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Real Madrid VS FC Barcelone, ce mercredi soir (20h45) à Santiago-Bernabeu.

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  • au Maroc on a des chèvres et cassées c'est différent.....

    w 3lah tfakarni 3lah.....ana je les avais oublié j'étais sur mon petit nuage avec le Barca mais t'as tout gaché....


    donc tu disais concernant nos chèvres la..
    Pour moi le Maghreb c'est les pays d’Afrique du nord

    Sinon je persiste, Messi n'a besoin de personne, les autres il ne sont que des videurs!!
    And ye shall know the truth and the truth shall make you free.

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    • En général, ceux qui critiquent le jeu défensif du Real et le coaching de Mourinho suivent très peu la Liga. Or, on ne peut pas se faire une idée sur le jeu du Real si on ne voit de leurs matchs que les Classico. Ma foi, j'ai du mal à imaginer une façon de jouer autre que celle de Mourinho pour gagner le Barça. Ce qui ne veut pas dire pour autant que le Real joue de la même manière tout au long de l'année, je n'en veux pour preuve que leur dernier match de championnat où ils ont mis 6 buts à Valence.

      Sous le coup de la pression, l'arbitre meskine a sorti un carton rouge au pire moment où il pouvait le faire, tellement darou bihe el ghachi ta3 Barcelone kal'houme hawe le carton, rouhou khtouni berk. On aurait pu voir tout à fait autre chose sans cette expulsion. Le match retour est grandement compromis à présent, hélas.
      -
      Ce n’est pas un homme, c’est un champignon.
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      • Guardiola:«Messi rend tout facile»

        Auteur d'un doublé mercredi soir à Bernabeu contre le Real Madrid, Lionel Messi a égaillé un Clasico très tendu. De quoi recevoir les félicitations de l'entraîneur barcelonais Pep Guardiola : «Nous avons une chance immense d'avoir Messi avec nous. A 23 ans, il est déjà le troisième meilleur buteur de l'Histoire du Barça. Je crois qu'il en est à 54 buts cette saison. C'est une folie ! Il rend tout facile et est acteur principal de notre football
        And ye shall know the truth and the truth shall make you free.

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        • Pour moi le Maghreb c'est les pays d’Afrique du nord

          je sais, je voulais pas parler de nos chèvres à nous tous. y en a qui le prendront pour de la provoc....enfin bon passons...


          Sinon je persiste, Messi n'a besoin de personne, les autres il ne sont que des videurs!!

          si tu veux, mais il a fait gagné son équipe....c'est que du bon....

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          • je sais, je voulais pas parler de nos chèvres à nous tous. y en a qui le prendront pour de la provoc....enfin bon passons...
            Rien à foutre des frustrés ! une chèvre est une chèvre !
            And ye shall know the truth and the truth shall make you free.

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            • revenons au match et laissons les chèvres

              les notes :

              Real Madrid


              Casillas : 6,5 "San Iker" ne peut pas tout le temps faire des miracles ! Malgré de nombreux arrêts, le Madrilène a dû céder par deux fois face à Lionel Messi.

              Arbeloa : 3 S'il a beau être solide dans son couloir, Arbeloa n'en finit plus de devenir le "Bad Boy" du Real Madrid, ce dernier n'arrêtant pas de mettre des coups à tout-va. Le genre de football qu'on aime pas voir...

              Ramos : 5,5 Un jaune qui le suspend automatiquement pour le match retour au Nou Camp. Match solide par ailleurs, sauf sur le second but de Messi où il se fait mystifier.

              Albiol : 5 A souffert dans l'axe face à un Messi et un Villa très remuants.

              Marcelo : 5 Le Brésilien a été moins à son aise dans son couloir, la
              faute à un Carles Puyol des grands soirs.

              Alonso : 5 De bons ballons sur coup de pied arrêtés mais assez discret tout au long de la rencontre.

