Tu admets du bout des lèvres que les bactéries évoluent, maintenant, et comme tu le dis si bien passons au pluri-cellulaire : admets tu l'évolution de l'espèce humaine? Est ce que l'espèce humaine évolue?
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Darwin et son évolution...
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Vu ce que l'on nous offre comme explications concernant l'évolution sur des centaines de milliers d'années en passant forcèment par des mutations on s'aperçoit que la plupart des êtres vivants ont subit des mutations bénéfiques.
Les mutations sont:
certaines silencieuses ou neutre
certaines défavorables
d'autres bénéfique
bénéfique ou défavorable sera toujours en fonction de l'environnement et de la capacité de cet organisme à s'y adapter, donc de survivre et de se reproduire, et ce qui est à un moment défavorable peut devenir favorable plus tard et vis vers sa, en gros c'est relatif:22:
maintenant l'argument des mutations défavorables qui seraient plus nombreuses!! est encore complètement faux!
les mutations défavorables sont souvent récessives, donc ne s'expriment pas, et n'ont aucune conséquence sur l'organisme en question, organisme hétérozygote, sauf si les deux partenaires ont cette mutation défavorables, et la transmettent à leur descendant qui se retrouve avec les 2 allèles atteinte de cette mutation, cas extrêmement rare, ou le cas où elles sont dominantes (une seul allèle suffis), l'organisme est dans tous les cas éliminé par sélection naturelle, et il ne transmet pas ces gènes au générations suivante.
Les mutations neutres non pathogènes, permettent justement la diversification au sein même d'une population ou espèce donnée, diversité(diversification un autre mécanisme de l'évolution) sur certain aspect comme la couleur de pelage, forme ..et ce sont ces mutations en réalité les plus nombreusesDernière modification par absente, 02 février 2010, 23h43.
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@Izno
Tu admets du bout des lèvres que les bactéries évoluent, maintenant, et comme tu le dis si bien passons au pluri-cellulaire : admets tu l'évolution de l'espèce humaine? Est ce que l'espèce humaine évolue?
Tu ne trouves pas cela grave comme conlusions? Ya LLALAl?
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Petit complément à ce débat: quelques idées reçues sur la théorie de l'évolution. A commencer par le fait que Darwin lui-même n'a jamais utilisé ce mot d'évolution, mais a construit sa théorie sur l'idée de sélection naturelle. De là à parler de "progrès", il n'y a que des dogmatiques convaincus pour l'affirmer.
Un article paru dans la revue La Recherche en octobre 2007 résume un peu cette dérive conceptuelle.
***
Une idée reçue : L'évolution mène toujours au progrès
Marc-André Selosse
Université Montpellier II
Bernard Godelle
Université Montpellier II
Publié par
Olivier Dequincey
19 - 10 - 2007
Résumé
Moteur de l’évolution, la sélection naturelle entraîne la survie du plus apte. De là à penser qu’elle implique forcément un progrès,il y a un pas que beaucoup franchissent. À tort ! Car la sélection naturelle favorise parfois des caractères désavantageux. Il faut également mettre au panier une autre idée reçue, héritée de la vision aristotélicienne qui plaçait l’homme au sommet de l’échelle du vivant.
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« La plus lourde tare imposée par la culture occidentale à l’évolutionnisme est la doctrine du progrès » disait Stephen Jay Gould. L’histoire de la vie raconte un chemin erratique, parfois réversible.
Évoluer équivaut-il à progresser ?
Évoluer équivaut-il à progresser ? Dans le langage courant, c’est souvent le cas. L’évolution biologique tend-elle forcément vers un « mieux » ? Beaucoup d’ouvrages didactiques l’acceptent tacitement. Après tout, l’idée de progrès est pour ainsi dire sous-jacente à la notion même de sélection naturelle : si celle-ci entraîne la survie du plus apte, alors les organismes s’améliorent au fil du temps. De plus, les organismes n’ont-ils pas accumulé de plus en plus de nouveautés, de complexité structurale et fonctionnelle au cours des temps géologiques ? Nul doute qu’aux organismes unicellulaires des premiers temps ont succédé des animaux et des plantes de plus en plus complexes.
