Ahh les corrections .. je me souviens de deux choses au primaire :
la 1ère était le fait de retirer ses chaussures, de monter sur la table en levant les jambes droites vers l'instituteur pour qu'il puisse avoir les plantes des pieds bien en face !. Et VLAN ! quelques coups bien secs avec une branche d'olivier ou d'eucalyptus... ça faisait un mal de chien.
L'autre façon de corriger c'était de nous prendre par les petites mèches de cheveux situées près de l'oreille (les pates), alors l'instituteur soulevait doucement, je sentais ma peau s'arracher.. les terminaisons nerveuses étant très sensibles à cet endroit, j'avais tout de suite le nez qui pique et les larmes qui coulaient... ça faisait aussi un mal de chien.
Mais j'en garde de bons souvenirs, les enseignantes parcontre étaient d'une douceur inouie avec moi (normal ...j'étais le plus mignon
)
Au collège et jusqu'au lycée, c'était le suplice, plus fort que toutes les douleurs physiques existantes .. les hormones, et l'incapacité à les assouvir. J'avais deux années d'avance par rapport aux autres, je suis entré à l'école à 3 ans et quelques mois. Arrivé au collège j'étais encore un môme, pendant que les autres savouraient la poussée des moustaches et autres protubérances juvéniles. Imaginez donc la réaction des filles et même celles des garçons à l'idée de voir une petite tête blonde harpenter les couloirs.. et ça m'a poursuivi jusqu'au lycée. Jusqu'à mon second bac à vrai dire (le repasser était nécessaire pour la pérénité de mon état psychique à l'université). Et puis on prend des centimètres, des coups plein la gueule, encore des centimètres, et encore quelques coups, la vie change de goût. Et nous voila nostalgiques des années passées.
la 1ère était le fait de retirer ses chaussures, de monter sur la table en levant les jambes droites vers l'instituteur pour qu'il puisse avoir les plantes des pieds bien en face !. Et VLAN ! quelques coups bien secs avec une branche d'olivier ou d'eucalyptus... ça faisait un mal de chien.
L'autre façon de corriger c'était de nous prendre par les petites mèches de cheveux situées près de l'oreille (les pates), alors l'instituteur soulevait doucement, je sentais ma peau s'arracher.. les terminaisons nerveuses étant très sensibles à cet endroit, j'avais tout de suite le nez qui pique et les larmes qui coulaient... ça faisait aussi un mal de chien.
Mais j'en garde de bons souvenirs, les enseignantes parcontre étaient d'une douceur inouie avec moi (normal ...j'étais le plus mignon

Au collège et jusqu'au lycée, c'était le suplice, plus fort que toutes les douleurs physiques existantes .. les hormones, et l'incapacité à les assouvir. J'avais deux années d'avance par rapport aux autres, je suis entré à l'école à 3 ans et quelques mois. Arrivé au collège j'étais encore un môme, pendant que les autres savouraient la poussée des moustaches et autres protubérances juvéniles. Imaginez donc la réaction des filles et même celles des garçons à l'idée de voir une petite tête blonde harpenter les couloirs.. et ça m'a poursuivi jusqu'au lycée. Jusqu'à mon second bac à vrai dire (le repasser était nécessaire pour la pérénité de mon état psychique à l'université). Et puis on prend des centimètres, des coups plein la gueule, encore des centimètres, et encore quelques coups, la vie change de goût. Et nous voila nostalgiques des années passées.
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