              Pepe : 3 Ses fautes de boucher passent peut-être en finale de Coupe du Roi, mais pas en Ligue des champions... Monsieur Stark le lui a fait savoir en l'expulsant (61e). Il sera donc privé du match retour au Nou Camp.

              Diarra : 5,5 Un bon match du Français, qui a tenté de recoller les brèches et d'empêcher le jeu du Barça de se développer.

              Özil : 4,5 Un face à face détourné par Valdes en fin de première période, et puis c'est à peu près tout pour l'Allemand qui a été moins en vue qu'à l'accoutumé. Remplacé par Adebayor.

              Ronaldo : 4 Ronaldo méritait peut-être une note supérieure, mais le Portugais n'a cette fois-ci pas fait la différence, comme ce fut le cas en finale de la Coupe du Roi.

              Di Maria: 5 Du bon et du moins bon pour l'ailier argentin qui a réussi à faire quelques fois la différence mais s'est laissé tomber assez facilement...




              FC Barcelone


              Valdés : 6 Deux arrêts déterminants sur Ronaldo puis Özil (44e), Valdes a tenu son rang.

              Alves : 5 Il n'a pas autant dévoré son couloir qu'à l'accoutumée, mais a au moins eu le mérite de faire exclure Pepe...

              Mascherano: 6,5 De nouveau repositionné dans l'axe, l'Argentin a fait le boulot et pas qu'un peu.

              Piqué : 5 Un match correct de la part du "Shakira" boy, sans plus.

              Puyol : 6,5 Positionné dans le couloir gauche, Puyol a rappelé aux Madrilènes qu'il était un grand défenseur, quelque soit son poste.

              Xavi : 6,5 Xavi va bien, merci. De belles occasions à son actif avec une précision toujours aussi incroyable aussi bien dans ses passes que dans ses déplacements. Le chef d'orchestre en somme.

              Busquets : 5 Plutôt discret dans un match très physique, mais a fait le boulot, comme d'habitude.

              Keita : 6 Un abattage de tous les instants pour le Malien, qui a fait un bien fou dans l'entrejeu.

              Pedro : 5,5 De la volonté sur son côté avec de beaux déboulés mais des carences dans la finition. Remplacé par Afellay. Le Néerlandais offre la balle de but à Messi sur son deuxième ballon touché.

              Messi : 8 Il a mis tout le monde d'accord. En une mi-temps, Lionel Messi s'est fendu d'un doublé salvateur qui a réconcilié tous les spectateurs avec le football. Merci la "Pulga"

              Villa: 6,5 Le "Guaje" est de retour. Très bon match de l'Espagnol avec de belles occasions à son actif.

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              • Envoyé par Pecos
                Rien à foutre des frustrés ! une chèvre est une chèvre !
                Ya weddi, n'insiste pas sur les chèvres", Mezzo est dans les parages.
                "Si loin que nous portent nos pas, ils nous ramènent toujours à nous-mêmes" (Proverbe Twareg).

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                • Envoyé par mezzo
                  Une lecon de foot sur le terrain; les stat sont sans appel: plus de 80 % de possession de balle et presque 500 passes contre 200 et une autre lecon sur le coaching sans parler des demonstrations de combinaison devant le regard ebloui des brebis, en somme une soiree inoublable avec un messi .... genius
                  Le real a joue le match nul mais l'a mal joue Mourinhio n'a pas su exploiter les armes du real et misait sur le match retour mais la c'est presque rate le retour au campnou sera complique pour le real avec l'absence de pepe et ramos PECOS AKTARUS g une pensee compatissante pour vous

                  amicalement votre
                  En dehors de Messi, perso, je n'ai pas vu de foot.
                  La tension et la pression ont réussi à tuer le match. Messi, avec ses éclats, a réussi à l'enterrer.
                  Sans ce Djen, la physionomie du match aurait été autre. Mais il est là, et tant mieux pour le beau jeu.
                  "Si loin que nous portent nos pas, ils nous ramènent toujours à nous-mêmes" (Proverbe Twareg).