Largement acceptés, ces deux raccourcis illustrent combien évolution et progrès sont souvent confondus. On trouve cette association d’idées dans les écrits de Darwin lui-même : « J’ai donné le nom de sélection naturelle ou de persistance du plus apte à cette conservation des différences et des variations individuelles favorables et à cette élimination des variations nuisibles [1]. » Mais de fait la responsabilité en incombe surtout à Herbert Spencer, ingénieur et sociologue anglais contemporain de Darwin, fort respecté à l’époque. C’est en effet lui qui, dans sa recherche des mécanismes régissant le fonctionnement des sociétés humaines, forge l’expression de « survie du plus apte » (Darwin est réticent à l’adopter – elle n’apparaîtra que dans la 5e édition de L’Origine des espèces). Et c’est aussi Spencer qui popularise le terme « évolution », absent du texte de Darwin, dans une Angleterre victorienne où les notions de changement et de progrès étaient intrinsèquement liées (lire « Darwin indécis », ci-dessous).
Pourtant, la sélection naturelle montre d’étranges paradoxes, qui ne constituent pas toujours des progrès. Prenons par exemple les différences morphologiques entre mâles et femelles, dont certaines sont très prononcées : seuls les cerfs mâles possèdent une ramure ; seuls les paons mâles ont une queue démesurée ; seuls les faisans mâles ont une livrée très colorée.
En 1871, Darwin explique ces caractères sexuels dits « secondaires » par la théorie de la sélection sexuelle : ils auraient été sélectionnés par l’avantage qu’ils confèrent aux mâles dans leur compétition pour accéder aux femelles. Il y voyait une préférence « esthétique » des femelles.
Note
Darwin indécis. Dans l'Angleterre victorienne, tout changement devait être un progrès. Cela a-t-il incité Darwin à adopter le terme « survie du plus apte », voire, dans certains textes, à évoquer un « progrès » ? « Ce perfectionnement [de l’évolution] conduit inévitablement au progrès graduel de l’organisation des êtres vivants », écrit-il. Mais sa position est nuancée (sinon contradictoire), car il souligne ailleurs qu’il « n’existe aucune tendance innée à un développement progressiste ». Selon Stephen J. Gould, Darwin en est venu à parler de progrès car il est tiraillé entre la logique de sa théorie et son confor-misme à l’époque victorienne, où la notion de progrès est un pivot. Darwin, « patricien britannique », se serait ici conformé au préjugé admettant l’existence d’un progrès. À moins que cela n’ait été une manière de faciliter l’acceptation de sa théorie ?
Attributs encombrants
En 1915, Ronald Fisher pressent que ces ornements encombrants et voyants sont des indicateurs de la bonne santé et de la vigueur des mâles qui les portent [2]. Les femelles, qui contrairement aux mâles n’ont qu’un nombre limité de descendants, auraient tout intérêt à choisir ces reproducteurs, gages d’une descendance robuste. Quelques années plus tard, Fisher, encore lui, postule que la préférence des femelles pour un caractère mâle donné exerce une pression de sélection sur les mâles et que la préférence femelle et le caractère mâle évoluent en parallèle, augmentant au cours du temps [3].
Or ce processus, que Fisher qualifie d’« emballement », peut entraîner des désavantages en termes de viabilité pour les mâles. En effet, les caractères sexuels secondaires mâles entravent la survie des individus : les bois des cerfs et la queue des paons mâles, encombrants, ne facilitent pas la fuite face aux prédateurs, tandis que la livrée très colorée d’un faisan mâle le rend facilement repérable. Autrement dit, les mâles plus aptes à se reproduire ont des attributs réduisant leur propre survie. Peut-on dès lors parler de progrès ?
Figure 1. Hirondelles rustiques
Chez l'hirondelle rustique, les plumes externes de la queue sont allongées en « filets ». Leur longueur, pour les mâles, est un gage de succès auprès des femelles. Contrepartie néfaste, ils sont gênés dans leur vol. In fine, la longueur des filets est un compromis entre la pression de sélection sexuelle et le coût de la perte d’agilité.Copyright : JEAN-LOU ZIMMERMANN/BIOS
Le paradoxe de certains effets négatifs de la sélection est également flagrant quand, plus généralement, on observe les conséquences de la compétition. Dans les Landes par exemple, au printemps, les superbes forêts de pins couvrent le sol d’une pluie de pollen. Au cours de l’évolution, la sélection des plus aptes a favorisé les plantes aux plus hauts troncs, dont les hautes frondaisons gagnent la compétition pour la lumière ; elle a sélectionné les individus qui produisent le pollen le plus abondant, et saturent ainsi les parties femelles des autres plants. De la sorte, ces individus empêchent leurs voisins de produire des descendants. Mais le pollen perdu et la matière investie dans les troncs sont un pur gâchis : ce sont autant de ressources qui ne produiront jamais de descendants !
