOI.
Lui
il y avait quelque chose d'important un peu partout et pour tout le monde à voir, à dire, ou à entendre, mais personne vraiment ne pouvait dire en apparence où exactement, comme décrit aux raisons des communs, quand tant d'humains se divisent aux égaux de leurs liens, il était ainsi temps venu sans redire ni pourquoi ni comment, une mesure sans pourquoi ni pourtant à l'essentiel des communs qui n'avait rien de moins éternel(le?) qu'une histoire temporelle et déclarée au chemin de chacun, le plus important fut que tous eurent en connaissance des jours des nuits des minutes des secondes en abondance et surent à leurs heures nulle somme en différence d'une grande ou d'une petite importance,...le mirage est-il l'ancêtre du virtuel, est ce vraiment important ??!
Elle
Pas plus important que cette attitude sombre,rythmée par mes larmes lourdes,ni cette habitude de l’ombre,irritée par le vacarme d’âmes sourdes.Mon désespoir voile mes yeux, éteint ses quelques lueurs,mes espoirs,tel l’essieu, me tenaient avant que ne vienne le tueur,ce venin, ce chagrin persistant,cadence de ma conscience nocturne,ce veut n’importe comment fauteur de mon existence taciturne une urne ampli de cendre,tel est ce mal dans ma boîte crânienne de janvier à décembre, martèle cette cervelle qui n’est plus mienne saisi par étrangeté de l'obscurité de mon parcours...Je suis cet enfant qui construit et reconstruit son château de sable, émoussé d'attaques extérieures. Il forge à chaque pelletée, après l'étendue d'une vague, un rempart à son fort intérieur. Les obstacles s'abattent sur ces façades de grains, mais ils n'ébranlent sa volonté en rien. Déterminé il endure ces coups et s'affaire, pour atteindre son but, ce bâtisseur persévére ...Du mirage nul besoin de témoin effluve passionnelle d'interminables siestes,de tendresse bien connues du délire des amants,vas, avant que je rompe le chapelet de mes secrets,du glaive de pensées divisées qui me percent,avant que je le trompe en chaînes d’incertaines promesses,dont j’aurais à expier les flammes qui me bercent. Je ne serai pas la goutte de ton parfum fou,même si je te disais combien je tremble quand ma terre se déchire car la vie, elle, se déchire entre passion et raison.
Alors que l'une se sacrifie pour les coeurs sincères,la distance n'efface pas les sentiments, elle les anoblit,mais je l'avoue,tu es devenu mon précieux lointain,mais que l'absence et le silence sont parfois plus sains.
.....................................
FIN
Une Eve parmis d'autre !!! 2012.
le mirage a-t-il une fin ou se suit-il parmi des saisons, le sens et la raison se reviendront-ils à leurs communs, du plus précieux le temps toujours s'apporte à l'horizon ses lueurs qui, entre tous rêves, d'elle ou de lui, se portent à tous regards et se filent à toutes lumières... .....................
alors rappelez vous..................ou rappelles toi...............
Elle
C'est en vain qu'on te poursuit à l'heure des chimères toujours au sein du réve où tu prends ta tréve ...Joyeuse à chaque instant on te voit revenir,entrainant avec toi comme un parfum de desir...Tu ne connais point de gaieté à entendre gémir ceux qui pleurent l'amour aux frissons éphémères,ou le passé joyeux aux suaves mystères qu'on se plait à revoir dans un doux souvenir...... Mais qu'importe à ton ame,à toi Mirage à la voix caverneuse où s'étouffe la rage qui frappe les humains dans leurs illusions ou leur courage puisque te ne crois plus au langage des songes,puisque ton coeur fermé à leurs émotions est étrange doutant des vérités,tu refuses toutes les louanges........ emportée sur son nuage,dans ses songes et dans ses réves.....Comme une mer qui ondule ses vagues....
sous une brise légère elle est heureuse......tel est le Mirage............tandis que son esprit vagabonde.... lui faisant voir de très belle images....le Mirage et les flots de cette rivière inondent....les réves et entraine au loin vers d’autres rivages.....