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                  • Dans une ambiance bouillante marquée par plusieurs accrochages, le FC. Barcelone s’est mis dans une position des plus confortables en vue de la finale en s’imposant 2-0 au Santiago Bernabeù.
                    L’opposition de style à bien eu lieu entre le Real Madrid et son rival catalan. Et c’est le Barça qui en sort vainqueur, en restant fidèle à son idée de jeu tout en répondant au défi psychologique du Real. Comme toujours, on ne reviendra pas trop sur les incidents qui ont eu lieu. Certes il y à eu de l’engagement, parfois trop, du cinéma, de la simulation et quelques coups en douces, mais on préférera parler football, car ce soir c’est la volonté de jouer qui l’a emporté.
                    Mourinho avait finalement choisi Diarra au milieu, alors que Guardiola préférait Keita comme convenu. Si Madrid restait en place dans son camp en serrant les lignes, cela n’empêchait nullement le Barça de se créer des opportunités. Une première volée de Xavi (3’) atterrissait dans les bras de Casillas, Villa venait ensuite chatoyer du gauche le poteau du portero (16’) avant que San Iker ne repousse de près la tentative de Xavi (25’), idéalement servi par Messi. Les blaugrana s’évertuaient à faire tourner le ballon, redoublant de patience, temporisant jusqu’à déceler l’espace exploitable, au grand dam de Ronaldo, agacé de se voir seul au pressing (18’). Longtemps, les chances catalanes passées par la relation Xavi/Messi, qui combinaient à merveille dans l’axe, bénéficiant du travail de Pedro et Villa qui étiraient le bloc au possible. Il faut dire que le Real était condamné à contre-attaquer, et seul Di Maria parvenait par moment à prendre le dessus sur Alves . Les coups de pieds arrêtés gagnés se sont vus mal exploités, et le Real ne réussi pas à enchainer plusieurs relais pour se mettre en position dangereuse. Juste avant la pause, Cristiano Ronaldo signait la seule action digne d’intérêt pour le Real en envoyant un véritable canon de 25m dont Valdès eu toutes les peines du monde à détourner (44’).

                    Le Real encore réduit à 10
                    Durant la pause, Pinto se fit expulser pour une gifle sur Arbeloa alors que les joueurs regagnaient les vestiaires dans une ambiance des plus tendue. Cela faisant suite à l’accrochage Pedro/Arbeloa, où le flagrant antijeu du madrilène est tout aussi sanctionnable que le pitoyable jeu d’acteur du catalan. La suite vit entrer Adebayor pour Ozil, très discret et ne parvenant pas à se placer entre les lignes. Le Real sortait enfin de sa torpeur pour presser davantage le Barça et empêcher la 1ere relance. Mais les limites d’une tactique attentiste et basée sur le contre trouva en cette soirée sa limite, et Pepe retournait au vestiaire pour une semelle plus spectaculaire que réellement méchante sur Alves (60’). Il était rejoint dans la foulée par Mourinho applaudissant de manière ironique cette décision qui ne manquera pas de faire parler d’elle, soyez-en sûr.
                    En infériorité numérique, le Real ne contenait plus les assauts catalans, Casillas remportait son duel face à Villa sans que Pedro ne réussisse à conclure de la tête (67’). Hors du coup et vicieux, le jeune ailier cédait sa place pour Afellay. Un coaching gagnant puisque l’hollandais profitait d’une glissade de Marcelo et servit Messi au 1er poteau pour l’ouverture du score logique (78’). Les hommes de Pep’ n’en restaient pas là, et Messi, après un relais avec Busquets, déboulonnait plein axe de 40m, éliminait 3 défenseurs pour battre Casillas du droit (88’). Un but digne des grands, qui conclu une rencontre houleuse dans laquelle le Barça su garder ses nerfs pour se concentrer sur sa qualité première : jouer au football. Cependant rien n’est complètement fini, Mourinho garde sûrement un dernier tour dans sa manche pour le retour, mais il faudra marquer et se découvrir.
                    Pep’ avait donné rendez-vous, on sait désormais qu’il ne pose pas de lapin.