(à suivre...)
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(suite et fin)
Mouche sans ailes
Pis, la sélection s’exerçant sur certains caractères peut menacer l’existence même des espèces qui les expriment [4]. C’est en particulier le cas des adaptations à un environnement restreint. Que penser de cette mouche des Kerguelen, Calycopteryx moseleyi, qui a perdu ses ailes ? En un sens, elle a « progressé » à l’échelle locale, car elle ne peut plus être entraînée hors de ces îles isolées par les vents forts qui les balaient. Mais elle ne peut pas non plus émigrer.
Si les îles Kerguelen disparaissaient, le « progrès adaptatif » de ces mouches serait fatal. Il en va de même pour les parasites qui se spécialisent sur un hôte unique – comme l’agent de la variole sur l’homme. Certes, ils optimisent ainsi l’exploitation de leur hôte, mais ils en deviennent dépendants au point que la disparition de cet hôte ou l’apparition de défenses très efficaces peuvent les éradiquer ! La spécialisation évolutive est donc un pari risqué, et le perfectionnement adaptatif dans un milieu peut rendre moins adapté à d’autres.
Survie personnelle réduite, gâchis de ressources, dépendance risquée à un milieu donné, la sélection du plus apte est parfois plus une course à l’abîme qu’un progrès. Et il n’y a pas lieu de s’en étonner ! On l’oublie souvent, la sélection du plus apte joue sur un temps restreint : c’est la sélection du plus apte à se reproduire à court terme. Ce qui n’implique pas forcément une optimisation globale.
Par ailleurs, la sélection n’est pas le seul moteur de l’évolution. Certains caractères sont en effet conservés ou perdus non par sélection, mais par le fait du hasard : c’est ce qu’on appelle la dérive génétique. Or, cette dérive concerne aussi bien les caractères favorables que les caractères neutres ou les caractères défavorables. Imaginons un couple avec deux ou trois enfants. Par hasard, certains caractères favorables des parents ne seront pas transmis à leurs enfants. Si cela se reproduit dans toute la population, alors ces caractères disparaissent. Inversement, la dérive peut conduire à la persistance de caractères défavorables.
Évidemment, la dérive agit d’autant plus vite que la population est petite, par exemple à la suite d’une forte mortalité ou lors de la fondation d’une nouvelle population. Ce fut le cas dans la population finlandaise, qui a commencé de croître il y a 2 000 ans, passant en environ 100 générations, et sans apport extérieur, d’un effectif réduit (encore inconnu) à une population de 5,1 millions de personnes [5]. La malchance a voulu que les premiers Finlandais aient possédé des caractères rares, parfois néfastes. Et aujourd’hui, en raison de la dérive génétique, une trentaine de maladies rares sont très fréquentes dans la population finlandaise. Décidément, l’évolution n’est pas systématiquement un progrès.
L’homme au sommet
Qu’en est-il de la seconde idée reçue qui veut qu’elle s’accompagne d’une complexification croissante ? N’observe-t-on pas, sur un temps long, un progrès graduel ? La loi biogénétique de Ernst Haeckel, formulée en 1866, le laisse entendre. Sa formule : « L’ontogenèse récapitule la phylogenèse » signifie en effet que l’embryon se développe en passant par différents stades semblables aux organismes qui l’ont précédé, avant d’aboutir à un stade de complexité ultime qui caractérise son espèce. Par exemple, l’embryon humain passerait par des stades analogues aux poissons, puis aux reptiles, avant de développer ses caractéristiques humaines.
Hélas, sa célèbre planche de dessins comparant le développement d’embryons, si souvent montrée en classe, est un faux : Haeckel avait sciemment introduit des modifications qui accroissent les ressemblances [6] ! Contrairement à une légende qui en découle, l’homme n’a pas de branchies au cours de son développement embryonnaire. Quant à l’idée de progrès sous-jacente, l’embryologiste Karl Ernst von Baer la tournait en dérision dès 1828 : « Imaginons que les oiseaux aient étudié leur propre développement tout en examinant la structure des mammifères adultes. Voici ce qu’enseigneraient leurs manuels : “Ces animaux présentent de nombreuses similitudes avec nos propres embryons, puisqu’ils n’ont pas de bec, exactement comme nous dans les cinq premiers jours d’incubation ; leurs extrémités ressemblent beaucoup aux nôtres à cette période, ils n’ont pas de plumes véritables mais de simples moignons [les poils] de sorte que nos oisillons sont bien plus avancés…”. » C’était souligner combien la loi biogénétique de Haeckel était sous-tendue par une vision anthropocentrique du vivant qui place l’homme au sommet de l’évolution.
