Si loin es-tu, si silencieuse… Bientôt l’éternité de son lourd manteau, couvrira notre mémoire, lui donnera un lustre banal.
Si loin, tu es, juste un sourire maquillé en mots, masquant ce tragique voyage au-delà des nuages, au-delà des rivages, sous l’œil du soleil matraquant mon sommeil, de songes aussi bleus que le bleu de mes rêves.
Lointaine tu es, de mes mains, de mes transes, de mes danses badines, de mes images rances, de mon mal qui culmine, de ce râle qui lance des échos et fulmine.
Les échos inconnus de ta voix, les couleurs méconnues de ton choix, cet élan fou qui échoit à mon choix qui est fou, ne peuvent à eux seuls décider de ma foi.
En deçà de mes mots, au-delà de tes maux, au regard du silence, de ton chemin qui tance, de ma route qui voudrait refrayer son chemin.
Par delà la blessure, véritable serrure au mécanisme incertain, écrin libertin, de fantasmes certains, tu jonches la rue, que mes pas traversent, défiant les averses, des regards crétins.
Si loin, tu es, juste un sourire maquillé en mots, masquant ce tragique voyage au-delà des nuages, au-delà des rivages, sous l’œil du soleil matraquant mon sommeil, de songes aussi bleus que le bleu de mes rêves.
Lointaine tu es, de mes mains, de mes transes, de mes danses badines, de mes images rances, de mon mal qui culmine, de ce râle qui lance des échos et fulmine.
Les échos inconnus de ta voix, les couleurs méconnues de ton choix, cet élan fou qui échoit à mon choix qui est fou, ne peuvent à eux seuls décider de ma foi.
En deçà de mes mots, au-delà de tes maux, au regard du silence, de ton chemin qui tance, de ma route qui voudrait refrayer son chemin.
Par delà la blessure, véritable serrure au mécanisme incertain, écrin libertin, de fantasmes certains, tu jonches la rue, que mes pas traversent, défiant les averses, des regards crétins.

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