La finale de la Coupe du Monde de la FIFA 2010 s’annonce comme un rendez-vous spectaculaire entre deux des équipes ayant montré le plus beau football en Afrique du Sud. Il en sortira un champion inédit, qui rejoindra le cercle très fermé composé de l’Uruguay, l’Italie, la France, le Brésil, l’Allemagne, l’Angleterre et l’Argentine.
Le match
Pays-Bas - Espagne. Finale, Johannesburg, Soccer City Stadium, dimanche 11 juillet, 20h30 (heure locale)
Difficile d’assister à une rencontre plus équilibrée. Le bilan des neuf précédentes confrontations entre les deux équipes affiche quatre succès de chaque côté et un nul.
Il s’agit de la première finale de Coupe du Monde de la FIFA pour la Furia Roja, une performance accomplie par la génération qui a mis fin à une période de 44 ans sans titre international pour l'Espagne, en remportant l'UEFA EURO 2008. Les Pays-Bas apparaîtront quant à eux pour la troisième fois à ce stade de la compétition. "L’Orange Mécanique" conduite par Johan Cruyff avait raté la dernière marche en 1974 et en 1978, chaque fois face au pays organisateur, l’Allemagne et l’Argentine respectivement.
Les Pays-Bas ont jusqu’ici effectué un sans faute dans cette édition. Ils revendiquent six succès en autant de rencontres, avec 12 buts marqués et 5 encaissés. L’Espagne, après une défaite en première journée, a relevé la tête pour enchaîner cinq victoires, avec un rendement plus modeste de 7 buts inscrits mais seulement deux concédés.
Par ailleurs, cette finale marquera la fin de la malédiction pour les nations européennes, qui n’étaient encore jamais parvenues à s’adjuger la couronne mondiale hors du Vieux Continent.
Le duel
Wesley Sneijder (NED) - David Villa (ESP)
Ces deux joueurs sont les meilleurs buteurs de la compétition avant le match pour la troisième place et tous deux postulent au Ballon d’or adidas récompensant le meilleur joueur du tournoi. Chacun a marqué des buts décisifs dans le parcours de son équipe. L’un d’eux réussira-t-il à faire main basse sur les trois trophées ?
La stat
8. Ce sera la huitième finale 100 % européenne de l’histoire de la Coupe du Monde de la FIFA, sachant que depuis 1954, c'est-à-dire lors des 14 dernières éditions, il y a toujours eu au représentant européen à ce niveau de la compétition. On compte au total 16 finales avec une au moins équipe européenne et seulement deux finales 100 % sud-américaines. L’ultime rencontre a opposé à neuf reprises une formation européenne et une sud-américaine.
Entendu…
"Je ne pense pas que David Villa soit l’élément le plus dangereux de l’Espagne. C’est Xavi et Iniesta qu’il faudra particulièrement surveiller. Ce sont eux qui orchestrent le jeu et qui font en sorte que la balle arrive dans les pieds de Villa. Nous ne devrons pas les laisser jouer et agir à leur guise sur le terrain. Il faudra les marquer de très près, car si nous leur laissons le moindre espace, nous aurons des problèmes." - Arjen Robben, attaquant des Pays-Bas
"Je ne pense pas que les Pays-Bas aient l'intention de fermer le jeu. Ils ont des joueurs rapides et certains d’entre eux sont en grande forme actuellement. Ils vont rester fidèles à leur style, comme nous. Je connais Robben, il est rapide, puissant et talentueux. Naturellement, je vais beaucoup me méfier de ses frappes à l’entrée de la surface, mais il faudra tout faire pour le neutraliser. Cela dit, les Pays-Bas ne se limitent pas à Robben. Ils sont forts en défense et au milieu de terrain. Sneijder et Kuyt sont également dangereux." - Iker Casillas, gardien de but de l’Espagne
Parole de fans
"C’est l’opposition entre la défense néerlandaise et le milieu de terrain espagnol qui fera pencher la balance. La force de l’Espagne, c’est son jeu impeccable à une touche de balle qui déconcentre ses adversaires. Si Van Bommel et De Jong parviennent à enrayer la machine, les Pays-Bas auront de bonnes chances de soulever le trophée pour la première fois"
FIFA.COM
Le match
Pays-Bas - Espagne. Finale, Johannesburg, Soccer City Stadium, dimanche 11 juillet, 20h30 (heure locale)
Difficile d’assister à une rencontre plus équilibrée. Le bilan des neuf précédentes confrontations entre les deux équipes affiche quatre succès de chaque côté et un nul.