                    Les joueurs :
                    Casillas (7,5) : Encore très bon sur sa ligne, il a retardé l’échéance devant Villa ou Xavi(25’, 67’). Un comportement toujours aussi exemplaire par ailleurs.
                    Arbeloa (5) : Il a régulièrement pris le dessus sur Pedro, avec agressivité parfois. Plus en difficulté face à Villa, il n’a comme souvent pas participé offensivement.
                    S.Ramos (5,5) : Il manquera le retour, suspension oblige. Sa vitesse et son sens de l’anticipation lui ont valut de remporter pas mal de duels, sauvant une frappe de Messi (46’). Mais il est devancé par ce même Messi sur l’ouverture du score…
                    Albiol (4) : Il va faire des cauchemars de l’argentin, chaque Clàsico est un calvaire pour lui. Pourtant, il fut au niveau en première période, mais sombra ensuite.
                    Marcelo (6) : Il a mangé Pedro et s’est projeté rapidement vers l’avant. Il a voulu faire du jeu et, coup du sort, c’est lui qui glisse devant Afellay…Pour une conséquence désastreuse.
                    Xabi Alonso (5) : Moins rayonnant que d’habitude, il n’a pu faire parler son jeu long et ses coups francs furent mal tirés. Il a davantage bossé à la recup’ que dans l’orientation, absence de Kkedira oblige.
                    Lass (5,5) : Il eu le mérite de chiper pas mal de ballons dans les pieds adverses (5), mais commis beaucoup de fautes aussi (10) et baissa clairement de rythme en seconde période.
                    Pepe (3,5) : Son intérim a trouvé sa limite. Souvent en retard dans les duels, on retiendra son expulsion qui fit basculer le match (60’).Mais même avant, il n’eu pas l’impact escompté, ne parvenant pas à réduire l’influence de Xavi qui sortait de sa zone.
                    Ozil (4) : L’allemand fut bien discret, difficile de trouver des relais quand on est aussi peu accompagné…Adebayor (4,5) a pris sa place à la mi-temps, et a bien gêné la 1ere relance catalane. Trop esseulé ensuite (7 ballons perdus), surtout à 10, il a déjoué.
                    Di Maria (6) : Sa générosité fut mal suivie par les siens, il a mis Alves en difficulté sans créer l’exploit pour autant. Il a quand même eu le mérite d’insister et de percer le rideau défensif catalan par sa qualité de dribble.
                    C.Ronaldo (4) : Exaspéré de courir après le ballon tout seul (18’), il a très mal exploité ses coups francs. A son actif, une frappe terrible de 25 m (44’), une tête au dessus (57’), mais pas d’éclair de génie. D’abord dans l’axe et ensuite à droite, c’est trop peu pour un joueur de sa trempe.