Figure 2. La planche de Haeckel
Dessinée par Haeckel, cette planche montre trois étapes successives (de haut en bas) du développement embryonnaire de diverses espèces (de gauche à droite). Non conforme à la réalité, elle suggère exagérément que, dans les deux premières étapes, les embryons des espèces « plus évoluées » ressemblent aux embryons des espèces « moins évoluées »Copyright : FOTOTECA/LEEMAGE
Cette conception était imprégnée de l’« échelle des êtres » d’Aristote, qui classait les organismes du plus simple au plus complexe. Encore en vigueur au début du XIXe siècle, elle est alors directement transposée dans un contexte évolutionniste. Et, jusqu’au XXe siècle, on considère que les organismes de plus en plus complexes sont apparus les uns après les autres au cours du temps. Or, la complexification n’est pas inéluctable en évolution. Nombre de formes simples sont en effet apparues secondairement, par une évolution simplificatrice.
Prenons l’exemple du coelome. Cette cavité remplie de liquide est présente chez presque tous les animaux à symétrie bilatérale : les insectes, les vertébrés (le coelome y renferme les viscères), les vers annélides… Il y a des exceptions, comme les vers plats (ou Plathelminthes), qui en sont dépourvus, et les nématodes, ou encore les rotifères, qui n’en ont qu’une ébauche. L’a priori d’une évolution complexifiante avait conduit à regrouper les animaux sans coelome en un ensemble « primitif », les « acoelomates », et ceux n’ayant qu’une ébauche de cavité en un groupe « intermédiaire », les « pseudocoelomates » qui auraient précédé les organismes complexes dotés d’un coelome.
Simplicité trompeuse
Mais des études phylogénétiques, fondées sur des comparaisons de gènes, ont complètement bouleversé cette vision : les trois groupes dérivent d’ancêtres dotés d’un coelome ! L’absence de coelome résulte d’une perte, une simplification [7]. Une conséquence importante est qu’aucun organisme n’est « primitif » ou « évolué », ni « inférieur » ou « supérieur ». Toutes les espèces ont évolué aussi longtemps, et la simplicité cache parfois un parcours évolutif complexe. Il n’est que de considérer les baleines, qui ont perdu leurs membres postérieurs en redevenant aquatiques, ou l’homme, qui a perdu le pelage de ses ancêtres…
Stephen Jay Gould a consacré un remarquable ouvrage à réfuter l’idée de progrès dans l’histoire de la vie [8]. Il s’appuie entre autres sur le fait qu’il existe toujours des représentants actuels de phylums « simples » apparus à des périodes plus anciennes, et qui rencontrent encore un succès évolutif remarquable. Ainsi les poissons, apparus bien avant les mammifères et plus « simples » qu’eux, constituent plus de la moitié des vertébrés. Et que dire des bactéries et des unicellulaires, qui forment l’essentiel de la biomasse de la planète ! Autrement dit, plus de complexité ne laisse en rien présager un plus grand succès évolutif. Sans compter que chaque lignée évolue, comme nous l’avons vu, tantôt en se complexifiant, tantôt en se simplifiant. Gould propose de l’évolution des lignées l’image de la marche de l’ivrogne qui, longeant un trottoir d’un pas mal assuré, finit par tomber dans le caniveau. Est-il intrinsèquement attiré par le caniveau ? Non, sa démarche est erratique… S’il se heurte au mur, il repart de l’autre côté ; mais si par hasard il arrive au caniveau, il y tombe. De même, le vivant ne peut jamais se simplifier en deçà d’un minimum, mais peut « tomber » dans des niveaux d’une complexité accrue.
Le progrès, notion subjective, n’a décidément rien à voir avec l’évolution biologique : l’histoire de la vie raconte un chemin discontinu, mêlant innovations et pertes – un chemin erratique et souvent réversible.
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Tu te contentes des mutations ponctuelles qui rendent certaines bacteries resistantes pour expliquer des etres pluri-cellulaires comme le Paon ou le hippopotamus?
