FOOT - Enfin l’année des Oranje ou la résurrection de la Celeste?...
Ceux qui avaient prévu cette demi-finale ne sont pas nombreux. Certes, les Pays-Bas sont depuis longtemps l’une des nations fortes du foot mondial. Les Oranje ont connu les années Cruyff et Rep, marquées par deux finales de Coupe du monde perdues (1974, 1978), puis les années Van Basten avec la victoire à l’Euro 1988, avant de connaître de multiples désillusions. Les Bergkamp, Overmars, De Boer, Seedorf, Van Nistelrooy font partie des meilleurs joueurs du monde, mais les Pays-Bas ont la fâcheuse tendance à manquer la dernière marche, comme en 1998 où ils perdent en demi-finale aux penalties contre le Brésil, puis lors du même exercice en demi-finale de l’Euro 2000 ils échouent face à l’Italie. En douze ans, les Néerlandais ont participé à deux demi-finales d’Euro (2000 et 2004) et à une demi-finale de Coupe du monde (1998). Une régularité pas encore payante. Les Sneijder, Robben et Van Persie, vainqueurs du Brésil en quart de finale (2-1) sauront-ils enfin concrétiser les espoirs placés dans leur équipe nationale?
Face à eux, un revenant. L’Uruguay? Une équipe sortie d’un livre d’histoire du football, qui a emporté deux Coupes du monde en 1930 et 1950, et qui aurait pu en remporter plus si elle n’avait pas snobé les compétitions de 1934 et 1938. Depuis, la Celeste s’est faite oublier. Jusqu’à aujourd’hui. L’Uruguay est désormais le dernier représentant du continent sud-américain. Certes, le tableau l’a avantagée car, en dehors de la France en poule, la Celeste n’a pas affronté de grandes nations (ou supposées telle). Elle s’est débarrassée de la Corée du Sud (2-1), puis du Ghana, au terme d’un match épique marqué par l’expulsion pour une main volontaire de Luis Suarez. Ce dernier manquera d’ailleurs face aux Pays-Bas et, au vu de sa complémentarité avec Diego Forlan en attaque, cette absence pourrait coûter cher.
Source: 20 Minutes
Ceux qui avaient prévu cette demi-finale ne sont pas nombreux. Certes, les Pays-Bas sont depuis longtemps l’une des nations fortes du foot mondial. Les Oranje ont connu les années Cruyff et Rep, marquées par deux finales de Coupe du monde perdues (1974, 1978), puis les années Van Basten avec la victoire à l’Euro 1988, avant de connaître de multiples désillusions. Les Bergkamp, Overmars, De Boer, Seedorf, Van Nistelrooy font partie des meilleurs joueurs du monde, mais les Pays-Bas ont la fâcheuse tendance à manquer la dernière marche, comme en 1998 où ils perdent en demi-finale aux penalties contre le Brésil, puis lors du même exercice en demi-finale de l’Euro 2000 ils échouent face à l’Italie. En douze ans, les Néerlandais ont participé à deux demi-finales d’Euro (2000 et 2004) et à une demi-finale de Coupe du monde (1998). Une régularité pas encore payante. Les Sneijder, Robben et Van Persie, vainqueurs du Brésil en quart de finale (2-1) sauront-ils enfin concrétiser les espoirs placés dans leur équipe nationale?
Face à eux, un revenant. L’Uruguay? Une équipe sortie d’un livre d’histoire du football, qui a emporté deux Coupes du monde en 1930 et 1950, et qui aurait pu en remporter plus si elle n’avait pas snobé les compétitions de 1934 et 1938. Depuis, la Celeste s’est faite oublier. Jusqu’à aujourd’hui. L’Uruguay est désormais le dernier représentant du continent sud-américain. Certes, le tableau l’a avantagée car, en dehors de la France en poule, la Celeste n’a pas affronté de grandes nations (ou supposées telle). Elle s’est débarrassée de la Corée du Sud (2-1), puis du Ghana, au terme d’un match épique marqué par l’expulsion pour une main volontaire de Luis Suarez. Ce dernier manquera d’ailleurs face aux Pays-Bas et, au vu de sa complémentarité avec Diego Forlan en attaque, cette absence pourrait coûter cher.
Source: 20 Minutes
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