                    Valdès (6,5) : Une double parade pas évidente (44’) et une belle assurance dans ses relances. Solide, comme sur ce ballon cueilli (57′).
                    Dani Alves (5,5) : Bousculé par Di Maria, il fut techniquement très bon dans la construction et ses relances à défaut de se retrouver dans les zones décisives.
                    Mascherano (6,5) : Intelligent, son sang froid lui a permit de ressortir proprement les ballons chauds. Quelques frayeurs mais un interim des plus réussi pour el refecito. Un duel remporté contre Di Maria (21′).
                    Pique (6) : Solide, il s’est moins mouillé dans la relance que d’ordinaire. Il a bien couvert Puyol quand Ronaldo était dans sa zone. Une hésitation qui aurait pu couter cher (50′).
                    Puyol (6) : Pour un retour, qui plus est à gauche, le capitaine a livré un sans faute, remportant la plupart de ses duels. Un apport offensif limité, mais compréhensible. Il apporte ce supplémentet d’âme.
                    S.Busquets (6,5) : Un travail de pivot quasi parfait, il a joué avec calme sans tomber dans la nonchalance, trouvant régulièrement Xavi en position libre. Encore un peu de « cinema » cependant.
                    Keita (5,5) : Le malien n’a pas la même affinité technique qu’Iniesta, mais son registre différent a servi de piston pour libérer Xavi tout en aidant Sergio à la recup’. Sobre mais utile.
                    Xavi (7,5) : On vous l’a dit, l’homme des Clàsico c’est lui. Positionné plus haut, il fut le partenaire privilégié de Messi avec qui il combina à merveille. Après avoir servi Villa sur un plateau (16’), il aurait pu conclure de près (25’). Toujours aussi impressionnant de calme et de patience pour orienter le jeu, une performance d’autant plus remarquable face à pareil densité au milieu.
                    Pedro (3) : Il en a rajouté sans cesse, ratant sa seul opportunité sur une tête pas très evidente (67’). Collé à la ligne, il n’a crée aucune différence.L’ailier pioche depuis quelques temps. Afellay l’a remplacé (71’) au pied levé, offrant une balle de but à Messi. L’hollandais confirme ses bonnes dispositions, dans un match à enjeu en plus.
                    David Villa (5,5) : Un enchainement conclu du gauche frôla le poteau de Casillas (16’) et un autre fut repoussé par ce dernier (67′). Bien en jambes, il s’efforça de repiquer mais baissa de rythme peu à peu. Un joli numéro de soliste (72’). Il a cedé sa place au jeune Sergi Roberto.
                    Messi (8) : Un doublé mêlé d’opportunisme et de talent pur ponctue un match ou il fit encore d’énormes différences par sa conduite de balle. Décrochant avec bonheur, il su exploité à merveille le jeu de position de Xavi, sans oublier de jouer pour les autres (25’). Méconnaissable dans l’attitude ses derniers temps, il a répondu par le jeu, sans un mot plus haut que l’autre.
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                    • PECOS AKTARI comment ca va? le retour a la realite n'etai pas trop dur? oui oui aktari j'avais bien vu des chevres blanches se farcir le gazon
                      fo vous faire une raison ainsi que mon ami pirate le real aura surement sa revanche un jour ...
                      The Sea is Woman, the Sea is Wonder, her other name is Fate!

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                      • Je persiste et signe sans Messi le Barca est rien, walou !!
                        t'es flou mon gars
                        le moteur du barca c'est bien xavi et iniesta, or qu'iniesta n'a pas joué, je te fais rappeler que le barca est aussi fort avec ses 11 joueurs qui font tous la différences messi ne fait qu'achever le travail si bien entretenu par les autres qui font des passes folles dans la précision, on dirait qu'on jouaient a PES
                        amchich ig khlen tadderth

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                        • And ye shall know the truth and the truth shall make you free.

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                          • Salamat PECOS?
                            The Sea is Woman, the Sea is Wonder, her other name is Fate!

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                            • Envoyé par mezzo
                              PECOS AKTARI comment ca va? le retour a la realite n'etai pas trop dur? oui oui aktari j'avais bien vu des chevres blanches se farcir le gazon
                              fo vous faire une raison ainsi que mon ami pirate le real aura surement sa revanche un jour ...
                              1. remarque de taille: je suis AKTARUS, pas aktari. D'accord?
                              2. c'est le foot qui a brouté du gazon, hier, pas simplement le Real. (en dehors du Djen de Messi, bien évidemment).
                              "Si loin que nous portent nos pas, ils nous ramènent toujours à nous-mêmes" (Proverbe Twareg).

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                              • Pecos,
                                Je n'ai pas aimé cette image. Le tacle de Pepe était très dangereux et anti jeu. Pas de quoi donc s'en prendre à l'arbitrage.
                                Si j'ai bien vu les images, il est sorti sans saluer Guardiola, non?
                                "Si loin que nous portent nos pas, ils nous ramènent toujours à nous-mêmes" (Proverbe Twareg).

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