lui
C'est en train qu'on te retrouve à l'heure des mystères toujours au gré du temps où tu cherches l'instant...Heureux à chaque présent on te voit sourire, apportant avec toi comme un jour d'élixir...Tu ne soulèves point de colère à défendre chérir celles qui fleurent l'élégance aux images journalières, ou le futur heureux aux couleurs chimères qu'on se garde à repeindre dans un bel avenir......Mais qu'implique à ton coeur, à toi Mirage à la voix somptueuse où s'accueille les jardins qui sonnent les matins dans leurs sillons ou leurs passages puisque tu ne crois guère au langage des étoiles, puisque ton rêve étranger à leurs positions est fermé doutant des abrégés, tu refuses tous les échanges........éclairé dans son épandage, dans ses airs et dans ses lieux...Comme une terre qui adule ses lumières....
sur une autre belle il est curieux...Tel est le Mirage............tandis que sa lune seconde....lui laissant faire de très beaux partages....le Mirage et les mots de cette grammaire sondent....les nuits et dessinent au loin vers d'autres horizons.....
...
Salam, merci...
...Rester Humainpourle devenir de l'Homme... K.H.R.
Toute minuscule poussière d'étoile,
perdue au milieu de nulle part, me tenir la,
l'âme a nu,
simplement vêtue d'un parfum d'authenticité,
si fragile en mon humanité, humblement silencieuse face à cette immensité...
Et laisser se noyer mes illusions,
mes rêves les plus fous,
ceux irréels comme irréalisés, dans ces or et argent...
Les regarder une dernière fois danser sur les vagues espoirs, voguer encore un peu,
avant de les perdre à jamais engloutis par les abîmes de l'oubli...
ne pas lâcher prise des majuscules de lumière au milieu de nul air, d'où les rêves sont l'âme vive et simplement parcourue d'un regain d'amitié, irréel, face au silence d'une piété belle et moins fragile à l'opposé qui, brillant par le simple regard, rend solide les abimes et laisse immense les hauteurs, d'une poussière, d'un mirage, d'un oubli...
Salam, merci...
...Rester Humainpourle devenir de l'Homme... K.H.R.
"Il était une fois, une île où tous les différents sentiments vivaient : le Bonheur, la Tristesse, le Savoir, ainsi que tous les autres, l’ Amour y compris.
Un jour on annonça aux sentiments que l’ île allait couler. Ils préparèrent donc tous leurs bateaux et partirent. Seul l’Amour resta. L’Amour voulait rester jusqu’au dernier mo
ment. Quand l’île fut sur le point de sombrer, l’Amour décida d’appeler à l’aide.
La Richesse passait à côté de l’Amour dans un luxueux bateau. L’Amour lui dit , « Richesse, peux-tu m’emmener ? », « Non, car il y a beaucoup d’argent et d’or sur mon bateau. Je n’ai pas de place pour toi. »
L’Amour décida alors de demander à l’Orgueil, qui passait aussi dans un magnifique vaisseau, « Orgueil, aide-moi je t’en prie ! ». « Non, je ne peux t’aider, Amour. Tu es tout mouillé et tu pourrais endommager mon bateau. »
La Tristesse étant à côté, l’Amour lui demanda, « Tristesse, laisse moi venir avec toi ? ». « Non, Oooh..Amour, je suis tellement triste que j’ai besoin d’être seule ! ».
Le Bonheur passa aussi à côté de l’Amour, mais il était si heureux qu’il n’entendit pas l’Amour l’appeler !.
Soudain, une voix dit, « Viens Amour, je te prends avec moi ? »
C’était un vieillard qui avait parlé. L’Amour se sentit si reconnaissant et plein de joie qu’il en oublia de demander son nom au vieillard. Lorsqu’ils arrivèrent sur la terre ferme, le vieillard s’en alla. L’Amour réalisa combien il lui devait et demanda au Savoir « Qui m’a aidé ? ».
« C’était le temps » , répondit le Savoir.
« Le temps ? » s’interrogea l’Amour. « Mais pourquoi le Temps m’a-t-il aidé ? ».
Le savoir sourit plein de sagesse et répondit :
« C’est parce que seul le Temps est capable de comprendre combien l’Amour est important dans la Vie. »
Contes du monde
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