-Les bactéries évoluent via un processus de mutation.
Maintenant, je voudrais savoir si tu es d'accord avec ce point :
-Les êtres pluri cellulaires évoluent via un processus de mutation.
Si tu n'es pas d'accord, on débattra de ce point, si tu es d'accord on passera à la spéciation.Omar m'a tuer.
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@Izno
Je te souhaite tout le courage et la patience avec certaines forumistes. J'ai quelques centaines de messages sur l'évolution dans ce Forum et tu peut me croire, ce n'est pas la connaissance scientifique objective ou la curiosité et les faits qui motivent la plupart, mais uniquement des raisons liées aux croyances religieuses (combinée à une ignorance partielle ou totale des preuves de l'évolution) qui les empêchent de regarder la vérité telle qu'elle est. Tu ne trouvera jamais un topic sur la platitude de la terre par exemple ou un topic qui essai de réfuter la théorie atomique ou celle de l'origine stellaire des éléments naturels et pourtant l'évolution (et la parenté des espèces) est un fait pas moins vrai que ces derniers.
Il faut le dire et le répéter, il n'y a pas de controverse entre scientifiques et spécialistes de niveau sur le fait de l'évolution et la descendance à partir d'un ancêtre commun ... tous considèrent que cet un fait prouvé qu'il ne serait possible de remettre en cause.
@Passant
Le progrès, notion subjective, n’a décidément rien à voir avec l’évolution biologique : l’histoire de la vie raconte un chemin discontinu, mêlant innovations et pertes –
Même si cela a mené à l'homme, cela ne veut en aucun cas dire que la direction est celle du progrès, ou qu'il y a une finalité de l'évolution... mais c'est uniquement le résultats de la circonstance des choses (heureusement pour nous). Je suis persuadé que la vie existe dans des milliers (peut être des millions) de planètes extraterrestres (et extra-galactiques) mais que l'intelligence est extremement rares.
A commencer par le fait que Darwin lui-même n'a jamais utilisé ce mot d'évolution, mais a construit sa théorie sur l'idée de sélection naturelle.
Je viens de faire une recherche du mot évolution dans son livre fondateur "the origine of spiecies", le nombre d'occurrences est pas moins d'une douzaine.
Il est vrai que l'essentiel du travail de Darwin était d'expliquer l'évolution (qui était connu depuis un moment à l'époque) et la parenté des especes par une théorie adéquate, et il a bien réussi avec l'idée simple de la sélection naturelle. Mais pourquoi dis-tu qu'il n'a jamais parler d'évolution ????
Je conseil à tout ceux qui s'intéresse à connaitres la théorie de l'évolution et ses preuves irréfutables de lire :
http://whyevolutionistrue.**************/
et
http://richarddawkins.net/thegreatestshowonearthDernière modification par HB, 03 février 2010, 18h50.
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mais uniquement des raisons liées aux croyances religieuses (combinée à une ignorance partielle ou totale des preuves de l'évolution) qui les empêchent de regarder la vérité telle qu'elle est., l'absence de maitrise des concepts de base dans ce domaine, ni même celui d'un simple mécanisme comme la mutation pourtant accessible à celui qui voudrait l'apprendre ou savoir de quoi il s'agit exactement, car dans ces arguments copiés se trouvent d'énorme confusions, et d'erreurs, car la source elle même est ainsi..
Cette source: celle d'un gourous, célèbre et inculte, qui lit peu et écrit beaucoup( 'fait écrire), lui même il copie des arguments créationnistes évangéliste, celui là même qui a pendu "les miracles du coran", sachant que son seul bagage est bac + 2 en art et un casier judiciaire avec la plus honteux des crimes, celui d'agression sexuelle sur mineur
Le grand Harun Yahya de son vrai nom; adnan Oktar qui est devenu millionnaire grâce à la crédulité de certains musulman les arguments du gourous
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Et puis le sujet traité concernait les paons non?alors parlons des paons qui apparement ont donné du fil à retordre à ce darwin
@rica
L'ignorance, c'est le mal de tout les maux ...
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Oui mais bon, pourrais-tu répondre à cette question :
Pourquoi dame Nature nous a donné le pouvoir de la détruire, pourquoi a-t-elle permis de faire évoluer une espèce en lui donnant la capacité de la détruire ? N'est-ce pas là un contre sens ? Au nom de sa propre survie, donc au nom de la survie de toutes les espèces, l'évolution des capacités de l'Homme font tâche dans cette théorie.
