Les Algériens, eux, en appellent à la justice et au droit. !
Oh bon !
pour ta gouverne : pas de crédit ! droit de réponse
nous sommes pas sous la main lourde marocaine .
wadghiri
STP ! cesse de te focaliser sur houari16
ni Drs , ni sidi zakri , un internaute comme toi , la différence entre toi et moi ..c est que je discute et je ne fait que répondre à vos connerie en donnant des faits historiques et ce que dit les journaux marocains et algeriens .point/barre !
**Ce contentieux peut-il être oublié côté algérien ? Certainement pas. Ni par les familles algériennes elles-mêmes dont certaines ont engendré des hauts cadres de l’État et qui avaient vécu, dans leur chair, ce que suppose la “fraternité” marocaine.
L’État ne peut également oublier, ni tolérer ces spoliations, surtout que le Maroc avait même indemnisé les colons français et jamais rien proposé aux Algériens spoliés.
Récemment, le ministre d’État, ministre de l’Intérieur, Yazid Zerhouni, connaissant bien ce dossier du fait que certaines familles spoliées sont issues de la région frontalière, avait estimé que “la construction du Grand-Maghreb est une nécessité historique qui passe par un discours de vérité”.
PS : contraire aux marocains , Les Algériens, eux, en appellent à la justice et au droit.
posté par fhama tor
Toi t'es un perroquet ,aucun sens d'analyse ni de synthèse,tu me ramènes rien de nouveau ,tu me saoules avec tes messages et je t'ai demandés la dernière fois de ne plus répondre à mes messages.
Toi t'es un perroquet ,aucun sens d'analyse ni de synthèse,tu me ramènes rien de nouveau ,tu me saoules avec tes messages et je t'ai demandés la dernière fois de ne plus répondre à mes messages.
pour ta gouverne : pas de crédit ! droit de réponse
nous sommes pas sous la main lourde marocaine .
ce qui me fait marrer, ce sont des gens comme houari (mais à la fin rien ne m'etonne des gens à la solde du FLN et de la DRS),
STP ! cesse de te focaliser sur houari16
ni Drs , ni sidi zakri , un internaute comme toi , la différence entre toi et moi ..c est que je discute et je ne fait que répondre à vos connerie en donnant des faits historiques et ce que dit les journaux marocains et algeriens .point/barre !
Alors que MohaMmed VI exige la réouverture des frontières
Les terres d’Algériens toujours confisquées au Maroc
On a souvent réduit le contentieux qui mine les relations entre l’Algérie et le Maroc à la simple question sahraouie.
Or, face à la campagne de déchaînement de Rabat, qui appelle avec une trop bruyante insistance à la réouverture des frontières, le dossier de l’expropriation des terres des Algériens résidant au Maroc n’a toujours pas été réglé par ce pays.
Récemment, le roi Mohammed VI, dans un discours à ses sujets, a encore “exigé” la réouverture des frontières communes. Il a mis en avant la “sincérité” et la “fraternité” qui devraient caractériser les relations bilatérales. Dans les médias marocains, l’hystérie habituelle contre l’Algérie s’enclenche à travers une pression médiatique, diplomatique et associative qui a même poussé certaines associations à déposer une plainte contre le président Bouteflika devant le… TPI.
Il est question de “la marche noire” des expulsés marocains d’Algérie en 1975, de la récupération de biens ou encore des insultes contre le défunt président Boumediène et son ancien ministre des Affaires étrangères, le même Bouteflika, accusés d’avoir humilié les Marocains.
Toutefois, l’argumentaire marocain occulte tout un pan de l’histoire algéro-marocaine. Comment en est-on arrivé là ? Pourquoi les relations entre frères maghrébins sont devenues aussi tendues ? Quel est ce contentieux terrien qui, sans règlement, continuera d’empoisonner le climat maghrébin ?
Après l’attentat de l’hôtel Hasni, à Marrakech, le Maroc avait décidé, sous l’impulsion de Hassan II, de chasser des milliers d’Algériens. Brimades, passages à tabac, humiliations, expulsions.
Les ressortissants algériens ont eu droit à un traitement de choc de la part de voisins qui ne trouvaient rien d’autre à dire que d’accuser les services algériens d’être à l’origine de cet attentat. Affirmation largement démentie par le procès des terroristes marocains, exécutants de cet acte terroriste. D’ailleurs, il serait utile de rappeler qu’Alger attend toujours de Rabat les excuses officielles quant à ces accusations infondées.
Les terres d’Algériens toujours confisquées au Maroc
On a souvent réduit le contentieux qui mine les relations entre l’Algérie et le Maroc à la simple question sahraouie.
Or, face à la campagne de déchaînement de Rabat, qui appelle avec une trop bruyante insistance à la réouverture des frontières, le dossier de l’expropriation des terres des Algériens résidant au Maroc n’a toujours pas été réglé par ce pays.
Récemment, le roi Mohammed VI, dans un discours à ses sujets, a encore “exigé” la réouverture des frontières communes. Il a mis en avant la “sincérité” et la “fraternité” qui devraient caractériser les relations bilatérales. Dans les médias marocains, l’hystérie habituelle contre l’Algérie s’enclenche à travers une pression médiatique, diplomatique et associative qui a même poussé certaines associations à déposer une plainte contre le président Bouteflika devant le… TPI.
Il est question de “la marche noire” des expulsés marocains d’Algérie en 1975, de la récupération de biens ou encore des insultes contre le défunt président Boumediène et son ancien ministre des Affaires étrangères, le même Bouteflika, accusés d’avoir humilié les Marocains.
Toutefois, l’argumentaire marocain occulte tout un pan de l’histoire algéro-marocaine. Comment en est-on arrivé là ? Pourquoi les relations entre frères maghrébins sont devenues aussi tendues ? Quel est ce contentieux terrien qui, sans règlement, continuera d’empoisonner le climat maghrébin ?
Après l’attentat de l’hôtel Hasni, à Marrakech, le Maroc avait décidé, sous l’impulsion de Hassan II, de chasser des milliers d’Algériens. Brimades, passages à tabac, humiliations, expulsions.
Les ressortissants algériens ont eu droit à un traitement de choc de la part de voisins qui ne trouvaient rien d’autre à dire que d’accuser les services algériens d’être à l’origine de cet attentat. Affirmation largement démentie par le procès des terroristes marocains, exécutants de cet acte terroriste. D’ailleurs, il serait utile de rappeler qu’Alger attend toujours de Rabat les excuses officielles quant à ces accusations infondées.
L’État ne peut également oublier, ni tolérer ces spoliations, surtout que le Maroc avait même indemnisé les colons français et jamais rien proposé aux Algériens spoliés.
Récemment, le ministre d’État, ministre de l’Intérieur, Yazid Zerhouni, connaissant bien ce dossier du fait que certaines familles spoliées sont issues de la région frontalière, avait estimé que “la construction du Grand-Maghreb est une nécessité historique qui passe par un discours de vérité”.
PS : contraire aux marocains , Les Algériens, eux, en appellent à la justice et au droit.
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