Il s’agit de la première finale de Coupe du Monde de la FIFA pour la Furia Roja, une performance accomplie par la génération qui a mis fin à une période de 44 ans sans titre international pour l'Espagne, en remportant l'UEFA EURO 2008. Les Pays-Bas apparaîtront quant à eux pour la troisième fois à ce stade de la compétition. "L’Orange Mécanique" conduite par Johan Cruyff avait raté la dernière marche en 1974 et en 1978, chaque fois face au pays organisateur, l’Allemagne et l’Argentine respectivement.
Les Pays-Bas ont jusqu’ici effectué un sans faute dans cette édition. Ils revendiquent six succès en autant de rencontres, avec 12 buts marqués et 5 encaissés. L’Espagne, après une défaite en première journée, a relevé la tête pour enchaîner cinq victoires, avec un rendement plus modeste de 7 buts inscrits mais seulement deux concédés.
Par ailleurs, cette finale marquera la fin de la malédiction pour les nations européennes, qui n’étaient encore jamais parvenues à s’adjuger la couronne mondiale hors du Vieux Continent.
Le duel
Wesley Sneijder (NED) - David Villa (ESP)
Ces deux joueurs sont les meilleurs buteurs de la compétition avant le match pour la troisième place et tous deux postulent au Ballon d’or adidas récompensant le meilleur joueur du tournoi. Chacun a marqué des buts décisifs dans le parcours de son équipe. L’un d’eux réussira-t-il à faire main basse sur les trois trophées ?
La stat
8. Ce sera la huitième finale 100 % européenne de l’histoire de la Coupe du Monde de la FIFA, sachant que depuis 1954, c'est-à-dire lors des 14 dernières éditions, il y a toujours eu au représentant européen à ce niveau de la compétition. On compte au total 16 finales avec une au moins équipe européenne et seulement deux finales 100 % sud-américaines. L’ultime rencontre a opposé à neuf reprises une formation européenne et une sud-américaine.
Entendu…
"Je ne pense pas que David Villa soit l’élément le plus dangereux de l’Espagne. C’est Xavi et Iniesta qu’il faudra particulièrement surveiller. Ce sont eux qui orchestrent le jeu et qui font en sorte que la balle arrive dans les pieds de Villa. Nous ne devrons pas les laisser jouer et agir à leur guise sur le terrain. Il faudra les marquer de très près, car si nous leur laissons le moindre espace, nous aurons des problèmes." - Arjen Robben, attaquant des Pays-Bas
"Je ne pense pas que les Pays-Bas aient l'intention de fermer le jeu. Ils ont des joueurs rapides et certains d’entre eux sont en grande forme actuellement. Ils vont rester fidèles à leur style, comme nous. Je connais Robben, il est rapide, puissant et talentueux. Naturellement, je vais beaucoup me méfier de ses frappes à l’entrée de la surface, mais il faudra tout faire pour le neutraliser. Cela dit, les Pays-Bas ne se limitent pas à Robben. Ils sont forts en défense et au milieu de terrain. Sneijder et Kuyt sont également dangereux." - Iker Casillas, gardien de but de l’Espagne
Parole de fans
"C’est l’opposition entre la défense néerlandaise et le milieu de terrain espagnol qui fera pencher la balance. La force de l’Espagne, c’est son jeu impeccable à une touche de balle qui déconcentre ses adversaires. Si Van Bommel et De Jong parviennent à enrayer la machine, les Pays-Bas auront de bonnes chances de soulever le trophée pour la première fois"
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