Ceci dit je ne remet pas en question toute la théorie de Darwin, je pense qu'elle est incomplète car elle n'explique pas tout."un gouvernement oppressif amène la ruine de la prospérité publique" Ibn Khaldoun
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Hb
Curieuse information ! d'ou tiens tu cela ????? c'est presque grotesque !
Je viens de faire une recherche du mot évolution dans son livre fondateur "the origine of spiecies", le nombre d'occurrences est pas moins d'une douzaine.C’est en effet lui (Spencer) qui, dans sa recherche des mécanismes régissant le fonctionnement des sociétés humaines, forge l’expression de « survie du plus apte » (Darwin est réticent à l’adopter – elle n’apparaîtra que dans la 5e édition de L’Origine des espèces). Et c’est aussi Spencer qui popularise le terme « évolution », absent du texte de Darwin, dans une Angleterre victorienne où les notions de changement et de progrès étaient intrinsèquement liées
In January 1871, George Jackson Mivart's On the Genesis of Species listed detailed arguments against natural selection, and claimed it included false metaphysics.[52] Darwin made revisions to the sixth edition of the Origin, using the word "evolution" for the first time,[53] and added a new chapter VII, Miscellaneous objections, to address Mivart's arguments.[54]
The term evolution occurs nowhere in the first edition of The Origin of Species, and only the final word on page 490, "evolved" refers in the past tense to an unfolding of life forms. Lamarck, Haeckel and Darwin, three of the greatest 19th Century evolutionists of Europe, never used the word "evolution" in the original editions of their works. The word "evolution" in Darwin's day was firmly tied to a concept of progress, and Darwin rejected the concept that evolution and progress were synonymous.
http://www.jstor.org/pss/4447223Dernière modification par Passant, 03 février 2010, 20h28.
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bonsoir chère petite brise,
ça me fait plaisir de te revoir ici et j'en profites de ce topic pour te passer le bonjour et essayer de te répondre
Pourquoi dame Nature nous a donné le pouvoir de la détruire, pourquoi a-t-elle permis de faire évoluer une espèce en lui donnant la capacité de la détruire ? N'est-ce pas là un contre sens ?
le contre sens à mon avis est de dire que tout viens de dieu et que ce même dieu à donné a l'homme la capacité de se détruire ??? en sachant a l'avance qu'il va se détruire ? sens interdit !!!!
Ceci dit je ne remet pas en question toute la théorie de Darwin, je pense qu'elle est incomplète car elle n'explique pas tout....blache
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@Revo
Bonsoir Revo,
Le grand probleme avec l'evolution est celui de l'evolution dans d'autre planete. Pourquoi donc cette soit-disant diversite due a cette evolution est absente dans des planetes ou l'eau ne se trouve pas? Pourquoi la selection naturelle n'a pas cree des especes dans Mars par exemple, ou dans Venus par les memes mechanismes de selections?
La diversite n'est tres abondante que sur terre, une planete connue par l'abondance de l'eau.
J'ai utilise des planetes proches de la terre et qui ont un age pas tres loin de celui de la terre.Dernière modification par absent, 03 février 2010, 21h48.
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bonsoir mouloudBonsoir Revo,
Le grand probleme avec l'evolution est celui de l'evolution dans d'autre planete. Pourquoi donc cette soit-disant diversite due a cette evolution est absente dans des planetes ou l'eau ne se trouve pas? Pourquoi la selection naturelle n'a pas cree des especes dans Mars par exemple, ou dans Venus par les memes mechanismes de selections?
La diversite n'est tres abondante que sur terre, une planete connue par l'abondance de l'eau.
J'ai utilise des planetes proches de la terre et qui ont un age pas tres loin de celui de la terre.
je redis encore une fois que l'evolution n'est pas "intelligente " .
ce qui est bien avec cette théorie, c'est qu'on peut trouver des réponse cohérente, par exemple concernant la question pourquoi la vie a apparu sur terre et pas ailleurs, on peut répondre par le fait que la terre se situe a la bonne distance vis a vis du soleil, qu'elle a un bon cycle d'évolution autours d'elle même et autours du soleil qui ont permis a ce que la vie a apparue sur terre pas ailleurs ...etc
on ne peut pas justifier l'exactitude ou l'inexactitude d'une théorie que par la négation, il y'as la confirmation aussi de fait quantifiable....blache
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